Ecole de voile/diplôme

Je regarde l'opportunité de monter une école de voile. Elle ne délivrera pas de diplôme FFV, c'est plus un centre d'entraînement régate et solo/double.

C'est possible avec le YM et des modules complémentaires, mais j'aimerai rester sur pavillon français.

A priori l'examen c'est le BPJEPS, mais suffit-il pour monter une école?

L'équipage
05 fév. 2018
05 fév. 2018

Mon fils BPJEPS option croisière enseignait, dans une structure associative. Les moniteurs des clubs de voile ont (en principe) le BPJEPS.
Quant à avoir sa propre structure... d'autres plus compétents que moi ne manqueront pas d'apporter leur pierre à l'édifice.

05 fév. 2018

Pourquoi pas ? Ca peut interesser pas mal de régatiers en mal de perfectionnement . Mais il faudra des grosses pointures pour les attirer

05 fév. 2018

j'ai toujours entendu que pour monter son école il faut le bpjeps
cs croisière en plus si tu veux pouvoir naviguer à plus de 6 milles (je crois), et jusqu'à 200 milles

05 fév. 2018

Pas possible en France avec YM.
BPJEPS nécessaire et suffisant.
Nouveaux BPJEPS dès 2018. CS croisière supprimé dès 2019.
BPJEPS, diplôme. Pas examen. Formation obligatoire.

05 fév. 2018

Est-ce qu on peut avoir ce BPjeps par validation d acquis experience? J ai regarde un peu et il parait que oui, mais a travers une procedure on ne peut plus obscure. Dans la realite est ce un chemin possible/praticable ou pas?
merci

05 fév. 2018

merci, donc je vais voir un bureau de l administration jeunesse et sports. Pour la croisiere, on peut aller dans n importe quel bureau ou il faut aller dans un bureeau qui soit sur la mer ?
.
Si j ai bien compris, c est la jeunesse et sports qui donne en tout ou partie cette equivalence, pas les centres de formation: c est cela?

05 fév. 201805 fév. 2018

tous les titres et diplômes français reconnus par l'état doivent être accessibles par VAE. C'est indiqué dans la fiche RNCP.

Rappel : cela consiste à démontrer par un rapport et une soutenance que l'on a tenu la fonction nécessitant le diplôme pendant plusieurs années pour en demander le diplôme auprès d'un centre de formation.

En clair : il faut avoir jouer le rôle de moniteur pendant plusieurs années pour affirmer en avoir les acquis et l'expérience, et donc demander le diplôme correspondant.

" Dans la realite est ce un chemin possible/praticable ou pas? "
je ne vois pas comment. Sauf à avoir joué le moniteur dans une école à l'étranger durant plusieurs années...
Mais tu devrais pouvoir obtenir au moins des UV par VAE. Je serais curieux de savoir si les centres jouent le jeu de la VAE...

05 fév. 201805 fév. 2018

Oui, mais c'est du cas par cas, qui donneront un ou plusieurs UC des 4 UC nécessaire. Et l'on parle ici d'expérience professionnelle dans le secteur. Voir à ce sujet les passerelles possibles entre capitaine 200 et BPJEPS, pour se faire une idée de ce qui est monnayable. Jeunesse et sport (qui ne s'appelle plus comme ça) est de toute façon beaucoup plus ouvert que la marine marchande aux passerelles et autres VAE. Je connais un cas de capitaine 200 breveté + CQPAMV habitable et quelques années d'enseignement qui a obtenu 8 UC sur 10 (dans l'ancienne formule à 10 UC).

05 fév. 201805 fév. 2018

Pour info, les écoles RYA qui exercent en France sont agrées Ecoles de Voile par le Ministere de la Jeunesse et des sports, maintenant appelé Ministère des Sports.
Mais ces centres sont pilotés par des Instructeurs RYA, et qui doivent avoir un sacré niveau de formation.

En tous cas je suis partant pour aller en stage régate avec d'autres heossiens sur Dr Feelgood ..

05 fév. 2018

je decouvre petit a petit :-)
Finalement, ecole de croisiere avec son propre bateau, une carte professionnelle delivree par une antenne locale du Ministere des Sports est suffisante, c est cela?
.
trebor,
le monitorat RYA est reconnu automatiquement ou bien ce n est qu une piece dans un dossier qui est evalue au cas par cas?
merci

05 fév. 2018

merci trebor
cdlt r

05 fév. 2018

Ouaip, et je ramènerai un Maroilles pour l'apéro (spécialité des Hauts de France)..

05 fév. 2018

Ces instructeurs RYA ont reçu par équivalence une carte professionnelle qui leur permet d'enseigner en France, mais pas le BPJEPS (le diplôme) par équivalence. Leur niveau vaut celui des français.

05 fév. 2018

Je ne pourrais pas te répondre Roberto, je n'ai pas demandé les détails de l'installation du centre que j'ai choisi, il faut dire que j'étais là pour autre chose. Le mieux serait de se renseigner directement au Ministère et peut-être aussi par le RYA.
Actuellement en Bretagne il y a, à ma connaissance, 3 écoles (Camaret, Crouesty et Vannes), et des centres aussi en med. Donc il existe bien un marché, la clientèle n'est que partiellement Française, le reste est multi nationalité..

L'anglais sera donc fortement nécessaire d’où la facilité pour les instructeurs natifs english qui parlent le Français en 2ème langue.

05 fév. 2018

Comme Trebor.n, je prépare mon sac..

05 fév. 2018

Les centres de formation n'ont aucun pouvoir réglementaire. C'est l'administration qui l'a et qui indiquera où et comment déposer un dossier de VAE.
Ne pas confondre VAE qui peut aboutir à des UC d'équivalence du diplôme par une commission nationale qui permettront d'obtenir le diplôme national, BPJEPS, qui permettra d'obtenir la carte professionnelle, renouvelable tous les 5 ans après certif médical et vérif judiciaire, véritable sésame pour l'enseignement professionnel en France et l'obtention directe de la carte professionnelle sans diplômes français ( à partir de diplômes étrangers) qui est possible au niveau local (directions régionales ou départementales).

05 fév. 2018

bonjour,
la plupart des diplômes relatifs à de la formation sportive sont soumis
à une visite médicale périodique pour pouvoir exercer ....
que ce qui peut être valable aujourd'hui ne le sera peut être plus demain ...
alain :doc:

05 fév. 2018

Je n'ai qu'un CQP mais j'ai une carte pro

05 fév. 2018

hum , ayant monter une école de voile ce n'est pas le probleme des competences qui posent probleme ,mais de l'équilibre financier .

Une ecole tourne durant la bonne saison puis l'hiver il faut trouver des entrées d'argent pour garder les competences ...alors gros probleme . Ainsi les structures ce sont tourné vers les scolaires ,mais il faut des subventions et là c'est pas simple ...

Il faut aussi des locaux ,un secrétariat ,etc ...

Pour resumer le probleme est financier et pas sur l'encadrement . Et aussi sur l'autorisation ou non de monter une école a tel endroit ,probleme d'environnement ..

05 fév. 2018

Pour une école de croisière, pas d'autorisation nécessaire, une simple déclaration en préfecture d'établissement sportif suffit.
Le financier est un détail : il faut s'attendre à perdre de l'argent au début pour en gagner très peu par la suite. C'est ce qu'on appelle le risque, il faut le prendre, le calculer mais le prévisionnel est très difficile dans ce secteur, en sachant qu'on peut tout perdre. Mais en mer aussi, il y du risque, c'est même ça qui est motivant.

05 fév. 2018

Sur un ponton. Pas besoin d'autorisation, juste une place, et encore, pas forcément à l'année.

05 fév. 2018

une simple autorisation ;mais tu les mets tes bateaux ?

08 fév. 2018

Merci pour l'info et l'enthousiasme les gars. Je suis en discussion pour un partenariat avec une marque de bateaux afin de capter et former leur clientèle (assez internationale et nordique).

On en est qu'au début des discussions mais j'aimerai savoir ou mettre les pieds réglementairement avant de me jeter à l'eau.

Je comprend bien les difficultés de saison, clientèle et financement, mais c'est plus pour moi une manière de financer ma passion que de réellement en vivre.

Je vous tiendrai informés de l'avencement du projet.

17 fév. 2021

Bonjour,

Avez-vous trouvé le fin mot de l'histoire? Je viens de rentrer en France avec un bateau Irlandais et un certificat de Yachtmaster instructor et me pose les même questions.

Merci

24 fév. 2022

Salut de Feelgood!
Je me renseigne aussi pour ouvrir un école de croisière sur mon bateau, en commençant par les cours particuliers ou de groupe à la journée.
Je me demande quelles sont les démarches..
J'ai un BPJEPS, une carte pro, je suis au clair sur la démarche d'auto entreprise. Ca c'est bon. Maintenant je dois comprendre auprès de qui dans le monde du sport il faut se manifester.
Et je suppose qu'il faut une grosse assurance..
Merci de vos réponses, si il n 'y en a pas je contacterai directement une petite école de croisière pour poser les questions.
Bien à vous !

24 fév. 2022

Déclaration d'établissement sportif à la DRCJS locale et c'est bon, t'es en règle. Pour l'assurance, le SPEN propose à ses adhérents une R.C. pro adaptée à l'activité et pour un coût modique.

25 fév. 2022

et c’est la l’assurance ou ça coince. je n’ai pas pu assurer mon bateau pour école de voile sans bpjeps ou cap 200

26 fév. 2022

Normal, puisque le BPJEPS est obligatoire dans une école de voile. Je parlais de la RC pro, distincte de l'assurance du bateau. Une école a statut associatif peut assurer sa flotte (dans une mutuelle comme la MAIF, qui fait même des tarifs spéciaux aux associations par exemple ) sans justificatif de diplômes. La RC pro (qui couvre les stagiaires), c'est effectivement un peu plus compliqué. Le SPEN est le Syndicat Professionnels des Educateurs du Nautisme, affilié à l'UNSA sport. Ce syndicat prône un "syndicalisme de service" qui, comme son nom l'indique propose des "services" à ses membres, dont cette fameuse RC pro, qui est très difficile à trouver en France, pour les cap 2OO (charter et convoyage). Il faut donc se syndiquer (et payer la cotise) avant de bénéficier de cette RC pro. Les cap 200 peuvent en bénéficier, mais attention, les cap 2OO ne peuvent pas enseigner la voile, puisqu'on pourrait les accuser de travail dissimulé. J'avais trouvé également une RC pro à la Matmut, en tant qu'autoentrepreneur.

26 fév. 2022

J'ai une rc pro étant diplômé en ski et voile,elle me coûte 120 euros à l'année.
Ça n'est pas une assurance en lien avec le bateau je précise.

24 fév. 2022

Une question quand même pour les instructeurs projetant de créer une école de voile. Est-ce qu'il y aura une particularité dans leur(s) projet(s) qui ferait une valeur ajoutée plus importante en comparaison des structures déjà existantes type Glénan ?
On a souvent discuté sur le sujet de la formation sur Eol (et ailleurs aussi), et il ressort bien des besoins non satisfaits actuellement dans les stages proposés en France, en gros, c'est bien pour débuter, mais au-delà ça perds vite de son intérêt. Est-ce que les postulants ont songé à quelque chose de différent pour attaquer la maitrise de la voile ?

25 fév. 2022

Malheureusement pour vous, la "maitrise de la voile" ne s'acquiert pas en école de voile et ce même si de nombreuses écoles mettent en avant des stages "maitrise" ou de chef de bord. Ce sont des appellations publicitaires, rien de plus. Une école de croisière peut vous donner de bonnes bases, comme on dit, mais ne remplacera jamais la progression ultérieure en tant que chef de bord sur votre propre bord (en tant que propriétaire ou locataire). Le statut du moniteur (bénévole ou professionnel) importe peu. Tant qu'il sera à bord, il vous empêchera de progresser. Comme disait M.Robson, le pilote de Serck auteur de guide de pilotage (un anglais, ça devrait vous plaire) : ce sont les erreurs les plus couteuses qui apprennent le plus. Vous ne pouvez pas y couper.
Si vous voulez vous perfectionner en conduite, la pratique du dériveur et mieux, la régate en dériveur est indispensable. Faire partie d'un équipage de régate en habitable est très formateur pour la manoeuvre et la météo. Mais ne comptez pas barrer ou faire la nav. Pour la nav ou les manoeuvres de port, je ne vois pas bien ce qui peut remplacer l'angoisse du chef de bord. Plutôt que de fuir cette angoisse (ce qui me semble être la raison cachée de la plupart de vos posts sur ce sujet), vous devez l'affronter pour progresser.

25 fév. 202225 fév. 2022

Oui je suis d'accord avec cette réponse, même si certains pourront toujours rétorquer que justement ceux qui n'ont pas la maitrise (= CDB autonome solo et équipage) ne peuvent tirer cette conclusion.

Pour la suite, je pense que vous vous méprenez sur le sens de mes interventions. Je suis parfaitement lucide sur mes capacités, et je ne fuis absolument rien du tout, je n'ai fait qu'utiliser mon temps et mes ressources disponibles pour ma propre formation, mais comme mon temps étant limité (congés payés), je n'ai hélas pas pu ne faire l'expérience de longue durée nécessaire. Je ne peux qu'attendre la fin de mon temps de salarié pour accomplir ce qui me manque.
En même temps, j'ai voulu corriger beaucoup de considérations basées sur un bel et ancien historique, mais devenues complètement injustifiées vu le niveau de prestation que j'ai constaté durant mes stages. Justement à propos des acquisitions de compétence "voile maitrises" qui ne sont que des appellations publicitaires, je le confirme.

Sur un forum de marin, lu par toute sorte de "voileux" néophytes comme vieux loup de mer, j'estime que l'expérience est à partager, ce n'est évidement pas la même expérience pour tout le monde, mais c'est dommage que je n'aie pas eu ces retours et avis avant de me lancer dans des stages successifs et répétitifs. Bien sûr l'organisme de formation* s'est bien gardé de conseiller d'aller en régate ou en embarquement longue durée, mais toujours de prendre le stage suivant(bien entendu).

* Sauf justement le RYA, ou l'instructeur m'a clairement signifié d'aller naviguer et d'arrêter les stages...

27 fév. 202227 fév. 2022

"Tant qu'il sera à bord le pro vous empêchera de progresser"
Ouh là ça envoie du lourd ce genre de réflexion !
Un bon pro sait donner de l'autonomie à ses élèves,il doit savoir s'effacer et leur donner les clefs pour leur future évolution.
Après des deux côtés certains aiment ce genre de relation maître dominant/élève soumis qui peut durer toute la vie !
Oui les erreurs font progresser c'est vrai mais faut pas aller dans l'extrême pour apprendre non plus il me semble...
La bonne pédagogie c'est mettre les personnes devant une situation un peu difficile mais pas plus.
Et faire un retour sur ce qui n'a pas marché...
Trop dur ça traumatise et ça ne valorise personne,trop facile on n'apprend pas grand chose...
De mon côté d'enseignant le plus valorisant c'est de voir ses élèves devenir autonomes.

28 fév. 2022

En fait, il faut raisonner dans la position d'un apprenant, c'est clair qu'à partir d'un certain seuil variable selon chacun, il faut y aller sois-même et sans formateur ni instructeur ni moniteur. C'est clair aussi que les grosses associations ont une "politique" de communication mettant en avant un rêve comme quoi en allant en stage avec eux on deviendrait un skipper autonome paré pour les grandes traversées. Il suffit de regarder les photos d'illustrations des sites web et de lire des descriptifs des stages "Ce stage vise à évaluer votre capacité à assurer le rôle de chef de bord. Après avoir travaillé chaque thème en alternant navigation et apports théoriques, vous êtes amenés à prendre la responsabilité du bateau. Un niveau d'équipier confirmé à tous les postes est requis. Objectifs : Devenir responsable d'une croisière "

En lisant avec attention, on comprend aussi qu'il y a un bémol caché, le stage vise à évaluer la capacité, donc on ne déclare pas tu es capable, mais tu as les capacités pour, la nuance n'est pas anodine. Mais l'image de vente, bien en avant et en grosses lettres, est bien Stage Chef de bord...

28 fév. 2022

Je confirme mon affirmation et ne la trouve pas outrancière. Et pourtant j'encadre moult formation de chef de bord, d'autonomie ou de moniteur. le principe est toujours le même : mettre le stagiaire en situation de skipper, intervenir le moins possible, débriefer à la fin. Le problème, c'est que cette mise en situation a vite ses limites, et qu'on ne peut pas couler un bateau par semaine. On est donc bien obligé d'intervenir, en anticipant. Ors la "maitrise" en voile n'est qu'une histoire d'anticipation. Un chef de bord "par délégation" n'acquiert pas cette anticipation permanente qui est la marque du chef de bord confirmé et qui ne peut s'acquérir qu'en étant "seul maitre à bord" par feed-back ou erreur.
J'ai , par exemple, beaucoup de mal , en tant qu'évaluateur FFV, à donner un niveau 4 croisière à quelquun qui n'a jamais été chef de bord autonome, même s'il remplit tous les critères d'évaluation. Même chose pour les diplômes de moniteurs. C'est pourtant ce qui se passe aux Glénans par exemple.

28 fév. 2022

Je confirme que pour le cas des Glénans que j'ai bien testé, à partir des niveaux 4 (ou avant 5, car il y a eu des changements d'appellations) c'est carrément du "foutage " de gueule la façon dont c'est géré. Je me suis toujours demandé si ça allait continuer ainsi ou si des nouvelles structures allaient s'attaquer au sujet et proposer quelque chose de plus sérieux. Mais c'est un sujet taboo à cause du passé quand Les GL constituaient une référence méritée dans l'enseignement de la voile.

27 fév. 2022

Côté "école" organisée, je crois qu'il y a un bon filon dans les cours exclusivement pour femmes, il y en a au UK depuis 15-20 ans, les quelques uns faits d'une façon occasionnelle dans d'autres Pays se remplissent en deux jours. Sur le pourquoi et le comment je ne sais pas, mais c'est un fait. Bon en regardant, mieux en écoutant le couple lambda rentrer au port avec le monsieur amiral qui crie à tout va sur son équipière on comprend peut-être un peu.
Sinon, au délà d'un certain niveau amha on sort de l'école avec ses programmes prédefinis et ça doit être plutôt "à la carte": le programme est établi par les demandeurs, bien évidamment on ne parle plus de technique de base genre virements de bord, calcul de marée ou prise de coffre, mais par exemple planification de navigations longues, aller dans des eaux pas connues, ou des sujets spécifiques plus techniques.
D'expérience, c'est plutôt du bouche à oreille, ce ne sont pas des activités qui feraient vivre une école, donc pas de pub, etc etc.

28 fév. 2022

D'où ma question de départ aux futurs formateurs, est-ce qu'ils ont pensé à proposer quelque chose de nouveau ? Même si Holo a raison de souligner que l'on ne peut pas échapper à l'étape ultime de se lancer soi-même en autonomie à 100 %.

Phare du monde

  • 4.5 (188)

2022