Manoeuvre au port

Bonjour à Toutes et Tous. Si parmi vous il y a des rois de la manoeuvre au port du côté de...Port la Forêt, je me ferais un plaisir de vous rencontrer. Je viens d'acheter mon bateau, un peu gros il est vrai mais destiné à être ma maison donc, compte tenu de ma taille 39 pieds étaient un minimum. Si je pouvais acquérir un peu plus d'expérience pour ne pas stresser à chaque arrivée ce serait sympa. Je n'exclue pas une petite facture s'il s'agit d'un pro. Merci d'avance et à bientôt.

L'équipage
06 mars 2012
06 mars 2012

tu peux me laisser une adresse mail ?

06 mars 2012

Bonjour, bien sûr, richardson6992@msn.com

06 mars 2012

Ah!!!! cette question mériterait un fil à lui seul!
Entre les paramètres du bateau ( pas de l'hélice, fardage, quille profonde, courte longue ou dérive...), les paramètres de l'environnement (courant, vent, amarrage en marche arrière, nombre d'équipiers, trafic entre les pannes...)et la timidité de chacun d'entre nous avec la manette des gaz ! Ah oui, tiens, j'oubliais ça, dans les paramètres du bateau, la position de l'inverseur et des gaz!

06 mars 2012

Et l'état de "stress transmissible" de l'amirauté!

06 mars 2012

Exact! D'ailleurs, dans mon cas, je ne sais pas le classer ni dans les paramètres du bateau (Mon équipière a tjrs les genoux qui flageollent au moment de la manoeuvre portuaire; manque de confiance envers son skipper?)

06 mars 2012

Je dirais surtout Et l'état de "stress transmissible" du skipper !
Les manœuvres de port c'est surtout : réfléchir à sa manœuvre avant de s'engager et beaucoup de pratique !
L'idée de richardix de demander les conseils de personnes d’expériences est excellente.

07 mars 201207 mars 2012

Tu peux déjà t'entrainer dans la baie en eau libre à prendre des bouées sous différents angles. Ca permet de connaître son matériel.
Ensuite pour ma part, amha, le secret des manoeuvres réussies c'est d'abors la lenteur. C'est à dire la vitesse minimum pour être maneuvrant. Elle dépend des conditions.
Mais en commençant par vent nul et pas de courant, c'est vitesse mini. Et là le stress aussi est mini.

07 mars 2012
  • 1 avec toi.

Pour ma part dès que cela est possible (pas de vent ni courant) en espace réduit, je bouge le bateau à la main, cela permet souvent de le faire pivoter au plus court une fois dégagé du cat way. Mais il ne fait que 35 pieds.

07 mars 2012

On peut aussi écrire: "le secret des manoeuvres réussies c'est d'abord la vitesse.. Combien de prise de pontons sont ratées à cause du manque de manoeuvrabilité causé par la lenteur. il faut savoir jouer de la manette des gaz.

Comment faites vous si vous avez du vent et/ou du courant?

07 mars 2012

Euh ... je me permets de te rappeler que le frein à main ne permet pas vraiment de piler sur place. Typiquement, avec Pesk Avel, 10m (tu traduiras en pieds, Richard, mais moi je repère bien les mètres, pas les pieds)et 10 tonnes (à traduire en pounds pour les anglophiles), je suis essentiellement au ralenti, mais joue beaucoup avec les filets d'eau sur le safran. Donc des en avants très forts et très brefs suivis de ralentis permettant d'user l'aire. En AR, c'est forcément vers Bd à fond, merci le pas d'hélice.
Là où je te rejoins, c'est qu'il faut rechercher LES compromis, et ça s'apprend en s'entrainant.

Par ailleurs, quelques fils déjà sur ce sujet, dont "en solo".

07 mars 2012

Bonjour
Je te trouve bien polémique, Viking, ce matin.
Je dirais : la difficulté c'est d'avoir la BONNE vitesse, selon les conditions !
Pas assez : dérive, trop : bonjour les dégâts.
La trajectoire, également. Ne pas avoir peur de se rallonger pour observer les réactions.
Excellentes propositions que de s'entraîner au "large" et d'anticiper par des manœuvres d'aussières.
Quand c'est possible, le faire à la voile est très formateur.
Alain :-/

07 mars 2012

Bonjour viking, tu seras sans doute mieux écouté que moi qui ne cesse de le dire dans mon entourage et que certains continuent malgré tout dans leur bêtise.

bonjour
peut-être faut-il s'entendre sur ce que l'on appelle "vite" ?
2,5 noeuds c'est déjà pas mal : le safran répond bien, le bateau ne dérive pas trop.
Pour mon bateau c'est un peu trop pour la phase finale d'entrée dans la place, car pour l'arrêter il me faut alors pas mal de pêche en marche arrière et comme le catway est à tribord, avec la ps de l'hélice je suis ensuite trop loin pour descendre :lavache:
cordialement

Hubert, de Cherbourg

07 mars 2012

Pour les manœuvre de port, on peut lire beaucoup. il y a d'ailleurs de très bons documents à ce sujet sur le net. Mais il faut surtout pratiquer et connaître les réactions de son bateau.

Chaque bateau est différent et donc l’exécution de la même manœuvre sera différente.

Et les grands classiques ont déjà été dit :
- vitesse suffisante pour être manœuvrant (dépend du vent, du courant, etc.)
- prévoir une solution de rechange / un chemin de fuite
- ne pas s'obstiner. si ça part mal, recommencer

après, reste plus qu'à essayer.

07 mars 2012

et si avant de pontifier on commencais par l essentiel cad demander a ce brave homme ou il se trouve ....

07 mars 201207 mars 2012

Et si on commençait par lire on verrait qu'il est à Port-la Forêt !!!
Comme on est loin, on essaye de l'aider quand même.
Ne t'en déplaise, cher ami !
Alain :-/

08 mars 2012

+1 pour toi iff
ma mauvaise habitude de lire en diagonale

07 mars 2012

Comme viking, je suis un adepte des gaz. Mais je ne suis pas né comme ça; je ne l'ai compris qu'après de longues années d'accostages calamiteux. Bien sûr, il m'est arrivé de faire des belles arrivées sur l'erre, moteur au point mort 150m à l'avance, pour un magnifique créneau à ma place, tellement étroite que j'ai dû acheter des parebattages plats pour éviter le chausse-pied, mais cela dans des conditions optimales (pas de courant, pas de vent, pas de "mobylettes" à proximité prêtes à couper ma route....
En règle générale, c'est gaz. En particulier avec mon Cornu DL de 9,60, quille longue, 80cm de t.e., et qq tonnes. Je me souviens du regard horrifié des Anglois lors d'entrées entre les pannes plein gaz en marche arrière (pour éviter les clamiteuses perturbation de l'hélice située à qq cm du safran), et le bon coup de gaz en avant pour pivoter et stopper. Idem pour le demi-tour dans un mouchoir de poche : grace aux gaz, le 180° se fait sur place.

07 mars 2012

j'ai presque arrêté de stresser.pour ça je sors beaucoup seul ce qui m'oblige à tout faire et quand mon epouse est là elle sait que je peux tout faire seul donc elle ne stresse plus du tout .commencer par petit temps avec des equipiers qui ne font que regarder mais qui sont là pour intervenir au cas ou . en marche arriere ne pas hesiter à acceler franchement et mettre rapidement au point mort pour pouvoir avoir un safran efficace .mais j'ai de la chance j'ai un Selection 37 qui se manoeuvre trés bien aussbien en marche avant qu'en marche arriere .quand il y a de la brise une vitesse assez importante est gage de réussite.

07 mars 2012

En plus de tout ce qui a été dit, peut être peux tu penser à faire installer un propulseur d'étrave. Il y en a un sur mon B32 et ça permet de rattrapper facilement un cafouillage ou d'éviter de se stresser... Dans mon cas il était installé sur le bateau quand je l'ai acheté et je trouve que c'est un confort et un anti-stress pas mal du tout.

07 mars 2012

LIRE :

"Naviguer en solitaire ou équipage réduit"

G Barbanson J Besson , ed amphora sports.

trés précis et pertinent, les 50 premières pages sont sur les manoeuvres de port, encore dispo.

autre ouvrage de base ( même traduit en angliche, c'est dire)

"Tout savoir sur le mouillage"

Alain Poiraud , ed loisirs nautiques dispo ???

permet de se laver la cervelle de nombre d'a priori , une démonstration scientifique en opposition aux " impressions " perso et subjectives.

Bonnes nav Bernard

07 mars 2012

Un point important je pense : utiliser le vent plutôt que de lutter contre lui.
Réfléchir avant de se lancer. Tout accostage, même dans sa place habituelle est différent à chaque fois et plus on en fait, plus on se souviendra des accostages précédents (surtout s'ils ont foiré). En arrivant à ma place, je regarde de loin les girouettes des voisins.
Le vent viendra de babord quand je m'engagerai dedans ? Je fais comme ceci.
Le vent viendra de tribord quand je m'engagerai dedans ? Je fais comme cela.
Le vent est fort et je suis crevé ? Je rentre en avant, je le retournerai plus tard.

Ne pas oublier non-plus d'utiliser le pas d'hélice plutôt que d'essayer de le contrer.

Mais le monde ne s'est pas fait en un jour, il m'a bien fallu deux ou trois ans pour être vraiment à l'aise et décontracté en accostant.

Et puis j'ai changé de bateau... :mdr:

07 mars 2012

Bonjour Richardix

Pour l' entrainement tu as aussi les longs pontons visiteur
en cette saison vide.
Mettre des reperes et hop entainement dans un sens dans l' autre
perpendiculaire etc. sans pour autant venir toucher le ponton.
c'est la methode que j' ai emploié pour former madame et un jour oups
dans le catway.
mais voisins de pontons sont aussi dans la version "plein gaz"
et gros coup de frein.
Moi je ne peus pas il y a "frein".

Le Moko

07 mars 2012

la solution :

vendre un bateau qui à l'évidence est trop gros pour les compétences actuelles, redémarrer avec plus petit, monter doucement en puissance, et les manoeuvres de bateaux importants ne poseront alors plus de problèmes.

"Avant d'être capitaine, il faut être matelot..."

A méditer...

07 mars 2012

Pas très convivial comme réflexion... :non:

D'autant qu'il n'est pas plus difficile d'accoster un gros qu'un petit, pour autant qu'on connaisse son erre, son fardage, son pas d'hélice et ses dimensions. Tout ça s'acquiert avec l'expérience et apprendre sur un plus petit n'aidera que très peu l'apprentissage sur le gros.
Tous les conducteurs apprennent-ils en smart ?

07 mars 2012

Et puis quand on a un 39 pieds on a la place qui y correspond comme quand on a un 26 pieds la taille correspondante également... Pas plus difficile de rentrer un 39 pieds dans une place adaptée qu'un plus petit... Maintenant rentrer un 39 pieds dans une place de 26, forcément c'est plus difficile... :-D

07 mars 2012

Quoique... Il fut un temps ou j'ai eu à Palavas, une place moins large que le voilier.
Pour rentrer, pas de problème, je visais le milieu et le voilier (en alu!) se coinçait entre les deux poteaux. Il suffisait alors d'aller pousser sur un poteau en l’écartant pour glisser dans les gardes...
Alain :-/

07 mars 2012

richardix aimerait bien que quelqu un l aide

il n y a pas un breton de bonne volonté et d experience pour aller le voir et lui prodiguer tous les bons conseils donnés dans les différents fils

sur l eau c est encore mieux, et ce serait à coup sur une rencontre sympa entre héoliens

07 mars 2012

Dédramatisons !!!

Des manœuvres de ports (en condition normale, 90% des cas !?), c'est loin d'être si compliqué que ça. Et en cas de loupé, au pire les pare-bats sont fait aussi pour ça. Si ça rentre pas, on fait un p'tit tour et on recommence 1 fois, 2 fois, ....... et même si on abime le bateau, ça reste très souvent superficiel, au pire l'assurance est là en cas de sinistre important (sinon c'est pas la peine d'en payer une).

Plus que la manoeuvre en elle même, ce qui m'importe c'est que mon équipage ne se mette pas en danger en voulant sauter sur le ponton, ou en faisant office de pare-battage, ou tout autre idée saugrenue pour protéger une coque (qui a forcément moins de valeur qu'un bras ou une jambe).

Dédramatisons et tout deviens plus facile.

07 mars 2012

Apprendre aussi aux équipiers qu'une gaffe n'est pas faite pour déborder mais pour passer à distance un cordage sur une bitte ou à un passant compatissant.

07 mars 2012

Apprendre aussi à lancer un cordage proprement :
- lover le cordage sans faire de 8 (petite torsion du cordage sur lui même à chaque tour)
- en prendre la moitié dans chaque main
- la main gauche tient la moitié dont le bout est frappé au bateau et est ouverte (la main) en direction du destinataire
- la main droite effectue un (un seul) balancement arrière avant de lancer ce qu'elle tient 50 cm à côté du destinataire (et pas en direction de son visage)
- quand le contenu de la main droite se sera déroulé, le contenu de la main gauche suivra et le destinataire n'aura plus qu'à l'attraper ou le ramasser à côté de lui.

S'entrainer sur un ponton. Quand c'est bien fait, le cordage se retrouve tout déroulé et bien droit sur le ponton.

P.S. : inverser pour les gauchers...

07 mars 2012

Ces manœuvres de port sont en fait difficiles à traiter ici.
En fait, il faut se mettre en situation.
Concernant la vitesse, il y a des adeptes du "vite" et des adeptes du "lent". Je dirais qu'il faut aller "lentement vite".
Il faut d'abord choisir, si on le peut, l'emplacement. En l'absence de courant et de vent (eh oui, cela peut arriver!), on accostera le catway du côté où l'arrière sera rapproché par le couple de l'hélice lorsque l'on battra en arrière. Egalement de préférence face au courant et/ou au vent. Lorsqu'il y a les deux, il faut apprécier lequel dominera la manœuvre.
Finalement, apprécier à l'avance les influences respectives du vent et du courant.
Ensuite, il faut aller assez vite pour rester manœuvrant et pas trop pour éviter les problèmes car le bateau peut rarement être arrêté en 1m.
Apprendre à gérer le pas de l'hélice me semble important, car cela permet entre autres de faire demi tour dans la longueur du bateau.
Cela fait beaucoup de paramètres (à apprécier également quand on repart). Il faut également se souvenir que, dans les ports à marée avec une porte, un courant important s'établit généralement dans la première demi heure d'ouverture, d'autant plus que l'on est à mi marée.
A part cela, tout est simple et on se plante aussi parfois après de nombreuses anénes de pratique!
Alors bon courage!

07 mars 2012

Et si le moteur est en panne!!!vous faites comment? si j'en parle, c'est en connaissance de cause et c'est encore de cette façon que l'on maîtrise le mieux l'accostage mais, c'est interdit dans les marinas. Autre possibilité que j'utilise de temps à autre, à cause du couple, le bateau s'éloigne du catway, il suffit de mettre le plus doucement possible l'étrave protégée par un parebat sur le ponton et de battre en AV lente et jouer de la barre et le bateau vient de lui-même se plaquer sur le catway. Une autre encore, arrivé de travers et utiliser le couple de l'hélice pour redresser la barque. Vitesse ne veut pas dire plein gaz AV AR mais de petits coups bien sentis avec retour au neutre aussitôt.

07 mars 2012

Oui pour la godille encore faut il avoir un aviron adéquat(c'est en cours, récupéré un dans la poubelle cette semaine, peut de travail a y faire mais demande de remettre la dame de nage en place)sinon, aviron d'annexe trop court. Mais, qui sait encore godiller de nos jours?!!

08 mars 201208 mars 2012

Je ne savais pas que l'aviron est obligatoire à bord. :oups:

Et puis sur un 39 pieds ! :heu: :mdr:

07 mars 2012

Et si l'accostage sous voiles est interdit, l'aviron est obligatoire à bord. En cas de panne moteur, rien de mieux que la godille.

ps : Quand je parlais de mettre les gaz, il s'agissait bien dans mon esprit du coup de fouet que procure une action franche sur la manette, histoire d'avoir tjrs la main sur l'évolutivité du bateau plutôt que de laisser agir la dérive due au courant, au vent....

07 mars 2012

Bonjour Richard

Pas de problème pour moi pour veinr te faire une petite journée de manoeuvres
Benevolement bien sur
Contacte moi en mail perso
Stéphane

07 mars 2012

Bonjour Stéphane, je ne sais pas coment il est possible de trouver ton mail ici donc... richardson6992@msn.com si tu as l'occasion et même si ce n'est pas une journée, je suis preneur. Merci

07 mars 2012

Cessez le feu!!!! je n'ai pas le temps de vous lire. Et merci collégialement à ces montagnes de réponses, je vais être obligé de passer la nuit pour les lire.
En tous cas comme je l'avais dit aux représentants du site lors du salon de Paris, c'est un site qui fonctionne. Merci à Tous et désolé si je ne vous réponds pas individuelement.

08 mars 2012

déja tu n'oublies pas de faire des essais de marche arrière en dehors du port pour voir comment ton bateau va réagir en fonction du pas de l'hélice. Quand on rentre en marche arrière il faut prendre l'habitude de reculer de loin surtout au début et de tourner en fonction du pas de l'hélice. En marche avant c'est plus simple mais à Port Leucate les jours de Tramontane cela peut être corsé si tu as le vent de travers.
Ne pas soublier de mettre les barres battages des 2 cotés, et avoir préparé 3/4 amarres mis à poste dans les taquets prêtes à être envoyées ou prise en main si on est seul. Toujours avant toutes maneuvres, vérifier d'ou vient le vent et on s'occupe d'abord d'ammarer le bord au vent

08 mars 2012

vous avez tout raison, mais le probleme est la taille des jambes, elles ne sont jamais assez grands pour faire le grand écart entre le bateau et le ponton, avec aussi des bras plus long cela irait mieux...personne n'a demandé si l'étrave du bateau était renforcée..., je me souviens avoir vu Sereine monter délicatement sur un ponton puis redescendre en l'écrasant.. c'était du temps ou elle n'était pas motorisée.

08 mars 2012

Aviron obligatoire sur le 39 pieds de Richardix? ou sur les voiliers de plus de 8 mètres?

08 mars 2012

facile ; le secret: ne pas gueuler ,ne pas vociférer comme un ane et tout va dejà beaucoup mieux

08 mars 2012

:tesur: :lavache: Quoi ??? Y'en a qui font ça ? Non...!!! J'hallucine... :lavache: :mdr:

08 mars 2012

Et surtout, ne pas oublier le principe selon lequel une manoeuvre réussie n'est jamais qu'une série de catastrophes évitées... ;-)

08 mars 201208 mars 2012

2 mondes, pontons / catway en atlantique, le rêve, avec un peu d'entrainement, souvent un jeu d'enfants

et la med :non: :non: :oups: :tesur:

souvent l'enfer en solo avec les pendilles

la ou je suis désormais c'est encore pire, pas de pendille une bouée et un quai en pente, impossible d'approcher à moins de 4 mètres
j'ai toujours pas trouvé, j'ai essayé le bout qui flotte entre bouée et une amarre AR, 2 fois bout dans l'hélice, peut être couler le bout comme une pendille

il faut sauter dans le canoë et aller chercher une des amarres ar avec moteur au ralenti et barre ds l'axe

si quelqu'un a un truc

que richardix vienne voir et ensuite il se dira que sa situation demande juste un peu d'entrainement !!!

08 mars 201216 juin 2020

« PLUS TU VAS LENTEMENT MOINS TU ES MANOEUVRANT »

Dans les ports, nos amis anglais qui, en général, savent ce que naviguer veut dire, n’hésitent pas à naviguer à 5 nœuds et restent manoeuvrant. En général, le français est hésitant et dépasse rarement 2 nœuds. Curieusement, je n’ai jamais noté d’incidents en Angleterre, contrairement à la France, ou les mises en travers où les marches arrière en catastrophe sont devenues habituelles. A vous de choisir…

« A Cowes, la Mecque du yachting depuis le siècle dernier, un jour de départ de course, il est époustouflant de voir les voiliers sortir de la marina perpendiculaire au chenal où un courant de 3 nœuds est fréquent entre les ferries rapides, les hovercrafts, les caboteurs et même un bac à chaîne ! De plus, les voiliers de 12 à 20 m sont plus nombreux que ceux de 8 m et le chenal ne dépasse pas 100 m. Pourtant, cela se passe toujours en souplesse… »

09 mars 201209 mars 2012

La vitesse dans les manoeuvres est une dangereuse aberration, et entendre parler des "anglais" comme référence, fait tristement sourire.

09 mars 201209 mars 2012

pour moi viking35 est dans le vrai evidement c'est une question de dosage mais allé lentement voir tres lentement celà implique que le bateau n'est plus manoeuvrant et donc c'est le courant ou le vent qui a le dessus ,ça parait évident .

tout est dans le dosage et dans l'observation ,du sens et de la force des vents et courant .

09 mars 2012

sur la courtoisie des anglos saxons tu prêches un convaincu ! :bravo:

10 mars 201210 mars 2012

j'ai dit courtoisie, c'est à dire en surface ça changera rien sur le fonds mais c'est très agréables dans la vie quotidienne

09 mars 2012

Là c'est une autre histoire. La vitesse oui, seulement quand nécessaire!

10 mars 2012

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Bien d'accord avec Viking sur Cowes.

Les deux fois où j'y suis allé c'était pendant des WE de régates (il y a des régates tous les samedis ou presque).
J'ai été très impressionné par la vitesse à laquelle les bateaux quittent le ponton dans un désordre qui n'est qu'apparent, par le nombre de bateaux qui se mettent en mouvement dans le même quart d'heure et par l'absence totale de hurlement ou de prise de tête et surtout d'incident.
Effectivement, la sortie n'est pas large.
Nous étions amarrés à l'extérieur du brise-clapot (à la hauteur de la sortie) et le spectacle était total.
Le soir, idem, même si les retours étaient plus échelonnés.

Et quel émerveillement de voir un port se vider d'un seul coup de ses 2/3.
Je n'ai jamais vu ça en France en dehors des Voiles de St Tropez.

Rien à voir non plus avec Saint Tropez durant les Voiles où la longue ligne droite le long du môle permet une bonne anticipation même si les bateaux font quelques pointures de plus en terme de taille.

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09 mars 2012

Il n'est ps précisé que la largeur de la sortie des marinas de Cowes est de l'ordre de 15 à 20m et, qu'au débouché dans la Médina, le courant atteint fréquemment 3 nds et peut être même plus!

Quand au trafic, lors des régates, il est supérieur à celui de St Tropez lors des Voiles, ou à celui de la rentrée du Spi OF, du fait de sa diversité ( cargos, ferries, hovercraft, vedettes de toutes tailles, day cruiser à la voile!...)

Alors avec l'habitude, ces anglais là, manoeuvrent vite, même si ce n'est pas nécessaire et il y a beaucoup mois de soucis ( à dire vrai, je n'ai pas le souvenir de la moindre caltercation) que lors d'une rentrée au port de Granville ou tout le monde est à moins de 2 nds.

09 mars 2012

Hola !!! ... La courtoisie anglo-saxonne ...

Comme leur fair play en sport ... c'est quand ils gagnent !
Sur l'eau, c'est quand tu fais ce qu'ils veulent !!

Bon vent !!

10 mars 2012

tu veux dire de l'hypocrisie, non?

08 mars 2012

La vitesse est limitée à 3 noeuds dans nos ports de plaisance...

08 mars 2012

si je vois quelqu'un a 5 noeuds dans une marina je crie au fou !

08 mars 2012

Bonjour à tous,
Peut-être une semaine de stage (au glénans par ex) peut te permettre de gagner du temps, un peu d'orgueil...et de la peinture :-o)

08 mars 2012

Hola !! ... la méthode "tous aux abris" ... :o))

Pour l'avoir vécu à plusieurs reprises dans le ports méditérannéens, la plupart du temps avec des bateaux de location, ou/et des équipages novices :
- tu te présentes à l'entrée du port avec tout le monde sur le pont, mais personne à poste
- tu fais deux tours entre les pontons comme si tu ne savais ou aller, mais il faut que "les autres" te voient
- rien n'est prêt sur le bateau et la moitié du port s'en rend compte
- deux ou trois coups de gueule contre tes équipiers qui font tout à l'envers selon toi, l'important étant que l'on t'entende dans le port
- deux ou trois coups d'accélérateur, un coup en avant, deux en arrière ...
- tu choisis alors la place et tu t'y diriges

Et là .... je suis prêt à parier que la moitié des personnes sur les bateaux autour de la place que tu convoites sortiront de leurs cockpits, qui sur le ponton, qui sur leur bateau...
Tu n'auras plus rien à faire, tu seras pris en main (au propre comme au figuré), on te poussera, on te halera, on te fera éviter, on te tournera les amarres ... et toi fier comme Artaban tu pourras dire à tes équipiers admiratifs ... zavé vu !! Même pas touché !!

Bien sûr cette technique n'est valable que dans les ports "habités".
Pas enseignée dans les écoles, mais c'est du vécu :mdr:

Bon vent à tous !!

08 mars 2012

Bien sûr cette technique n'est valable que dans les ports "habités". j'ajoute de jour!

08 mars 2012

Hola Fata Morgana !! ... pas seulement de jour ...

Je l'ai vu pratiquée de nuit, et elle marche trés bien aussi ... peut être même mieux !!
Mais il ne faut pas compter être invité sur le bateau des voisins le lendemain. :lavache:

Bon vent à toi !!

08 mars 2012

Bonjour
un stage au glénans, bien sûr...
Mais pour apprendre à manoeuvrer un voilier au moteur, je vous conseille les stages spécial-moteur de la Macif.
Les moniteurs sont pour la plupart des pros avec des années de nav par tous les temps.
Alain :-/

08 mars 2012

ouais mais pour les pendilles ...
ou alors aux glenans de corse !

08 mars 201208 mars 2012

Bonjour,
Lire le "guide de manoeuvre" de Tabarly (ed. le Télégramme)
Il y explique tout très humblement, en expliquant par exemple que, lorsqu'avec ses équipiers expérimentés,la manoeuvre foire ( ce qui dit-il arrive souvent...) il fait celui qui ne voit pas plutot que de gueuler à tout va!
Il tend à enlever les complexes, force à raisonner et prouve que n'importe qui peux rater une manoeuvre... je trouve que ça déstresse.
alors cher ami, sort un matin tôt hors saison, quand il n'y a personne sur les pontons, mets tous tes défenses et BOSSE.
un galérien de la manoeuvre de port. (heureusement je suis sur bouée...)

08 mars 2012

Si une manœuvre foire c'est de ta faute (la faute du chef de bord ;) ).
Elle a été mal expliqué, mal anticipé, le niveau de l'équipage a été mal évalué etc etc...

bref c'est la faute du bosse.

Un bosse qui passe sont temps a geuler sur son équipage fini de toute façon par faire du solitaire, plus personne ne veux naviguer avec lui ;)

08 mars 2012

Humour : il vaut parfois mieux naviguer (accoster dans le cas présent) aidé par une équipière débutante que par une équipière confirmée. Si ça foire, tu dis à la débutante "c'est pas grave, chérie, c'est moi qui t'ai mal expliqué". Une confirmée te dira : "tu vois ? T'aurais dû faire comme je t'avais conseillé". Et c'est la brouille.
:mdr: :cheri:

08 mars 2012

Un conseil : ne JAMAIS écouter les conseils qui fusent de toutes parts de façon complétement contradictoire, surtout lorsque tu arrives dans un port animé, à l'heure de l'apéritif. C'est panique à bord assuré (c'est du vécu). Les conseils, c'est bien, mais tu es seul à la barre. Donc effectivement, entraînement au petit matin en solitaire avec un équipier, le long du ponton des pêcheurs (attention à ne pas emboutir FONCIA, mais il n'est pas là en ce moment), ou dans le bassin des 60 pieds, quant il n'y a pas trop de bateau. Tu apprendras à connaître ton bateau, ses réactions en fonction du pas d'hélice, fardage, conditions de vent, courant etc... Et ne jamais désespérer, on finit par y arriver, même si le stress est toujours un peu présent, ce sont les joies de la navigation !

08 mars 201208 mars 2012

un conseil, ne jamais écouter les conseils...

08 mars 201208 mars 2012

En med... notamment chez nos amis italiens :coucou:...
il est urgent de se boucher les oreilles, sinon les arriere/avanti hurlés (en même temps bien sûr !) tous plus fort les uns que les autres vont couvrir le son de ton moteur. :langue2:
C'est vrai aussi en France, avec moins de sollicitude et plus de condescendance (parfois) !

Volver on a posté en même temps : les grands esprits... :topla:

09 mars 2012

ne confondez-vous pas vitesse et accélération ?
Manoeuvrer à 5 kts non, par contre je n'hésite pas à envoyer du jus et franchement quand il le faut.
Je n'ai pas la prétention d'être à virtuose des catways mais jusqu'ici ça me réussi bien et on ne peut pas dire que j'ai un bateau facile (hors-bord avec très faible amplitude de rotation sur catamaran...).
Je vais essayé de me trouver une hélice forte poussée pour cette année on vera ce que ça donne.
l'idéale à mon sens est un hors-bord avec une amplitude de 180°, je logeais mon samourai dans un trou de souris, je suis nettement moins malin avec Moluva et compose avec.

09 mars 2012

et bien le mieux et le plus efficace c'est de faire tout seul sans équipier ,là tu es obligé de reflechir et d'ANTICIPE

09 mars 201209 mars 2012

d'accord avec ça, je crois que le secret c'est de réfléchir et d'imaginer à la manoeuvre avant de l'effectuer (et de l'expliquer convenablement quand équipiers à bord).
Evidement connaitre un peu son bateau et ses limitations c'est bien aussi.

09 mars 2012

Bien d'accord avec toi : réfléchir avant d'agir. Et expliquer à l'équipage.
Une suggestion ( que je mets souvent en pratique en équipage familial): laisser la barre et la manette des gaz à un(e) équipier(e) pour les manœuvres de port quitte à lui donner des conseils voire ordres selon la tournure des évènements. En effet, à la barre on n'est pas à la meilleure place pour avoir une bonne vue de la situation et cela permet d'intervenir rapidement là où c'est nécessaire ( déborder le voisin, glisser un pare-batte, aider au passage des aussières,...). Cela évite les situations encore classiques à l'arrivée dans les ports du Monsieur à la barre qui hurle des ordres à Madame installée avec la gaffe à l'étrave et qui ne comprend rien à ce qu'il faut faire !

09 mars 2012

On en reviens à ce que je disais en début de fil "réfléchir à sa manœuvre avant de s'engager" :heu: Il faut aussi connaitre son bateau avec la pratique (mono ou bi-safran et in ou hors-bord ne se manoeuvre pas de la même façon...)

Pour la vitesse, il n'y a pas de constance, c'est à voir selon la configuration. C'est quoi l’intérêt d'aller vite, dans un port bondé où il n'y a ni vent ni courant :reflechi: Ce qui faut c'est rester manoeuvrant, c'est tout.

Une vitesse élevée est indispensable pour étaler le courant ou le vent, sinon, aucun intérêt. On peut parfaitement manœuvrer son bateau avec des coups de fouets, d'ailleurs, un 360° ne peut s'entendre qu'ainsi...

En revanche, j'adore la méthode décrite par "patxi64600", je l'ai de nombreuses fois vues mise en oeuvre... :mdr:

09 mars 2012

il ne s'agit pas d'allé VITE mais d'allé à la bonne vitesse et allé trop vite ou allé trop lentement c'est pas un gage de reussite ,et souvent ou va trop lentement

09 mars 2012

Ok, dans ce cas là, nous sommes bien d'accord ! :topla:

09 mars 201209 mars 2012

Il n'y a pas de honte à apprendre si on le fait avec prudence et de toute façon la manoeuvre merdique nous guette tous au coin d'un ponton ou d'un quai. Elle nous tombe dessus à l'improviste.
Il faut ce faire une raison le roi de la manoeuvre n'existe qu'au comptoir du café du port.
Voili voilou.

09 mars 2012

j'en connais un ou deux pas mauvais quand même.

10 mars 2012

La lenteur est un ennemi sournois, et les pare battage sont souvent les meilleurs équipiers. Naviguant souvent seul, sur un 14 m, je dois avoir une quinzaine de pare bat et si besoin est, je mets tout sur le même bord et viens m'appuyer en douceur sur un bateau ou un quai. La préparation : parre bat, amarres à poste, mettre le bateau en ordre: 1 heure de temps, mais cela permet d'avoir l'esprit clair avant la manoeuvre. Et il n'est pas rare que je fasse des ronds dans le port afin de choisir le poste le plus simple.
Même si il existe toujours de spectateurs qui guettent l'incident cachés dans la descente, il existe toujours des gens pour prendre les amarres et donner un coup de main,
mais naviguant aussi sur de petites unités, je constate que l'entraide et la solidarité y est beaucoup plus développée que sur les plus gros

10 mars 201210 mars 2012
10 mars 2012

L'effet est là de part une cause évidente : avec moins de deux semaines de navigation , en moyenne par an, une majorité de plaisanciers ne sait pas manoeuvrer.

10 mars 2012

C'est certain et il est bien plus facile de naviguer que de manoeuvrer au port, d'ailleurs je vois souvent les bateaux de la Macif travailler longuement les manoeuvres, mais il est possible que ce soient des stages dédiés.

10 mars 2012

Bonjour
C'est exact, je répète ce que j'ai écris déjà :
"un stage au glénans, bien sûr...Mais pour apprendre à manoeuvrer un voilier au moteur, je vous conseille les stages spécial-moteur de la Macif.
Les moniteurs sont pour la plupart des pros avec des années de nav par tous les temps."
Alain :-/

10 mars 2012

ma façon de faire :
-repéré bien en avance ou ce trouvent les pontons visiteurs dans le port .
-lecture des instructions nautiques
-VHF sur le 9 pour écouter le trafic (parfois le port est saturé)

-parebattage des deux cotés ainsi on pare à l'imprevu de derniere minute avant 5mn d'arrivée ,pas à la derniere seconde ou on a autre choses à faire parfois .
-2 bout à l'avant (bd,td)passé correctement sous le balcon et un noeud de chaine au taquet
-pareil à l'arriere
-2 bout preparé pour les gardes montante et descendante
-gaffe sortie sur le pont .

observation : direction ,force du vent et du courant surtout pour les ports en riviere le courant peut etre tres fort donc savoir les heures des marées .

arrivé :toujours si possible me mettre face au vent ( avantage pour accoster et confort au ponton)
-faire un tour pour voir reperage ,observation : je regarde toujours les amarrages des bateaux dejà aux pontons et on peut repérer quel sont les amarres tendu donc qui travaillent donc d'ou vient les forces du vent et/ou du courant . donc les amarres à mettre en premiere .

explication precise aux équipiers ,qui va à l'avant qui s'occupe de l'arriere etc ,precis ,net pas de flou .

et je manoeuvre assez "vite" pour etre manoeuvrant surtout par vent ou courant de travers .

et surtout ,pas un cris ,pas d'enervement c'est interdit à bord ,cool..

lorsque je suis seul c'est un autre probleme ..

josé

:alavotre:

10 mars 2012

Vraiment interessant pour moi ce fil!
Je suis débutant avec un Gin fizz équipé en double pales et du célèbre P. 4108. J'ai derière moi une quinzaine d'accostages pas plus, un seul réussi sans intervention du tandem équipiers/gaffe.
Le dernier force 7 dans le golf de Fos (je suis à Port de Bouc) j'avais un skipper à bord très expérimenté... qui gentiment s'est proposé de faire la manoeuvre, ben en 4 fois avec mon aide la dernière fois.. Mais vous m'avez tous rassuré, je suis moins nul que ce que je croyais, donc merci à tous. J'envisage un jour de mettre un propulseur d'étrave, que pensez vous de cet équipement?
Merci à tous pour vos avis
Cordialement, Gilbert.

10 mars 2012

Concernant le propulseur d'etrave, comme je le disais, mon bateau en était équipé à l'achat... C'est très sécurisant de savoir qu'en cas de cafouillage ou de difficulté particulière on pourra compter sur un "équipier" supplémentaire capable de faire tourner l'avant du bateau dans la direction désirée... Je l'utilise plus d'ailleurs pour sortir de la place, car pas de vitesse que pour rentrer où là je peux décider de ma vitesse d'entrée et jouer avec les gaz pour "freiner" une fois le bateau bien engagé dans sa place. Bref, le propulseur c'est pas indispensable mais c'est du confort et de la sécurité...

10 mars 2012

Le propulseur est une aide non négligeable, mais avec un bon vent de travers si la manoeuvre est mal exécutée, tu ira aux planches. Le propulseur ne doit être qu un moyen de finition et compter dessus pour l entière exécution de la manoeuvre est une grosse erreur. Évite les rétractables, opte donc pour un tunnel, tu peux équiper avec un 24 volts et un coupleur de batteries.
Le propulseur est aussi utile pour s aligner sur la chaine lorsque tu remonte le mouillage et qu il y a du vent..
Les puristes te diront que c est un truc de blaireau, mais passe une certaine taille et si tu navigue seul, c est presque indispensable

10 mars 2012

le propulseur, utilisé plusieurs fois sur un 39" de 7T,
ça change la vie !! surtout dans un port à courant traversier ...

10 mars 201210 mars 2012

Le sujet de la vitesse pour les manoeuvres, ce devrait être du b-a-ba.
Pas besoin de sortir d'une école d'ingénieur pour deviner qu'il faut de la vitesse pour que les appendices soient efficaces.
Vitesse à prendre à l'échelle qui convient, pour nos bateaux de croisière.

D'ailleurs, suffit de voir ceux qui naviguent souvent, à savoir les régatiers.
M'épatent souvent par leurs manoeuvres impeccables.
Certes, ils ont des voiliers très manoeuvrants, mais quand même.

10 mars 201210 mars 2012

en parlant d'appendices :pour les deriveurs :derive sortie

10 mars 2012

Et pour les Quilles rétractables comme les first?

10 mars 2012

toujours quille basse sinon on derape comme une savonnette

10 mars 2012

Ok, j'espérais que la quille allongée sous la coque fasse un rail.

10 mars 2012

non non quille haute tu as moins de surface anti derive donc tu vas "glisser" lorsque le vent est de travers et d'autant plus que le bateau ne va pas vite .

10 mars 2012

De la vitesse oui mais...
Expérience vécu: prise de catway avec de la vitesse pour contrer le vent de travers, inversion de marche pour ralentir et c'est là que le cable d'inverseur casse.
je vous laisse deviner la suite...
C'était voilà quelques années, maintenant j'en ris.
Voili voilou

11 mars 2012

C'est que j'ai entendu ce Week end a l'écluse d'Arzal , le capitaine disait a son équipage qu'il fallait de la vitesse pour être manœuvrant.
Résultat il sont arrivé a bloc avec leur edel (un cata) dans l'écluse , et ils avait peut pris un peu trop de vitesse...
A suivi des nom d'oiseau et le 2 équipier complétement largués , résultat 2 gros boom un coup sur l'avant et un coup sur l’arrière puis demi tour...
Je leur aurait bien filé un coup de main mais on ne peux pas accéder , et j'avais vraiment mal pour eux

10 mars 2012

De la vitesse oui mais ...
J'arrive face au quai avec mon coéquipier à l'avant qui me prévient lorsque je suis assez prêt pour battre en arrière :
"C'est bon, en arrière !"
et moi je me goure, je balance ma manette des gaz du mauvais côté : le bateau est bien monté sur le quai (et a arraché un bout de ciment)
Bon, pas trop de dégât.
Le plus drôle, c'est ma réaction : discrètement j'ai regardé autour de moi pour vérifier que personne n'avait vu ma connerie.

10 mars 2012

Exact, c'est une erreur plus fréquente qu'on pourrait croire, et pas seulement chez les débutants.
Cela a du m'arriver dans mes débuts, depuis, j'en ai, fait d'autres...
Alain :-/

10 mars 201216 juin 2020

En solo ou en équipage très réduit, pour bien finir une arrivée au quai ou sur catway, j'utilise la méthode de l'amarre unique.

Il faut prendre une amarre plus longue que le bateau et la frapper sur le taquet avant et le taquet arrière en passant par l'extérieur. Si on ignore de quel côté on va accoster, il faut en mettre une de chaque côté.

Une fois le bateau arrêté, on peut tenir le tenir depuis le catway en règlant l'amarre passée en double dans le taquet ou l'anneau.

Il suffit de finir l'amarrage tranquillement car le bateau est tenu.

Quand il y a un taquet au milieu du catway, on peut utiliser un bout court frappé sur une cadène en amarrage provisoire le temps de mettre les autres amarres

10 mars 201210 mars 2012

j'ai un gros bout fixé au rail de fargue un peu en arr du milieu, tjrs prêt à être saisi,
pratique en solo, ou pour un ammarrage minute à une échelle, etc ...

27 mars 2012

Bonjour et merci à Toutes et Tous. Je ne suis pas venu sur le site depuis quelques jours mais j'ai essayé de lire tous vos conseils. Un spécial merci à Laurent qui est venu me voir, Jean Yves avec qui j'ai navigué, Stéphane qui devait venir aussi et Alain que je souhaite voir la semaine prochaine. Je ne ferai pas le tour de tous les commentaires pour vous remercier aussi même si certains m'ont interpellé comme un des derniers de Margot; c'est une technique proche de la mienne mais malheureusement, je suis au ponton visiteurs et, de plus, à PLF il n'y a pas de taquet sur le catway donc...difficile. Merci à Tous et bon vent. Juste un petit mot à celui qui veut qu'on achète un bateau plus peitit pour "apprendre". Je suis jeune retraité et accède à un rêve après des années. Si je commence par un 25 pieds et que je change tous les deux ou trois ans, j'aurais du mal à avoir un bateau capable de loger mon 1,87m avant d'arriver aau cimetière. Mon bateau c'est ma nouvelle maison donc, il faut qu'elle soit à ma taille. Le SO 39ds me permet de vivre debout sans baisser la tête. Dans une maison c'est indispensable. Bien à Vous. Richard.

Eglise de Talmont  en Charente France

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