inconvenient et avantage
Bonjour,
ma question est certainement bête pour vous mais pour moi qui suis néo..soyez indulgent.. :-) :-)
quels sont les avantages et inconvenients entre un génois sur enrouleur et sur les genois ou foc que l'on doit endrailler?
Confort? commodité? budget en cas de change?
Concretement un choix de bateau m'est offert (GIBSEA+) mat sans winch donc voile au taquet et genois a endrailler, et connaissant l'enrouleur et winch..c'est assez confortable..
merci
Réponse courte
Voile sur enrouleur :
Facilité
Confort, pas besoin d'aller à l'avant
Rapidité
Voile toujours à poste
Réduction de voilure facile
Voile moins performante quand partiellement enroulée
Prend moins de place sur le bateau
...
Voile sur étai à endrailler :
Voile plus performante
Voile du temps (si éventail suffisant)
changements de voile assez fastidieux dans le gros temps
Stockage des voiles à prendre en compte
...
enrouleur ou pas!
Rien ne vaut le côté commode d'un enrouleur dans la manœuvre.
Sur mon ancien navire, j'en avais monté deux.
Un pour le yankee et un aussi pour la trinquette, me disant qu'il était absurde d'en mettre un pour le yankee si il fallait quand même aller sur la plage avant réduire la trinquette.
Le problème est que les voiles s'usent au fil des jours et se déchirent. Si affaler une voile sur enrouleur est possible pour un solitaire; il en est autrement pour la regréer. ce que j'ai pu maudire ces enrouleurs en me promettant que sur mon prochain navire je n'aurai que des voiles endraillées.
En fait sur le nouveau: j'ai un génois sur enrouleur et une trinquette endraillée avec une bande de ris.
On oublie vite!
méditérranée
bonjour , si c'est pour la méditérranée,je pense fortement que prendre avec enrouleur est préférable ,ici les changements de vents sont fréquants
il reste
la prise de ris sur la voile de brise où l'on se mouille. mais c'est un peu moins pire que les voiles endraillées car on ne fait pas en totalité la manoeuvre.
JJ
oui mais
Hello,
effectivement, l'enrouleur est pratique, mais bon nombre des Héoliens de med, ont, ou sont en train de monter un étai largable pour y endrailler un solent ou autre trinquette.
La raison est que dés que le génois est enroulé à plus de 40% (environ) il n'est plus possible de remonter le vent fort (Mistral par exemple) correctement.
Pour ma part, j'avais même envisagé de carrément démonter mon enrouleur et revenir à des voiles enraillées pour finalement le garder encore un peu et voir ce que ça donne avec la voile de brise sur l'étai largable.
Donc, bilan mitigé pour l'enrouleur.
A+,
Harry.
Si j'étais toi,
avec un bateau comme le tien (gib sea +), je choisirai l'option sans enrouleur parce que c'est plus formateur, enfin amha.
Et puis, il y a une vielle maxime, Glénanaise je crois, que j'aime bien: commencer par le plus compliqué, c'est plus simple...
et en plus
vu la taille des voiles , l interet de l enrouleur est vraiment discutable !
sur un voilier leger comme celui là , mettre un enrouleur est une connerie parce que tu auras une voile jamais bien et , tu ne purras jamais en tirer le maximum
d autre part j ai deja vu de + tout dessus avec 20nds de vent au pres serré , mais les voiles etaient trestres belles et l equipage au rappel
;-) ;-) ;-) ;-)
deux inventions majeur
en plaisance : le GPS
et l'enrouleur.
L'enrouleur egal plus de securité ,plus de performence ,moins cher qu'une garde robe complete.
surtout securité.
josé
Il y a bien longtemps...
que je ne suis pas allé à l'avant pour changer une voile, mais pour remettre de l'ordre autour du tambour de l'enrouleur, oui!
Bien sur que les voiles endraillées sont plus performantes etc...
Mais, surtout sur un petit bateau, un jeu de voiles d'avant prend beaucoup de place et aller à l'avant le fait piquer du nez en même temps que l'on se fait arroser car on ne change pas de génopis ou de foc par pétole.
Je me souviens de bords de près à bord de Wikldrocket (ce nom parle seulement aux plus anciens!), avec un coup à plusieurs mètres au dessus de l'eau et un coup dans l'eau jusqu'à... assez haut!
et
y a l age du capitaine
est il souvent seul ou avec equipage novice
ou est il avec super equipage ??
avec des enfants
ou tout a la fois
moi suis enrouleur a mort
mois dhesitation pour reduire ou en remettre donc petit gain de route
et j oubliais
les douleurs les raideurs mal situees
le poids 100 kg projete sur les filieres c a fait mal aux filieres et au capitaine
et bien tu voie je ne suis pas d'accord
Pour la performence.
Comme tout le monde j'ai debuté avec le classique puisque l'enrouleur n'existait pas .Lorsque l'enrouleur est arrivé j'ai tiqué coté performence.
Et bien dans la pratique quotidienne sur un parcours de plusieurs milles l'enrouleur est plus performent à mon sens.
Pourquoi : parce que tu as toujours à chaque instant la surface qui va bien , tu rentres ta voile des que ça ce leve , des que sa moli tu la renvoie.Avec les voiles à mettre à poste ,,tu attends ,tu hesites ,et si ça moli dans 5mn, et tu te trouve soit surtoilé ou soit sous toilé souvent.
D'accord sur certain parcours suivant la metéo l'enrouleur peut etre moins performent en theorie il l'est c'est sur , mais dans la pratique ça ce discute.
josé
Et le bi- ou tri-grammage!
Morsque j'ai fait faire mon génois, j'ai eu la chance que mon voilier local fasse du bi-grammage pour la taille de mon bateau, tri-grammage pour les plus gros.
Cela signifie grammage plus fort sur la chute etbla bordure, grammage plus faible vers le guindant.
Comme en plus, c'est du tissu traité anti UV par imprégnation, je n'ai pas de bande anti-UV qui charge la chute. Je suis un homme heureux!!!
Et bien, tu vois, je suis d'accord avec toi!
Je parlais des performances dans l'absolu car il est bien connu que, au près, le génois est moins performant qu'une voile endraillée : épaisseur de l'enroulement qui perturbe les filets d'air avec un profil d'attaque moins bon, génois dont le creux est plus ou moins bien rattrapé etc...
Par contre, en route, on adapte immédiatemnt la toile au temps, sans trou entre deux tailles de voile alors que s'il s'agit d'aller à l'avant, on fait ce genre de raisonnement lorsqu'il faudrait réduire : "j'attends un peu car le vent va peut être mollir à nouveau" et à l'inverse "j'attends un peu, au cas ou il forcirait à nouveau"!
Et à l'arrivée, on enroule le génois en quelques instants en entrant au port.
Je me souviens dans mon club de voile, le jour où nous avons décidé de remplacer les voiles d'avant d'un Melody par un enrouleur. Bon nombre de chefs de bords étaient contre et déclaraient qu'ils continueraient à utiliser les voiles d'avant (ils n'expliquaient pas comment!). Ces discussions ont très vite cessé devant l'agrément de l'enrouleur!
sauf
dans les petits airs où je me plains( perte de surface du génoi et grammage supérieur); mais à partir de 3-4, tu as peut-être raison, en solo cela se gère très bien.
JJ
confort et sécurité
Bonjour,
Quand ma femme m'a dit qu'avec les enfants elle n'aimait pas me voir devant pour changer les voiles.
Enrouleur= moins de surface, cap moins bon.
J'ai eu du mal à me mettre en tête d'installer un enrouleur, mais depuis bien des avantages insoupçonnés. Le bateau est sec, pas de voile mouillée balancées dans le carré mais aussi, comme dit plus haut si le vent molli un peu on déroule, si on abat on déroule, finalement on n'hésite moins à mettre de la toile surtout au débridé.
Je l'ai installé moi-même et pris mes mesures, en fait le génois de l'enrouleur est un poil plus grand que celui d'origine.
Mon premier bateau est un Sail 902 de 8,5m avec 44m2 dont 30 m2 de génois.
voilà pour ma petite contribution
Cordialement et bon vent.
JC22
Si l'enrouleur est devenu un grand confort
le yankee ou trinquette devrait être incontournable sur étai largable (ou pas).
Et c'est très loin d'être la cas.
hummmmm
c'est bien mitigé tout cela......le gibsea qui m'interresse n'est pas pourvu d'enrouleur donc je n'ai pas le choix...ceci dit la transaction n'est pas effectuée...j'hésite, je suis néo donc c'est mieux pour apprendre mais plus confortable l'enrouleur, les performances a degrés moindres, le cout moins élevé sans enrouleur....oualalala que c'est dur et confus de choisir..la cabine pas mouillée....en tous cas merci a tous pour les reponses...bien entendu le vendeur va dans le sens d'endrailler est bien mieux!!!!
j'en connais d'autres
qui préfèrent l'endraillé.
A mon avis,ce parti-pris garde son intérêt sur un gréement de cotre.
Enrouler le génois de trois quatre tour est si rapide, et si souvent à réaliser, que le chemin inverse (vers l'endraillé) est difficile.
Tu pourrais acheter ce Gib-sea et le transformer plus tard (ou pas). Des focs endraillés sont un argument pour faire baisser le prix du canot.
non sans enrouleur
le prix du bateau est peut etre moins elevé encore que .Mais demain tu devras changer 3 voiles à l'avant qui elles te coutera largement le prix de deux enrouleurs.la durée d'une voile entre 5 et 10 ans donc demande l'age des voiles si elles sont vieille prepare toi de devoir les changer bientot.
josé
j'ai utilisé pendant 3 ans
2 bateaux, un 30 pieds de 81 avant enrouleurs et un 22 pieds de 71 sans (un genoa à 110 et un foc de brise), pas de ris sur la GV (bateau raide fait pour le baston)
ca ne me viendrai pas à l'idée de mettre un enrouleur sur le 22 pieds ni de naviguer sans enrouleur sur le 30 pied masi j'ai 2 jeux de voiles complet que j'ai fait adapter à l'enrouleur, à l'occasion je fais des sorties de brise à la journée avec le foc adhoc. je ne crois pas trop à l'étai larguable sur un 30 pieds masi j'ai des collegues qui en ont un
je suis convaincu sur l'utilité
mais le bazar d'avoir un étai qui se balade, en plus sur le first 30 il y a un bas étai (sur lequel je pourrai mettre un palan c'est vrai mais ca ferait 2 étais à gerer
plus le cout , le poids
rien n'est plus efficace que le genoa à 110 ou les focs 1 et 2 si j'ai le courgae de les greer en leu et place du gse
En même temps ...
Cela peut paraître un peu théorique mais le fait de posséder 3 ou 4 voiles d'avant va aussi répercuter l'usure sur ces mêmes voiles. Alors que le genois sur enrouleur s'usera forcément plus vite.
Après, ceci ne doit pas être un critère de décision, l'agrément et la facilité l'emportant généralement sur la performance dans un programme croisière ...
Il ne faut pas croire
Il faut essayer (chez les autres bien sûr).
on est vite convaincu d'une grosse différence dans certaines conditions.
JJ
oui mais
les voiles à mousquetons, à force de les ranger(sic) de les ressortir, en vrac souvent, surtout sur un petit bateau et en équipage réduit, l'usure n'est elle pas importante d'autant qu'elles sont rangées(resic) humides avec de l'eau salée, sans parler des aspérités etc l'enrouleur est quand même un gros progrès de sécurité, attention je parle croisiere pour la regate ça se discute.
avec le santana 22
je roulais les voiles à chaque retour au ponton, elles étaient vraiment bien malgre leur age, elels passaient la nuit sur le pont si on dormat ailleurs qu' à notre base mais c'était rare ...
oui jean
mais en nave quand tu fais les manœuvres dans l'urgence et souvent en équilibre instable tu les ferles vite fait sur les filières ou tu les balances en vrac dans le carre
de verdad Daniel
sur le santana pour les quelques courses offshore on ferlait le deuxieme foc dans les filieres, tout le jeu de voiles comprenait 4 unités, 2 focs, i GV 1 spi
Economique !
ca a des avantages les bateaux raides à la toile ...
apres 30 noeuds on passait au mode survie mais plsueirus de ces bateaux ont fait des courses solo sur hawai et un est allé au japon !
je voulais le ramener en france dans un conteneur mais l'amiral et directeur finnacier a refusé, il aurait été super dans le mistral
:-(
le championnat national en 2007
santana22.com[...]photos/
le regretté Gary Mull
peu connu en france, qui a eu un succés consideérable apres l'excellent santana 22 dessiné sans contrainte de jauge et qui est toujours un monotype et dont la construction vient de reprendre !!
gary Mull a dessiné un des gagnants de l'america 's cup
on a beaucoup régatté avec LW contre un Santana 30
members.dca.net[...]ull.htm
à signaler aussi la disparition hier de ohlson, un des inventeurs de l'ULDB californien avec le génial Ohlson 30
November 19, 2008 – Santa Cruz
George Olson back in the day. "I never heard him say a bad word about anyone, and I never heard anyone say a bad word about him," said one admirer. "He was always a gentleman and a gentle man."
Photo Courtesy The Olson Family
© 2008 Latitude 38 Publishing Co., Inc.
We’re sorry to report that George Olson lost a long battle with cancer last weekend. He died on November 12 in Santa Cruz, surrounded by wife Lyn Neale, his two grown children Adrian and Kristina, and other family. George was 68.
Olson was a true renaissance man — a jack of many trades and master at more than a few. Antique car restoration, model railroading, surfboard maker, boatbuilder, landsailer and amusement park ride designer were just a few of the passions during his life. We don’t know what sort of a mark he left on most of those pursuits, but the one he left on sailing is huge and indelible: George was a key ingredient in the primordial soup that gave the world ultralight sailboats.
George Olson was born in San Diego to a Navy family. He moved around quite a bit during his childhood, living variously in San Pedro, San Francisco, Hawaii and Japan — where he learned to sail at the Navy base yacht club at age 14. His father finally retired in the mid-'50s and the family settled in Santa Cruz. George got involved in local sailing right from the start. At 19 he had built his first boat, a trimaran. A decade later, he he was working as a hod carrier — the guy who carries bricks up the ladder to the mason — by day, while spending the weekends doing crazy things like ‘turboing’ Cal 20s with bowsprits and outsized rigs. One day, low on money as usual, he and some buddies got the idea of building the longest-waterline hull possible to which they could attach a Cal 20 keel, rudder and rig. Two young boatbuilders named Ron and John Moore took notice of the result, a crazy-fast 24-footer named Grendel, and a few years later, the design was tweaked to become the Moore 24.
Later, George went to work for Bill Lee where he helped build boats and design tooling. While delivering Merlin back from the ‘77 TransPac, George, Don Snyder and Dennis Bassano put their heads together and birthed yet another Santa Cruz ULDB stalwart. They called the design the SOB 30 (for their initials), named the resultant boat Pacific High, and later went into partnership producing it as the Olson 30. Later still, he enlarged the design and the Olson 40 was born.
Through it all, George never finished his formal education and never got a naval architecture diploma. He was a 'natural' with an intuitive sense of how wind and wave interacted — with an artist's eye for designing pretty boats. In a Latitude interview way back in 1979, in response to a question about what calculations he used before changing the size and shape of the Olson 30 keel from that of Pacific High, he said, “I just look at boats. Everybody asked me what the NACA numbers are for the foil sections — that’s a book of aircraft section foils where you can get all these drag ratios and laminar flows out of it. Well, I can’t understand any of it. I tried, but it’s way over my head.”
George’s ever fertile imagination eventually drifted away from sailboats (although he remained involved in landsailers and model boats), but his legend lives on. We’ll have more about Olson’s life and stories in the December issue. And we invite you to share yours for possible inclusion. Please forward your remembrances of George Olson to John Riise. But don’t delay, we have only a few more days until our December deadline.
Sur Gib Sea plus, une abherration.
Jean Berret , est l'archi du Gib Sea plus 80.
Si l'on navigue sur un Gib Sea plus, c'est pour se faire plaisir. Et même de courtes croisières croisières restent sportives.
Pour moi, il est donc abherrant d'installer un enrouleur qui lui coupera les ailes.
D'autant plus que si le temps est incertain, il reste vivant sous foc et du fait de son gréément 7/8 ième c'est un voilier facile à régler en conséquence. A condition d'apprendre à régler un 7/8ième.
N'oublions pas que c'est un bateau trés peu raide à la toile conçu pour naviguer avec un équipage complet au rappel.
Pour un voilier plus important, disons 10m, je partage le point de vue d'autres intervenants, un enrouleur permet d'être globalement mieux adapté à la voilure du temps, même si l'on perd beaucoup en puissance et en cap dans le petit temps ou le clapot.
de tres belles images
tu passes dans la 2° catégorie citée celle des régates ou là effectivement le pb est différent mais te vois-tu en croisière familiale demander à l'amirauté de se mettre au rappel les jambes pendantes avec en plus le matos à, l'intérieur qui se balade, parce que l'on a beau dire mais une femme à bord il y a toujours un truc un peu fragile qui est mal calé qui a été oublié et qui fini parterre en petits morceaux et dans le sud on est plus souvent pieds nus qu"'avec des bottes, et puis il y a des amirautés (peu trop peu hélas) qui participent aux manœuvres mais pour d'autres même la barre (du bateau) (obligé de préciser cause des malveillants) c'est déjà trop demander, l'idéal serait d'avoir un local au port et en fonction du genre de nave que l'on va faire on met ou pas l'enrouleur
mais pourquoi?
prendre un voilier typé régate pour faire une croisère familiale?
le gib sea plus n'est pas le plus adapté à ce programme!
de plus les voiles d'avant ne sont pas bien grandes, donc l'enrouleur n'est pas obligatoire.
ben moi ...
je ne fais pas de regate , je me promène en famille et nous avons choisi volontairement de ne pas avoir d' enrouleur .
Pourquoi ? c' est simple , parce qu' on est nul et que l' on ne sait pas trop bien se servir de l' enrouleur ...
C' est toujours quand y faut reduire que ça s' enroule de travers .
Enlever et remettre la voile au port est bien plus simple sans enrouleur .
Nous navigons en cotre , c' est plus jolie !
Notre bateau etant petit , les voiles le sont egalement alors les manoeuvres restent très simples .
En fait , c' est trop compliqué , ce n 'est pas très utile et c' est assez cher ...
Biensur nous changerons d' avis lorsque nous aurons un genois de 60 m²!!!! :-D
naviguer
en equipage reduit dit enrouleur. Je pense cela plus securisant sans penser a la place gagnee dans la cabine avant ....
en équipage réduit
il y a de la place pour ranger.
surtout en solo... ;-)
ceci dit j'ai navigué en solitaire pendant des années sans avoir d'enrouleur.
c'est un gibsea+
donc un voilier facile à manoeuvrer ,rapide avec des petites surfaces j'irais meme jusqu'à l'étai creux .
avec deux voiles d'avant un genoa et un solent
en jouant sur la GV il doit pouvoir s'en sortir
cordialement
alain :-)
Sur un bateau comme le Gib Sea plus,
un enrouleur ne se justifie pas... le genois fait 15 m2, le solent la moitie moins, ca reste raisonnable a maitriser.
Le tourmentin doit faire 1 ou 2 m2.
Les mousquetons coutent moins cher et sont beaucoup plus fiables que l'enrouleur, et le changement de voiles est rapide.
Sans compter le profil que ca donne a la voile ! :-(
Sur le mien, j'ai un bon systeme de sandow a l'avant pour etouffer le genois ou solent, avec le point d'amure toujours a poste ( double crochet a l'etai). Les voiles sont pliees au port, en sac sur l'etai( quand je dors a bord !)
je vais...
tenter d'essayer le bateau ces jours ci..mais le gars de l'agence me laisse seulement essayer celui ci si je signe un conpromis de vente!!!!!
je n'aime pas ce genre de pratique...et si cela ne me convient pas
c'est vrai
..mais, perso, je suis clair dans mes intentions et loin de là de vouloir gruger quelqu'un..de plus étant mon premier achat il devrait être compréhensif..mais bon ce n'est pas grave...
Ah oui, aussi les frais de grutage sont pour ma pomme aussi si je désire voir la coque..ben dis donc où sont les gestes commerciaux???
ceci dit, j'ai bien lu toutes vos reponses..et c'est vrai que le choix est difficile..
je penche un peu pour l'enrouleur malgré tout, je pense nave en solo..dès que je suis capable..
C'est normal...
Si a chaque fois que quelqu'un se fait passer pour un acheteur le professionnel laisse essayer le bateau, il n'en a pas fini de voir défiler les amateurs de sorties en mer et il faudra qu'il augmente son pourcentage de commissions...
Par ailleurs, quand on achète ce type de voilier on doit savoir son type de comportement.
de mon experience
aux etats unis, pas de compromis avant l'essai, mais frais de mise à l'eau aux frais de l'acheteur, ca parait logique
l'enrouleur fragilise le gréement ...
c'est en tout cas ce que j'ai lu et ce que des skipper m'ont affirmé.
La raison en est bien simple : vous avez un "tube" sur lequel est enroulé votre génois et tout le mécanisme qui va avec que vous déroulez maintes fois lorsque vous naviguez. les forces appliquées sont suffisamment importantes (du au "surpoids" de l'enrouleur) pour accélérer la l'usure de tout ce qui compose le gréement.
Par ailleurs, lorsqu'on a un enrouleur, on a tendance a "oublier" l'étai qui passe a l'intérieur de celui ci. Le risque de frottement de l'enrouleur sur l'étai est important. Vous ne pourrez pas vérifier l'intégrité de votre étai QUE si vous démontez votre enrouleur ...
Et si on peut se permettre de claquer un hauban, sans conséquences forcément fâcheuses ...( mettons nous d'accord, je parle de conditions "raisonnables" ...) ben l'étai lui, s'il lâche, c'est le démâtage assuré. Et vous savez où il va tomber ? pas a babord, ni à tribord. si vous êtes tranquille entrain de siroter votre apéro dans le cockpit, barrez vous ... :-D
De petits risques...
Le risque identifié est le détoronnage à la partie supérieure de l'étai, en cas d'efforts anormaux.
Ce haut d'étai mérite un coup d'œil périodique.
La question principale est toutefois celle de l'utilisation : en cas de point dur, il ne faut pas insister avant d'avoir identifié la cause. En bref, ne jamais forcer sur un enrouleur comme, par exemple enrouler le génois en faisant des efforts au winch.