formation Capitaine 200

Salut à tous,

ça y est je me lance ; je souhaite faire une formation de capitaine 200.

Avez vous quelques tuyaux concernant le lieu et la qualité de l'enseignement ?

Toutes les infos sont bonnes à prendre .

A +

L'équipage
21 août 2022
22 août 2022

Salut Joris,

Vu que personne n'a l'air d'être passionné par le sujet, je me lance.
Il faut dire aussi que le "cas" Capitaine 200 a été mainte fois décortiqué sur le forum, une petite recherche devrait t'en apprendre déjà pas mal.

Si je peux commencer par un me question, quel est ton projet avec le C200 ? Visés-tu le C200 moteur, le module pêche, le module Voile ?

Ce que je peux t'en dire en tout cas :
Il faut d'abord passer le CMP (3 mois de formation), puis naviguer 6 mois en tant que marin pro, pour avoir le droit de retourner 6 à 8 mois à l'école passer le C200. De là, il te restera 6 mois de navigation pro à valider pour avoir le Brevet de Capitaine 200, qui te permet d'être capitaine.
Quelques possibilités de valider les temps de mer sur navires de plaisance, mais seulement pour le compte d'associations reconnues d'utilité publique.
Sinon la règle c'est de cotiser à l'ENIM, la caisse sociale des marins.

Les temps de formation sont très théoriques, puisque l'idée c'est de former les marins en pratique "sur le tas" pendant leurs temps de validation.
Le niveau scolaire n'est pas très élevé, selon les grilles de l'éducation nationale, le C200 correspond je crois à un CAP. Le C500 est niveau bac pro.

Les programmes sont les mêmes partout, je ne connais pas tous les centres de formation... Concarneau/Lorient c'est une grosse machine pas très humaine mais qui forme beaucoup de monde.
L'île d'Yeu a bonne réputation.

Le plus difficile c'est de trouver des embarquements pour valider. Souvent c'est à la pêche, après c'est selon le réseau que tu as.

Voilà...

C'est une formation souvent décriée dans le milieu de la voile parce que peu exigeante en terme de niveau de voile, donc elle ne tient pas la comparaison de ce point de vue avec un BPJEPS (pour rester en France), ou avec le cursus anglophone des yachtmaster ou master of yacht, je sais jamais dans quel sens.

Mais c'est le seul brevet qui te permet de travailler en tant que marin pro en France.
Et malheureusement, presque exclusivement en France, parce que assez peu de visas de reconnaissance à l'étranger d'après ce que j'ai compris.


22 août 2022

Si je comprends bien, il vaut mieux passer le yachtmaster.


Joris:peut être, on peut le passer en France ? ·le 23 août 2022 07:25
Joris:et puis la formation n'est elle pas en anglais ?·le 23 août 2022 07:26
SailCamille:Il y a des écoles en France, notamment dans le golf du Morbihan. Recherche sur google, ou même sur le forum, on en parle régulièrement.·le 23 août 2022 16:51
23 août 2022

Tout dépend de ce que tu veux faire...
Pour travailler en France, le yachtmaster n'a aucune valeur.


Joris:Salut , merci pour ces précisions. Pour être plus clair, j'ai 50 ans et un peu d'expérience en voile, mais très peu finalement. Mon projet est un projet de vie, une reconversion. J'envisage de partir en vadrouille autour du globe. Je me dis que pouvoir conduire des bateaux à voile me permettra d'avoir des jobs lors de mes points de chutes. J'avais pensé au capitaine 200 car la formation me semble complète. En fait je voudrais mieux me former en navigation et pouvoir être rémunéré au besoin. Peut être acheter un bateau un jour, et faire du tourisme, France et étranger.·le 23 août 2022 07:23
23 août 2022

qu’est ce qui motive cette envie?
un projet?
deja experimenté?


Joris:quelques sorties, Niveau 3 aux glénants ·le 23 août 2022 07:24
23 août 2022

Salut, vu ton profil, je m'aiguillerais effectivement plutôt vers une formation yachtmaster.
Tu veux gagner en compétence en navigation, avec le C200 tu aurais la théorie, avec le YM tu aura de la pratique.

C'est une logique complètement différente du cursus français. On te demande d'abord de te faire une expérience la plus complète possible (en plaisance ou en stages avec des pro) et la formation très courte sert plus de validation de tes acquis, avec évidemment des apports supplémentaires pour te conformer à l'examen.
C'est un examen en anglais, mais si ton projet est de vadrouiller autour du monde, il faudra de toutes façons t'y mettre !

Ne t'attends pas à être "skipper pro" en un an, il faut non seulement de la pratique, mais aussi pour travailler légalement le YM ne suffit pas, il faut passer des modules "commercial endossment".

Si tu es amené à faire de la croisière sur des pavillons étrangers à l'étranger, c'est le mieux.
Attention, si tu veux travailler sous pavillon français, il n'y a que le C200 de valable. Et pareil sous pavillon étranger dans les eaux françaises.

Dans tous les cas je te conseille de commencer par naviguer le plus possible, avec des pros si possible, qui pourront te parler de leur métier.
Il y a de bonnes écoles de voile (des grandes et aussi des gens qui travaillent en indépendant) qui te feront progresser.
Il y a aussi les convoyages, certains skipper pro prennent des équipiers bénévoles pour les accompagner.


23 août 2022

et il y a tous ceux qui covoyent, naviguent etc sans ... rien.

D'autres que leur bonne expérience et leur réseau.

après, côté assurance et ursaff, c'est un autre débat.

J., qui en connait qui s'embêtent pas avec la paperasse...


SailCamille:Oui, c'est aussi une possibilité.Adieu les assurances en cas de problème... ·le 23 août 2022 17:14
12 fév. 2023

Bonjour,
je suis un peu dans le cas de Joris, un peu plus âgé, peut-être un peu plus expérimenté en navigation à la voile, mais avec un projet en partie équivalent, c'est-à-dire de rentabiliser mon bateau en embarquant de temps en temps des passagers (genre charter).

Merci pour toutes vos réponses ; il y a un point que je n'arrive pas bien à cerner, c'est le CMP et les 6 mois de navigation professionnelle comme matelot...

J'aurais du leur poser la question, mais tous les skippers pro que j'ai croisés, souvent âgés de plus de 40 ans, sont vraiment allés 3 mois en école de matelot, que j'imagine surtout peuplés de jeunes de 18 ans en formation pour un métier à la mer ???

Et surtout ces mêmes skippers pro sont allés ensuite faire 6 mois en mer comme matelots dans une entreprise professionnelle, pêcheurs, ferry, ou autres...? Quels genres d'emplois, d'embauches trouve-t-on quand à 40 ans passés on cherche à se faire embaucher sur un bateau, dans le seul but de valider 6 mois ?

Aucune volonté de "rabaisser" les écoles de matelots ou les métiers de la mer, loin de là, j'ai une profonde admiration pour tout ce monde-là, mais ce que je n'arrive pas à imaginer, c'est la cohabitation entre des jeunes de 18 ans qui cherchent un métier pour une carrière à la mer, et des gens comme moi et d'autres, en 2è voire 3è partie de vie, qui ne veulent que valider des stages et des semaines de nav.

Merci sincèrement pour vos réponses.


SailCamille:Comme dit par holothurie plus bas, le CMP n'existe pas depuis très longtemps. Quand j'ai passé le Capitaine 200 Voile en 2014, c'était directement.Après, il ne faut pas croire que cette formation (le CMP) ne s'adresse qu'à des jeunes de 18 ans. Il y a beaucoup de personnes dans votre cas qui souhaitent le passer sur le tard, dans une optique de reconversion professionnelle. Ceci dit, vu votre projet, ce n'est pas la voie que je choisirais... trop long et compliqué comme cursus pour validerle C200 voile, simplement pour faire un complément de revenu avec son voilier personnel.Vous n'êtes pas le premier à y penser, et depuis au moins 15 ans c'est complètement verrouillé. Le métier de skipper est devenu très encadré, avec les C200 d'un côté (navire NUC et charter), et les BPJEPS de l'autre (navire en plaisance et activité école de voile).·le 13 fév. 2023 01:34
12 fév. 2023

Il est impossible de rentabiliser son bateau personnel en faisant du charter de temps à autre, Puisqu'il doit être NUC, que l'on doit déclarer chaque sortie commerciale etc... Quand au CMP, il est obligatoire depuis peu, et donc les vieux capitaines 200 n'ont pas eu ce problème, qui n'en n'est pas forcément , du reste.


catatotte:Oui, j'ai bien conscience qu'il ne s'agit pas réellement de rentabiliser, mais plutôt de pouvoir apporter un petit complément de revenu ; et puis il y a aussi le plaisir de faire découvrir à d'autres la mer, la voile et tous ses plaisirs.Le bateau doit en plus être équipé en NUC, bien sûr.Merci pour votre réponse sur le CMP.·le 12 fév. 2023 09:17
holothurie:C'est pas une question d'être rentable ou pas, c'est une question de règlementation : il n'est pas possible d'utiliser un bateau inscrit en NUC pour son usage personnel : c'est de l'abus de bien social. On se retrouve comme Tapie. Vu votre projet, le plus simple est de tricher, comme tout le monde, c'est à dire de la loc avec skipper sans diplôme, du moins dans les eaux françaises. Quand aux eaux étrangères, tous les cas de figure sont possibles.·le 12 fév. 2023 09:54
holothurie:Et si vous voulez "faire découvrir la mer, la voile", le BPJEPS croisière est plus indiqué puisque vous pourrez travailler sur un bateau pas NUC. Le niveau en voile demandé est plus élevé, 8 mois de formation (en voile et pas en marine marchande), un peu plus d'un an avec la rédaction des dossiers.·le 12 fév. 2023 09:58
catatotte:Oui c'est vrai. Si j'ai bien compris : Je passe le capitaine 200 voile ;J'équipe et inscris mon bateau en NUC.Je crée une société de location de bateau.Les locataires de mon bateau doivent le louer à ma société.Et ils m'engagent comme skipper.Dans ce cas je pense que je suis dans les clous.Après, pour profiter moi-même de mon bateau et ne pas faire du Tapie, il faut que je loue mon propre bateau à ma société.Est-ce que j'ai bien tout compris ?·le 12 fév. 2023 10:49
holothurie:Non.L'obligation NUC c'est pour le charter à la cabine (transport de passager). La location du voilier à un locataire ne demande pas le statut NUC. Par contre, si le locataire engage un skipper, celui ci doit posséder le CAP 2OO. C'est comme ça que fonctionnent les boites de loc. La triche que j'évoquais est l'option illégale et répréhensible, mais que l'on trouve à foison sur les sites de location de voilier. En ce qui concerne la triche au cobaturage (très pratiquée également et tout aussi illégale), il semble qu'un site comme Vogavecmoi a fait le ménage (participation aux frais en sus de la caisse de bord limitée à 15 Eu/jour, ce qui reste illégal mais au moins limité).·le 12 fév. 2023 11:39
catatotte:Merci de me faire profiter de toutes vos connaissances.J'ai bien compris que si je loue mon bateau, je n'ai pas besoin de l'équiper NUC.Et si je souhaite le louer en étant moi-même le skipper, je dois seulement avoir le Capitaine 200 (si on reste dans cette option plutôt que dans celle du BPJEPS) ?J'avais compris qu'on ne pouvait pas louer son propre bateau en étant soi-même le skipper, à moins de créer une société de location (même pour 1 seul bateau), puis que cette société embauche le propriétaire comme skipper...·le 12 fév. 2023 19:15
SailCamille:Sauf que vous ne pouvez pas être à la fois propriétaire et locataire, même à travers une société ça me paraît plus que bancal comme montage.Aucune assurance ne vous suivra, sans parler du tribunal maritime en cas de gros pépin.Je dis ça de manière un peu péremptoire, je ne demande qu'à être contredit par les faits...·le 13 fév. 2023 01:37
12 fév. 2023

Il peut être intéressant de connaître le contenu de la division 241.


12 fév. 2023

Il faut peut-être signaler qu'il existe une possibilité tout à fait légale, et qui permet d'éviter tous les écueils de la législation française:
1/ Faire immatriculer son bateau dans un autre pays européen
2/ Passer le RYA Yachtmaster offshore avec le "commercial endorsment"
3/ Signaler à son assurance qu'on effectue du charter
4/ A vous de jouer!


catatotte:Merci beaucoup !·le 12 fév. 2023 20:27
Addiction:Et vérifier aussi que les contraintes réglementaires d’un autre pays ne soient pas plus compliqués pour une utilisation professionnelle, ce qui n’est pas toujours évident . Cela demande une petite étude au préalable, ·le 12 fév. 2023 21:37
SailCamille:À partir du moment où vous êtes français, si vous naviguez dans les eaux françaises vous devez vous conformer à la réglementation française. Et ce, indépendamment du pavillon du navire."Exit" donc la solution proposée par Shari.Le diplôme britannique peut certainement valoir un visa de reconnaissance de la part des AffMar françaises, mais à voir avec eux...·le 13 fév. 2023 01:27
Addiction:Oui et non, je connais des skippers professionnels français dont mon beau-fils) qui travaillent sous pavillon étranger en France, soumis ou non aux règles social du pavillon, l’Equipement du bateau est celui du pays du pavillon, cela n’autorise pas l’ensemble des activités lucratives.La France posent elle même des pavillons de second registre (Kerguelen, Marseille) permettant l’exploitation de navires avec des règles sociales plus libérales.L’ensemble des réglementations, autorisations d’exploitation est véritablement complexe , tout n’est pas possible .·le 13 fév. 2023 02:04
13 fév. 2023

Je confirme que pour le Yacht Master une grande partie de la formation est en langue anglaise, le diplôme ne permet pas de travailler sous pavillon Français malgré un programme qui peut être techniquement plus pertinent que le capitaine 200 et dont les modules sont plus adaptés pour des adultes qui ont déjà une ctivites professionnelle.
Cas similaire pour la plongée le diplôme Paddy est reconnu dans le monde entier sauf en France, et l’inverse est vrai, plonger à l’étranger avec un diplôme français est un gros soucis.


F3D73:''Cas similaire pour la plongée le diplôme Paddy est reconnu dans le monde entier sauf en France, et l’inverse est vrai, plonger à l’étranger avec un diplôme français est un gros soucis.'''HSujet mais faut pas pousser ...Egypte Jordanie Philippine Maurice Seychelles Mexique Maldive Bali Aucun soucis avec des diplômes FFESS même mes diplômes CEDIP /ANMP sont connu (et portant peu de personne en France savent ce que sait ) mais nous sommes HS ·le 13 fév. 2023 17:24
Addiction:C'est grave d'être HS docteur ? Ben moi j'ai pas eu de chance avec mon FFESS, je vais regarder c'est peut être un faux 😂·le 13 fév. 2023 19:31
13 fév. 2023

@SailCamille: de ce que j'en lis, mais je ne lis pas tout, ce que tu dis est à la fois vrai et faux. Concernant l'armement de sécurité, j'ai pu en effet lire qu'un résident fiscal français, peu importe le pavillon de son bateau, doit se conformer à la reglementation française, tant qu'il se trouve dans les eaux françaises. (Je joins la copie d'écran de ce que j'avais trouvé à l'époque sur le sujet).
En revanche, pour le "chartering", je n'ai jamais trouvé quoi que ce soit d'équivalent, et ce serait d'ailleurs très surprenant. Si vous êtes sous pavillon étranger, vous pouvez/devez, vous conformer à la reglementation maritime du pays dont vous dépendez pour l'utilisation que vous faites de votre bateau.
A ce que je sache, "l'exception française" n'a pas été retenue pour l'exploitation commerciale d'un bateau.
Si tel n'était pas le cas, je serai ravi, sans la moindre ironie, que quelqu'un me produise un texte qui dit autre chose.


13 fév. 2023

www.enim.eu[...]-france

www.legifrance.gouv.fr[...]9-12-27

Comme d'habitude avec Légifrance, le contenu est à peu près incompréhensible, mais en gros ce que j'ai pu en retirer :

Si on est résident en France, naviguant (professionnellement) sous pavillon étranger, on doit soit cotiser à l'ENIM (donc avoir un diplôme, reconnu), soit jouir de l'exact équivalent en terme de protection sociale dans l'autre pays (suivant des conventions bilatérales).

Concernant le statut du navire, je n'ai pas encore trouvé, mais il me semblerait logique que la démarche soit la même : pas d'obligation du statut NUC (puisqu'il est par définition pour le pavillon français), mais exigences équivalentes en terme de sécurité.


SailCamille:"Dispositions applicables au titre de l’État d’accueilLe permis d’armement n’est pas applicable aux navires battant pavillon étranger dans le cadre de l’État d’accueil.Toutefois, la procédure de fixation d’effectif minimal de sécurité leur est applicable dès lors qu’ils ne sont pas titulaires d’une fiche d’effectif minimal délivrée par leur pavillon"www.mer.gouv.fr[...]sionnel ·le 13 fév. 2023 10:10
SailCamille:www.mer.gouv.fr[...]accueil "Le dispositif dit de l' « Etat d'accueil », codifié aux articles L. 5561-1 et suivants et R. 5561-1 et suivants du code des transports, vise à garantir l’application de règles uniformes en matière de droit du travail, d’effectifs minimaux, de rémunération minimale et de protection sociale à bord des navires pratiquant le cabotage maritime ou réalisant une prestation de service dans les eaux territoriales ou intérieures françaises, quel que soit leur pavillon."·le 13 fév. 2023 10:17
Shari:Merci sailcamille pour ces recherches. Je te rejoins sur le fait que, comme toujours, il est très difficile de traduire en langage courant, ces trucs législatifs... De ce que j'en comprends, j'aurai tendance à penser qu'en naviguant, dans les eaux françaises, sous pavillon étranger, il est important de vérifier auprès des autorités du pays dont dépend le bateau de la législation en vigueur. Ce qui ne garantit finalement aucunement que ce soit plus simple. Cela étant, dès lors qu'on sort des eaux françaises, tout devient sans doute plus simple. Et quand je dis ça, je n'imagine en aucun cas sacrifier la sécurité, il s'agit simplement de trouver un cadre légal qui permet d'assurer une activité ponctuelle sans entrer dans des considérations législatives et financières trop compliquées. ·le 14 fév. 2023 08:06
13 fév. 2023

Comme l’a indiqué sailCamille pour exercer une activité commerciale maritime en France et en règle c’est avec diplôme français et bateau soumis à la bonne division. Si c’est pour amortir les coûts du bateau le plus simple reste le partage des frais avec des invités, à faire sans exagération car les professionnels veillent (navires à passagers qui ont des activités loisirs nautiques en particulier) et qui se font un plaisir de prévenir les autorités


Shari:Excuse moi, mais non, je ne suis pas d'accord, et ce n'est pas ce qu'il ressort de nos échanges sur le sujet avec SailCamille: c'est soit bateau français et diplome français, soit navire étranger et diplome étranger, mais en faisant attention malgré tout, si vous êtes résident fiscal français voulant exercer dans les eaux territoriales françaises à respecter la législation. ·le 14 fév. 2023 08:08
holothurie:En rêve! marronnier traité dans de nombreux fils. Pas d'autre solution que le cap 200 pour le charter en eaux françaises. Et quant à la possibilité d'une activité ponctuelle rentable, c'est aussi du rêve. Mais visiblement, les rêves ont la vie dure!·le 14 fév. 2023 09:02
Shari:Holothurie, comme j'aime bien comprendre les choses, et que j'apprécie encore plus quand des gens détenant le savoir font l'effort de le partager, je serai ravi de te lire ici expliquer pourquoi il est impossible à quelqu'un naviguant sous pavillon étranger de faire du chartering. ·le 14 fév. 2023 09:48
Shari:Je précise, au cas où, que seule cette partie m'intéresse, pas le chapitre sur l'illusion de faire de la thune avec cette activité. ·le 14 fév. 2023 09:49
tatihou:Sur Toulon je connais plusieurs voiliers emmenant des passagers passer un we au mouillage a Porquerolles
A voir la joie de leurs passagers au retours les chefs de bord ont du etre bons bien que n ayant pas de cap200 Moi pour un we a Porquerolles je preferai un chef de bord bon cuisinier et rigolo qu un mec chiant ayant un diplome ·le 14 fév. 2023 13:57
Jef-370:@Tatihou : par beau temps peut-être, mais sinon ? Je ne dis pas que le diplôme fait les compétences, mais dans le gros temps, entre un chef de bord qui sait ce qu'il fait ou un cuistot.... :-(·le 14 fév. 2023 14:05
SailCamille:@Tatihou : tu veux dire que si j'ai passé deux diplômes, je dois être doublement chiant ? :D·le 14 fév. 2023 14:27
La Corogne, le plus vieux phare d'Europe construit à l'origine par les Romains

Phare du monde

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2022