Corrosion sous le lest- dériveur alu (lest dans résine)
Bonjour à tous,
Je m'intéresse à un dériveur alu, construction semi-amateur, dont la coque a été conçue par un chantier Aujourd'hui inexistant.
Le lest est du plomb coulé dans de la résine epoxy dans les fonds.
Les VIA sont connus pour avoir des problèmes de corrosion car avec le temps, l'eau pouvait passer sous la résine, et corroder les tôles de fonds. Pensez-vous que le problème est systématique pour tout Lest dans de la résine?
Ou est-ce uniquement la résine "à l'eau" utilisée dans les via? D'ailleurs que signifie "à l'eau" pour une résine?
Désolé, mais ça sent le très mauvais plan.
Dans un autre sujet, tu disais souhaiter économiser les 4 KE annuels de ton assurance maladie suisse. La logique voudrait que ce ne soit pas pour dépenser 40 KE à perte dans la rénovation d'une épave.
L'alu est passé de mode et ce n'est pas sans raisons. Au-delà du fantasme, un dériveur c'est surtout de la complexité mécanique, des pièces d'usure et des points faibles.
Même les chasseurs d'images de Tupaia sont allés en Patagonie avec un vénérable Dufour 35.
Amitiés,
Jef
L'alu passé de mode? Pas l'impression quand on voit le succès des Boréal et autres Garcia.. Le métal reste indispensable quand on veut sortir des sentiers battus... L'acier ou si on a les moyens l'alu, s'impose dès qu'on sort des tropiques de façon un peu sérieuse. Pas croisé de plastique cet été sur le NWP...
L'alu n'est absolument pas passé de mode.
Quant au deriveur, selon sa conception, pas plus ni moins de points faibles qu'un quillard. On entend d'ailleurs souvent parler de problèmes de boulons de quille.
Et comme le dit Damienz, il y a pas mal de situations pour lesquelles on dit merci au métal.