Confort pour les quarts en Espace 1100

mais quel est l’intérêt de le plier ?

bsr,
un peu plié et l'autre fait le bouleau
alain :pouce:

Pas vu la ceinture de sécurité

Acheté 30 euros, dois je le changer tous les ans ou tous les deux ans ?

Quel est l' intérêt du siège si on supprime la barre a roue ?

ce que je ne comprends pas, c'est que sur le 1000, il y a un siège qui n’empiète pas sur le carré, et donc n'a pas besoin d'être plié.

OK.

Ca pose deux problèmes
1° le barreur confortablement installé pour le quart de nuit risque de s'endormir
2° supprimer la barre à roue n'apporte rien et elle risque de manquer en cas de danger brutal imprévu, ça m'est arrivé et je ne dois pas être le seul.
Panne de pilote imprévue qui fait virer à 90° à tribord dans un chenal étroit l'an dernier par exemple.

perso je trouve ça très bien ,qu'importe le fût pourvu qu'on ai l'ivresse .
moins on se fatigue plus on est en sécurité .
alain

Bonjour
je voulais faire la même chose
ce qui est bizarre sur la photo c'est qu'on a l'impression que le siège est à quelques cm de la barre
donc pour passer les jambes cela ne doit pas être facile
j'avais fait des mesures pour trouver un bien adapté et je n'ai rien trouvé qui me convienne .
dommage qu'il ni a pas plus de post sur la réalisation de chacun sur son bateau

Je ne suis pas sûr que le faît de passer son quart de nuit dans un siège aussi enveloppant et subir ainsi tous les mouvements du bateau soit une bonne chose, mais chacun adapte le matériel a ses besoins, l'avenir vous le dira....

Dans les ports, je suis dehors... par contre, il 'n'y a plus de barre à roue de secours.

Depuis qu'on a ça on ne craint plus la pluie, ni la nuit, ni le froid, ni le vent qui retourne les oreilles. Nous on en est content!

Le siège en question est un siège arrière d'Espace (le vrai avec sa structure galvanisée et sa coque en composite) que le public appelait Espace 3, que l'homologateur appelait JE0 et que son constructeur appelait P52.

Ces sièges sont ancrés sur 4 fils d'acier de diamètre 6 ou 8 (la mémoire...) par des gâches déverrouillables avec une manette à l'arrière du dessous de l'assise.
Ce mode de fixation est hyper solide puisque ces sièges disposent de deux points pour l'ancrage des ceintures et que, par conséquent, les ancrages au sol doivent supporter les efforts de retenue de ceinture (au-delà de 20g de décélération soit, pour un ensemble siège + bonhomme, une résistance à une traction dynamique supérieure à 2 tonnes).

Ils sont pivotants si on ne déverrouille que les gâches arrières et totalement amovibles si on déverrouille le tout.

Les implantations des fils et des gâches étant symétriques avant/arrière, le siège peut être verrouillé au sol tourné vers l'avant ou vers l'arrière.

Le siège monté par notre ami est un siège de l'équipement haut de gamme avec un réglage longitudinal. Les sièges arrières des voitures de gammes plus modestes n'avaient pas de glissières.

Un petit détail pour les sièges équipés de ceintures ventrales embarquées sur le siège (modèles plus anciens), il s'agit de ceintures à rétracteurs et pas de ceintures à enrouleurs.
En pratique, la ceinture sait se rétracter lorsqu'elle prend un peu de mou (lors d'un cahot qui enfonce un peu l'occupant dans la mousse d'assise, par exemple) mais elle ne sait pas se détendre sauf lorsqu'elle a été enroulée en totalité.

En bateau, avec les mouvements de coque, je ne donne pas 2 minutes à l'occupant pour foutre la ceinture à la benne :mdr:

Ces mêmes sièges arrière ont existé, de série, en cuir gris clair.

Il y a eu aussi plusieurs équipement unitaires de grand luxe réalisés par des grands faiseurs pour des clientèles...spéciales pour lesquelles il y avait un salon équipé de seulement deux sièges cuirs garnis par des selliers de grands couturiers, bar, télé etc...

Je crains que ces derniers soient difficiles à dénicher.