echouage centurion 32

Drôles de mœurs par chez vous. Une fois mon melody, pourtant réputé solide, s'est couché dans de la vase, j'étais pas trop rassuré. Mis a part le bazar dedans, éventuelles fuites de liquides divers, une bonne partie du poids du bateau se retrouve sur une petite partie de la coque, ce qui est inquiétant, sans parler d'un éventuel rocher qui faire de gros dégâts.

Si je confirme , ca fait 3 ans qu'il se vautre dans la vase avec delectation 2 fois par jours, a part quand on va se ballader ailleurs!
En plus le canot s'appelle effectivement "plijadur braz" et il assume!

Bonjour et bonne année.

Pour échouer régulièrement c'est qu'on est sûr du terrain dessous. Dans la rivère de Tréguier (Jaudy) j'ai l'impression que je pourrais planter le kayak à la verticale sur toute sa longueur avec juste la poignée de halage qui dépasse... :oups:

Si ça marche pour l'Atlante ça devrait le faire pour le Centurion. Mallard et Wauquiez deux chantiers facteurs de bateaux solides...

A 50º de gîte le mât du Centurion va peut être aller "tricoter" un peu plus loin?

Vautré dans la vase avec le soleil ou la bruine pour témoin un coup sur tribord, un coup sur babord?.. C'est «hippopotamesque»...

Ça fonctionne contre les parasites? Serait-ce anti fouling ? :tesur:

Ouhai bof, autant avoir un dériveur. Perso même si le centurion est bigrement bien échantillonné (24 mm de polyester dans les fonds et 10 mm au niveau des bordés à lire ici: centurion32.over-blog.com[...]86.html ) je ne me vois pas laisser DIAMBA se coucher dans la vase sauf si vase molle (cf Mouillage devant AIX en Charente Maritime). Contre un quai le centurion tient très bien ... pas de béquilles même si certain en ont installées .. Si il tombe il tombera de haut !!
A+ Diamba et BONNE ANNEE 2012

En dehors des pbs de salissure, de la garantie que les fonds sont corrects, et détails techniques déjà évoqués (trous des béquilles, cokpit auto-videur,...) c'est une question de rapport entre le maître bau et le tirant d'eau qui dira si le bateau se remplit avec la marée avant de commencer à flotter; et ensuite le positionnement des renforts et/ou cloisons à la hauteur de ce maître-bau.

Avec un DI on a aussi le problème des cailloux éventuels du fond qui viennent poinçonner le gel coat (sauf coque alu) et en plus, sur la vase le problème de celle-ci qui vient remplir le puits de dérive et qui refuse ensuite de s'évacuer tout de suite à marée haute ce qui est génant s'il faut partir immédiatement au près.
Avec un DL on a le problème des béquilles, moins grave qu'avec une grande quille mais aussi le problème de la vase dans le puits de dérive.
Conclusion vaut mieux un cata sans dérive ou un biquille ou mieux encore, pas de bateau du tout, ça fera de la place pour les fous qui ont un bateau.

Un bateau est incroyablement solide: cet été, un bateau était sur le gril de carénage, appuyé contre le quai, juste "sécurisé" par un bout allant du bas du mat à un ber (200kg environ, sans bateau). A marée basse, probablement en raison du vent sur le mat, le bateau est tombé, en entrainant le ber, qui, heureusement, est tombé à coté. Tout le monde attendait avec inquiétude le montant. Aucune voie d'eau. Le bateau a été aussitôt sorti de l'eau, et l'expertise a montré qu'il n'avait pas souffert de cette mésaventure!
Je pense malgré tout qu'il est préférable d'éviter ce genre de gag!