Mais qui est le chef de bord?

bonjour à tous,
nous sommes 2 co-propiétaires d un F29 et la navigation du week end dernier (28/04 au 1/05/12) délicate en Bretagne sud, a mis à l'épreuve notre prise de décision concernant nos options de cap à prendre!
Au départ de port Joinville (ile d'Yeu) vers Pornic (2 propriétaires et 2 équipiers), lundi dernier au matin et, en raison d'une météo annoncée sous estimée (forte houle hachée et vent établi de 25nds) nous avons décidé de faire demi tour,( après prise de ris et réduction du génois), et là , la destination d'atterrissage (de retour?) n'a pas été évidente ; Les Sables d'Olonne pour l'un , Port Joinville pour l'autre?
Quelles règles de bon sens aurions-nous dû appliquer, pour éviter 1 heure de cafouillage (nous avons bien gérer la situation, car pas en danger), concernant la direction à prendre et éviter un allongement de navigation ( retour les Sables d'Olonne, notre port d'attache)
et surtout si météo imprévue plus forte et dangereuse!! ??
merci pour vos postes pour trancher nos petites divergences.......

L'équipage
05 mai 2012
05 mai 201205 mai 2012

Le probleme ne viendrait il pas plutot des equipiers plutot que des deux proprio. J'imagine que c'est vos deux gonzesses.
Mesdames n'auraient elles pas voulu descendre du bateau au plus vite car ca "gitait trop" ?

Entre nous 25 noeuds c'est pas la mort et vous auriez pu continuer jusqu'a Pornic...

05 mai 2012

Oh que voici un beau post bien macho ! :lavache:

:-D

PS : Il existe des "gonzesses" qui aime bien quand ça gite ! la mienne, par exemple!

Thierry, sur Troll :-p

05 mai 201205 mai 2012

bonjour,

une règle simple à appliquer : à bord d'un bateau, quel qu'il soit, il n'y a qu'un seul capitaine, qui décide des options à prendre.

Et s'il y a deux co-propriétaires (ce qui porte sur un point financier), il ne peut y avoir deux skippers. Ce que vous rapportez en est la preuve.

Cette question aurait dû être réglée avant pour éviter ce genre de déboires.

Les décisions en navigation reviennent de droit au plus expérimenté, considéré comme ayant accumulé le plus d'expérience préalable.

05 mai 2012

Il suffit de définir avant le départ qui est chef de bord.
Et surtout de s'y tenir.
Ou alors jouer à pile ou face pendant le danger... :-D

05 mai 2012

Forte houle hachée au départ de Port Joinville, c'est assez habituel, non?

05 mai 2012

Pour répondre à "qui est le chef de bord?", facile, celui qui a été désigné, voire inscrit sur le rôle d'équipage dans le livre de bord.

Il ne me viendrait pas à l'idée de larguer la moindre amarre sans savoir qui est le skipper!

J'ai longtemps navigué avec mon frère sur différents bateaux (location, puis le nôtre). Nous sommes tout deux compétents, lui moniteur de voile, moi marine marchande. Et en fonction des navs c'était une fois lui le skip, une fois moi.

Et après bien des milles, il nous arrive de co-skipper tant nos décision convergent toujours. Seulement si nous ne sommes que deux.
Mais en cas de "situation trouble", à choix multiple, le premier qui dit "je prends la manœuvre en main" devint instantanément le skip, et l'autre obéit. Cela doit rester la super exception. Et il faut beaucoup de confiance dans ce cas de figure.

Dans le livre de bord, j'aime bien inscrire qui est à bord pour m'en souvenir plus tard. C'est dans ma procédure de départ : position, heure, météo... et personnes à bord. Un skip et les autres, voire parfois un skip, un first mate et les autres.

Simples règles qui permettent de bien vivre la croisière.

05 mai 2012

Bonjour,
Attention à la différence entre théorie et pratique ...
Disons que la pratique est ce qui se pratique couramment.
La théorie est LA réalité retenue par la justice en cas de problème.

Pratique :
Ne rien prévoir au sujet skipper.
Tirer à pile ou face.
Inscrire sur le lire de bord.

Théorie :
En cas de problème assez grave pour aboutir à une voie juridique alors LE skipper est celui qui avait le plus d'experience à bord et ce quelque soit les "petits arrangements" de la pratique (qui n'auront donc aucune valeur face à un tribunal) ...

Seule et unique exception : plusieurs personnes de même expérience à bord, la le skipper retenu sera celui inscrit au livre de bord effectivement.

Cordialement,

Shamane

05 mai 2012

.
La question : prendre le pouvoir !
On est en plein dedans au niveau national.

Le CDB est soit naturellement désigné, soit auto-proclamé.
La compétence et l'expérience priment sur tout.
Si deux personnes sont au même niveau de compétence et, en plus, co-propriétaires, alors là ça se corse et la discussion entre les prétendants risque de devenir âpre.

Mais comme dans toute discussion menant à une prise de décision ce sera le plus persuasif et le plus autoritaire qui l'emportera et ça ce n'est pas terrible pour un embarquement surtout pour celui qui sera le "second".

Si tu navigues souvent avec lui, alternez le rôle d'un commun accord bien avant les sorties.
Que tout soit clair au moment de l'embarquement et que la question ne se pose pas à ce moment là.

Perso, n'ayant pas de bateau, quand j'embarque sur un BDA la seule question qui se pose pour moi c'est de savoir si j'ai confiance et si j'embarque ou non.
Je n'ai jamais eu à débarquer.

Dans ma bande (12 personnes aujourd'hui), quand on fait de la loc, il y a 3 individus qui sont aptes à avoir ce rôle.
C'est toujours celui qui est à l'origine de la sortie et qui gère l'organisation qui l'emporte naturellement sans aucune contestation de la part des autres.
Et jamais on ne redistribue les rôles en cours de nav.
Ce qui n'empêche pas de discuter des options qu'il prendra et tenter parfois d'infléchir sa décision.
Ca fait 12 ans que ça dure.

Mais attention à l'égo qui ne doit jamais prendre le dessus.
Si tu es sûr de toi tu sauras avancer les bons arguments.
Mais si tu argumentes avec, en tête, l'idée que le CDB n'est pas bon, alors là .....
faut sortir les gilets, planquer la gaffe et s'attendre à une situation tendue pour le reste de la ballade.

Un bon chef de bord sait s'imposer naturellement par ses bonnes décisions successives.
S'il tente de faire valoir son rôle avec, pour seul argument, l'autoritarisme, alors méfiance.

.

05 mai 201216 juin 2020

Je propose que ce soit l'équipage qui vote.
Ensuite, si le capitaine se montre inadequat, on lui donne la tache
AAarrrgh!

05 mai 201205 mai 2012

Bonjour,
Normalement, le chef, c'est celui qui pisse le plus loin... :acheval: :acheval: :acheval:

05 mai 2012

J'ai un copain africain qui fait du bateau avec moi de temps en temps. L'autre jour, après quelques bières, nous avons eu besoin de satisfaire un besoin naturel au ponton. Il faisait frais et je lui ai dit ''brrrrr, le fond de l'air est frais ! Il m'a répondu : le fond de l'eau aussi !'', depuis, c'est lui le chef de bord...
Bon ben j'y retourne.. :acheval:

05 mai 2012

Même en choisissant clairement qui était le chef de bord, il y aurait eu du cafouillage.
Visiblement, vous n'étiez pas en danger. Un bon skipper est responsable du bateau, mais, le plus souvent, un point d'atterrissage est un choix d'équipage. La seule règle de bon sens est ici d'écouter l'autre et de ne pas être rigide.

05 mai 2012

la décision finale doit être prise par le seul chef de bord, ce qui n'exclut pas des discussions préalable avec l'équipage (on n'est pas au bagne).

Ecouter, oui, ne pas être rigide, sans doute, mais il faut bien in fine une personne, et une seule, qui décide des manoeuvres et de la direction à prendre.

05 mai 2012

On peut se souvenir de la "mutinerie" d'équipiers à bord du bateau de course de La Poste. Tabarly avait été envoyé pour remettre de l'ordre.
Il me semble qu'après avoir débarqué les contestataires le skipper officiel l'était resté mais tout l'équipage savait alors qu'il y avait Tabarly à bord.

05 mai 201205 mai 2012

Blague à part, je navigue assez souvent sur mon bateau avec des amis ou des gens de ma famille qui sont eux même des voileux, voire des motoristes ( beurk.. ) et la règle est annoncée avant le départ:
si l'on peut discuter démocratiquement du but de la croisière, des escales et de ce que l'on va boire, en mer, la sécurité du bateau et la manière dont il navigue sont exclusivement de mon ressort, et cela ne souffre pas la moindre discussion. Règle que je m'applique bien entendu quand je navigue à bord d'un bateau ami, je ne discute jamais une décision du chef de bord, même si je n'ai pas la même perception de la situation. Ceci étant une manière d'être personnelle et qui engage ma responsabilité.

05 mai 2012

Libre a chacun de faire comme il veut ...
Qui n'a jamais enfreindre la loi ?

Mais la question de ce topic est "qui est le chef de bord" :
On peut faire comme on veux mais en cas de passage devant un juge LE skipper sera le plus qualifié/expérimenté.
Aucun jugement ou conseil dans ces rappels, seulement l'intention de diffuser une information "fiable".

Tant que tout va bien on fait ce qu'on veux ... Le pb est quand ça commence à dégénérer comme le laissé penser le message initial ...

Cordialement,

Shamane

05 mai 2012

La question aurait dû être posée AVANT le départ. Là ça ressemble à du cafouillage. Il y a forcément un chef de bord naturel et c'est à lui de s'imposer; ça ne veut pas dire que l'on ne discute pas des options possibles, mais il n'y en a qu'un qui tranche.

Pour le futur :
- Naviguer chacun à son tour (bonjour les discussions en cas d'avarie)
- Que l'un revende sa part et achète son propre boat

P.S. Les Sables par forte houle et pas beaucoup d'eau, ça risque de toucher avec un F29

05 mai 2012

Perretour a l'ile d'yeu = entrée de port moins dangereuse. Pour la prise de décision, définir avant le départ, qui est le skipper.

05 mai 2012

Si deux adultes voileux sur un mème bateau à l'évidence non en danger, ne sont pas capables de s'entendre sur un port de destination c'est qu'il y a vraiment un sérieux problème dans le "couple".

05 mai 201205 mai 2012

il fallait lire, pour le retour, l'ile d'yeu, car moins dangereux que les sables, surtout si les conditions météo s'aggravent.

05 mai 2012

Bonjour,

dès l'embarquement, 1 seul skipper à bord : soit par accord tacite, soit désigné nommément. S'il accepte le rôle, il prend la responsabilité du bateau, de l'équipage, des passagers et ses décisions sont sans appels. Amarres larguées il reste le seul maître à bord.....

Dans l'urgence, la démocratie n'a plus cours à bord. Pour le reste, il y a toujours moyen de discuter de la suite des évènements, mais la décision finale appartient au skipper.

Le fait d'être l'armateur ou co-armateur ne donne en soit aucune prérogative sur la bonne marche du navire.

Bien sur, si le skipper se révèle incompétent ou dangereux..... mais ce n'est pas l'objet du fil.

Cordialement,

05 mai 2012

"Le gardien du navire n’est pas nécessairement son son propriétaire. Les juges s'attachent à rechercher, dans chaque cas, qui avait la maîtrise nautique du bâtiment (choix des options de navigation, autorité sur les personnes...). Il se peut ainsi que le gardien du navire soit le skipper, un équipier, voire un ami à qui on aura prêté son bateau. La garde peut même être collective. Lorsque plusieurs coéquipiers manoeuvrent ensemble à la conduite du navire, les magistrats peuvent en effet considérer que chacun d'entre eux exerce une part de la garde du bâtiment. En cas de dommages, chacun devra en principe assumer une partie du poids des indemnisations éventuelles. Toutefois, la Cour de cassation exige que les rôles soient exactement déterminés au moment de l'accident. Les juges n'hésitent d'ailleurs pas à se référer à la particulière qualification du skipper et à son autorité pour lui imputer l'intégralité de la garde du bâtiment.

En cas de doute, le rôle de l’équipage qui doit être tenu par le skipper fera foi."

Tiré de l'excellent site de maître Ariel d'avant avocat maritime.

www.ddbd.com[...]er.html

05 mai 2012

Il m'est arrivé des centaines de fois de naviguer avec le propriétaire d'un bateau ou leurs copropriétaires.

En cas de complications ou de difficultés, très naturellement, on se retourne vers moi pour les décisions d'importance. Généralement, une décision s'impose naturellement.

A de rares exceptions, cela n'a jamais posé de problèmes, sans doute parce que je navigue avec des propriétaires qui n'ont pas d'égo démesuré...

En course, avec des navigateurs expérimentés, les choix s'imposent d'eux mêmes et rares sont les situations de désaccord.( aucune en 2011 par exemple)

J'ai tout de même vécu une situation étonnante lors d'un spi Ouest France sur un voilier très connu où son nouveau propriétaire apparaissait dépassé par sa nouvelle monture,même à ses vieux copains qui se retournaient vers moi.

Je m'appliquais donc à ne rien dire mais le poids de mon silence créait à lui seul une tension. C'est l'une des deux fois de ma vie ou j'ai préféré débarqué...

05 mai 201205 mai 2012

bonjour,
bien que l'usage se perde , le livre de bord fait partie de l'armemen obligatoire sur un navire ,il doit mentionner l'équipage ainsi que leurs fonctions et nomer le chef de bord.
SUR UN BATO C EST LA MONARCHIE ABSOLUE la démocratie n'existe pas surtout quand ça va mal. il ne faut pas confondre l'armateur et le capitaine qui souvent sont le meme
par exemple en convyage avec un propriétaire il faut définir le rôle avant le départ
et surtout l'inscrire sur le contrat

ALAIN

05 mai 2012

Oui, c'est la monarchie absolue, pour preuve, certains chantres de le co-gestion (G.D. et M.R.) ne la pratiquaient absolument pas sur leurs bateaux!

08 mai 201208 mai 2012

G.D. : cherches à Marseille.

05 mai 201205 mai 2012

.
Attention Jean-François !

MR refusait la cogestion de fait dans l'idéologie autogestionnaire.
Donc, ne pas confondre autogestion et cogestion ! :mdr:

Quant à G.D., je cherche toujours. Help ! :pecheur:
.

05 mai 2012

Livre de bord obligatoire après 6nm.
Avant, non.

05 mai 2012

Comme déjà dit, la nommination du CdB avant le départ reste une règle absolue
mais même nommé, je pense que la situation n'était qu'une embrouille de "gamin"; je suppose que le retour à une allure arrivée était bonne pour les 2 destinations, sauf que retourner d'où on vient est frustrant pour certains, et retourner au port d'attache aussi, il aurait mieux valu aller ailleurs pour profiter d'une autre journée de nav...
on peut supposer que si la situation avait été dangeureuse, l'accord aurait été plus facile, la sécurité aurait réglé ts les pb de choix, CdB ou pas.
ou alors il faut éviter de naviguer à vous 4...
bonne nav
JL.C

05 mai 2012

des commentaires ci-dessus bien informés selon lesquels le chef de bord est le plus expérimenté, j'en déduis que que celui qui le devient c'est celui qui le veux car je ne vois pas bien comment on peut objectivement comparer les expériences de deux voileux qui ont chacun quelques années de navigation qui ne sont généralement pas comparables????

05 mai 2012

fallait pas sortir, 25 nds et de la houle si tout le monde n'est pas passionné ...

05 mai 2012

ta réponse ne fait pas avancer le chmiblick jean-petite-aile .
2 proprios qui prend le dessus en cas de coup dur ? tel est la question .

05 mai 201205 mai 2012

Si je pars de Port Joinville direction Pornic, mer difficile, je suis entre Yeu et Noirmoutier, si je décide de faire demi tour le chemin le plus court semble être Yeu plus que les Sables.

Donc si quelqu'un est malade à bord ou si la navigation devient diificile pour météo plus dure que prévue, il me semble que le bon sens marin c'est d'écourter la navigation jusqu'à l'abrit le plus proche : Yeu si vent de Nord ouest mais tu ne dis pas d'où vient le vent.

Tu ne dis pas comment ça c'est terminé, quel port et pourquoi .

05 mai 2012

Salut
En ce qui me concerne, lorsque nous sortons entre amis, je suis chef de bord uniquement en ce qui concerne les manoeuvres, et la navigation. En particulier lorsqu'il y a danger.
Mais pour choisir d'aller se promener ici plutôt que là, lorsqu'il n'y a pas de danger, je ne vois pas pourquoi j'imposerais à tout le monde mon choix. Cela se discute gentiment.
Mais dès qu'il y a urgence, on passe en mode "skipper et c'est tout" !!!
Dans le cas de Bernale, il semble qu'ils considéraient qu'il fallait réagir pour des raisons de sécurité. Il fallait donc passer en mode "Skipper".
Il me semble que chacun "sait" (dans le fond) qui est le plus expérimenté (même si les égos ouvrent leur gueule...), et dans la véritable urgence ça s'installera tout seul.
En parler avant, c'est bien, mais tous ne savent pas parler...

06 mai 2012

en l'occurence il s'agissait certainement plus de confort en mer que de réelle insécurité (Bernale dit lui-même qu'ils n'étaient pas en danger)

Le vent venait certainement de secteur Ouest à Est par le Nord. Le bateau a abattu pour se mettre au portant.

En ce cas, l'abri le plus proche était bien Port-Joinville à Yeu, et non les Sables, ce qui demandait plusieurs heures de navigation supplémentaires.

06 mai 2012

bonjour
parler du programme avant de partir est essentiel c'est de la plaisance mais les decisions doivent etre prise par le CDB et non contestées , le cafouillage n'existe pas en nav ,si on n'a pas confiance on n'embarque pas ..
tout va bien tant qu'il n'y a ps de problémes en cas grave la responsabilité pénale du CDB peut etre engagée jusqu'à l'armement du voilier qui doit correspondre à la zone de nav ...
si la justice intervient les assurances peuvent ne pas s'engager ou demander des completments d'enquéte qui peuvent durer des années .
sur une voiture il n'y a qu'un volant je sais bien que maintenant les bateaux ont deux barres a roue mais elles sont reliées entre elles .
alain :star2: :-p

06 mai 201206 mai 2012

le proprio est le skipper, maintenant selon les niveaux d'expérience et selon entente des parties il est nécessaire de préciser qui sera le skipper du bateau.

maintenant s'il y a deux proprio, et si urgence il ne faut qu'un seul skipper , et si ce skipper ne s'impose pas naturellement , il faut le définir, pas facile si cela n'a pas été prévue avant.

Pour la prochaine fois , reste à savoir qui proposait la meilleure route pour "contenir" le problème.

il faut savoir quel est exactement le problème : fatigue , humidité, froid, allure inconfortable, cap vers le mauvais temps ....

d'où décision de changer de cap , admise par tout le monde.

2 propositions de route, quels sont les différences entre les deux à ces niveaux :
- allure et confort ( surtout si le problème est la fatigue de l'équipage)
- direction de la houle, humidité et fonctionnement du pilote..
- facilité d'accès au port
- durée
- évolution probable de la météo

07 mai 2012

Sur un bateau, un seul skipper déterminé avant le départ. :litjournal:

07 mai 2012

joli petit dilem...
a moins d' avoir decide de qui sera le skipper avant le depart comme le dit si bien felipe 17 il me semble difficile de le decider en mer au vu des circonstances.
dans ce cas j'aurai tendance à dire qu'en l'abscence de choix naturel (l'un des deux reconnaissant, à tord ou a raison peut importe, des qualites supperieures à l'autre) c'est le bon sens qui doit primer meme si pour parvenir à une decision il faut prendre le temps de la discussion entre vous (chose possible puisque bateau en securite avec de l'eau à courir)
dans votre cas je pense que le meilleur choix n'a pas ete fait car en cas de deteriration du temps les sables n'est pas particulierement sur pour entrer pour joinville est plus abrite et etait moins loin.
mais je dis cela au chaud devant mon ordi...
ceci dit la decision etait bonne quand meme puisque tout le monde est encore là sans bobos.
j'avoue personnellement que je ne sais pas ce que j'aurai fait si j'avais ete à la place de l'un d'entre vous deux....

Phare du monde

  • 4.5 (57)

2022