micro entrepreneur / skipper

Bonjour ,
je me suis inscrit à l' urssaf pour travailler en micro entrepreneur sous le titre "Skipper" , qui se trouve dans la liste des métiers autorisés en tant que micro entreprise .
Je possède les diplômes nécessaires :
Capacitaire , BPPV, Capitaine 200 voile validé , visite des gens de mer à jour , expérience etc...
Dois je passer par l' enim , son régime de protection sociale et ses charges lourdes ou par le régime des indépendants , micro entrepreneur ses charges plus basses et sa couverture sociale mois bonne?
Y a t il une loi et des textes qui obligeraient à rester sous le régime de l' ENIM ?
Merci de m' éclairer si vous êtes dans le même cas.

L'équipage
10 mai 2016
10 mai 2016

Si tu travailles sous pavillon francais, tu dois cotiser a l ENIM. Le hic, tu ne peux pas t enroler avec ton auto-entreprise !
Depuis peu, les aff mar s intéressent beaucoup a ce statut incohérent, et effectue des controles pour vérifier que tu cotises bien a l ENIM.

10 mai 2016

C est ce qu ils m' ont dit aujourd’hui , les contrôles vont être plus fréquents et ciblés.
Finalement les charges en cotisant à l' Enim ne sont pas énormes , 25 % par exemple dans mon cas si j' ai bien calculé .
Le problème c' est que le métier de skipper figure dans la liste des métiers autorisés mais que tu ne peux pas cotiser à l enim et donc tu n es pas en règle. c' est à n' y rien comprendre.

10 mai 2016

Je suis exactement dans le même cas de figure. 25% de cotisation enim plus environ 23% de charge micro entrepreneur, on vas droit dans le mur. Quelle est la solution?

11 mai 2016

Les artisans et entrepreneurs sont déjà dans le mur.
Il y a des skippers qui sont auto-entrepreneurs, qui font savoir qu'ils sont dans la légalité, et serrent les fesses en attendant le contrôle.
J'ai fait un remplacement très récemment sur un voiler avec passagers payant, acte de francisation bleu, le "chef" de bord était auto-entrepreneur et BPPV.

11 mai 2016

Il me semble qu il est possible d etre auto-entrepreneur et de cotiser a l ENIM a la place du RCI.

Après il faut que tu puisses t enroler, soit par ton armateur, soit par des boites spécialisées (+ cher).

Mais comme marin pro francais, t as pas le choix, c est l ENIM. Le statut de skipper pro a été crée pour renflouer les caisses de l ENIM, puisque la mar mar a plus de retraité que d actif de nos jours.

Sinon t as pas le choix, pour pouvoir avoir un role d armateur, il faut avoir une société. Et si mes souvenirs sont bon, tu as un total d environ 47% de charges.

11 mai 2016

Et de plus , il te faut un second enrôlé donc un salarié et des charges en plus ....

11 mai 2016

Est il possible d' ouvrir un rôle d' entreprise plaisance auprés des affaires maritimes et de déclarer ses embarquements comme skipper ou matelot ce qui permettrait de facturer une prestation sans être au régime des indépendants ou micro entrepreneur ? Et donc environ 25 % de charges seulement?

12 mai 2016

Si tu veux, tu peux avoir 0% de charges. C est le black, qui est beaucoup pratiqué.
Je ne comprend pas bien comment tu veux avoir un role d entreprise, ne pas etre auto entreprenneur et payer que 25% de charge !

Malheureusement, ce n est pas toi qui choisi ce que tu veux payer.

14 mai 2016

Tu peux te mettre en SARL, EIRL ou autres, et même rester en micro BNC (sans TVA), et avoir ton rôle d'entreprise. Ca améliorera un peu le tableau, mais dans tous les cas tu n'arriveras jamais à être complètement en règle. Et encore moins assuré.

14 mai 201614 mai 2016

Là où je rejoins Paba, c'est qu'il devient de plus en plus difficile d'être en règle.

Pour deux raisons :

1) les règles ne cessent de changer.

Jusqu'en 1991, n'importe qui pouvait être skipper professionnel.

Puis, nos fonctionnaires ont inventé le BBPV. C'était, comme le permis de conduire, pour la vie.

Rebelote en 2000, ils décident que le BBPV n'est plus valable, sous prétexte de s'aligner sur l'Europe, ils nous inventent le Capitaine 200 et 500. La bagatelle d'un an de formation et plus de 20 examens. Là encore, c'était pour la vie.

Puis, il y a deux ans, ces mêmes fonctionnaires ou leurs enfants décident que les examens les plus importants ne sont plus valables que 5 ans. Rebelote, tous les pros doivent retourner à l'école (formation payante bien évidemment).

Pour celui qui veut en faire son métier, c'est une course à l'échalote permanente.

Il vaut mieux passer un CAP de pâtissier ou de coiffeur, voire passer le bac.
Imagine-t-on qu'il fasse repasser le bac tous les 5 ans ? Bien peu l'auraient.

2) Et là, d'autres fonctionnaires ont inventé la VAE, la validation des acquis de l'expérience.

Le seul problème est que cette décision de VAE est à la discrétion d'un fonctionnaire des AFMar qui trouve ttes les bonnes raisons pour refuser tous les dossiers.

Je ne sais ce que l'avenir nous réserve, ils vont bien nous pondre encore quelques lois et rendre hors la loi tous les pros en activité, mais choisir ce métier aujourd'hui relève de la plus grande inconscience.

Y a-t-il plus ou moins d'accidents avec des skippers impliqués, bien évidemment que non.

Et le côté néfaste et pervers du système est qu'on ne trouve qu'une majorité de skippers pro tout juste sortis de l'école, donc sans aucune expérience.

Ben oui, les Conseils régionaux se sont engouffrés dans la brèche et payent des formations à tour de bras pour faire baisser artificiellement les chiffres du chômage de jeunes qui souvent n'ont jamais mis les pieds sur un bateau pour des métiers sans avenir qui seront remis en question dans 4 ou 5 ans.

CaptainRV

14 mai 2016

Rv , tu as raison je suis fatigué de tout ça , ras le bol , de plus les salaire diminue, ou on te propose que du black

15 mai 2016

Le capitaine 200 voile est un diplôme d'officier de marine marchande, de commandement à la mer.
Ça ne sert pas seulement à faire du convoyage et emmener des touristes se faire bronzer, mais permet de commander des bateaux emmenant plusieurs dizaines de passager, ou faire chef de quart sur des petits cargos.
A ce titre, je ne trouve pas anormal que tous les 5 ans, soit vérifié que le possesseur du titre ait les capacités à commander, ou soit capable de passer d'un sextant à une passerelle "tactile".

Les titres de navigation ne sont pas refusé par un fonctionnaire des Affmar, mais jusqu’il y a encore 3 ans par une commission, qui détermine si l’intéresse à les acquis nécessaire pour valider un ou des module, ou le diplôme complet.
C'est un dossier suivi d'un orale, tout le monde ne s'en sort pas de la même manière, certains y vont les mains dans les poches comptant sur un quiproquos, d'autres ressortent un diplôme pensant juste gratter un module.

Ce qui a fait du tort à la profession, ce sont ces centaines (ou milliers) de parasites qui sont entrés parce qu'il y avait de la lumière ou pour masquer les chiffres du chômage, parfois ressortis avec le titre, rarement exercent brièvement et donnent une mauvaise image de la profession.

Pour le 500 ou le mécanicien 750KW, il y a moins de pb, l'élève est souvent envoyé par l’armement qui attend un résultat concret, parfois sous peine de bloquer le bateau à quai.

16 mai 2016

"Et le premier critère est d'avoir un CDI comme marin"

www.ucem-nantes.fr[...]ite.pdf

La VAE est accessible aux bénévoles, existe il un CDI bénévoles?

Si j'avais du temps à perdre je pourrais te lister les dizaines de diplômés en VAE, mais je ne vais pas tenter de convertir un convaincu.

Pour rappel, le C200 ne s'adresse pas seulement aux voileux, qui sont une minorité à exercer après le diplôme, mais à tout ceux qui vont embarquer, et le minimum à savoir c'est quelques termes d'architecture de la marine marchande pour décrire leur environnement que la plupart des marins connaissent déjà.

Pour le reste, je te laisse à tes certitudes, je ne me fie qu'au vécu et aux textes, je ne fais pas d'un cas une généralité.

16 mai 2016

Si tu interprètes les textes régissant la profession comme tu interprètes mes propos, je comprends tes difficultés à t'y retrouver et tes problèmes relationnels avec l'administration.

Le C200 est le premier échelon d'officier de marine marchande, à ce titre il ouvre certaines portes.

15 mai 2016

T'as vu beaucoup d'officiers de la marine marchande sur des voiliers, et comme tu sembles le soutenir sur des cargos à voile ?

Ca s'appelle Capitane 200 VOILE, comme tu tu le dis si bien, on n'est pas dans la marine marchande.

Faut pas tout mélanger et nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Je te le dis sans agressivité et le plus gentiment possible, mais je suis fortement agacé de ces arguments à cõté du sujet qui viennent défendre l'indéfendable.

CaptainRV

15 mai 201615 mai 2016

@ Frablo,

Là, tu me mets franchement en colère, à affirmer n'importe quoi.

Ton profil n'est pas renseigné, mais, à tes remarques, il semblerait que tu sois partie prenante dans ce processus absurde.

Les skippers professionnels seraient fort contents de pouvoir se présenter devant cette fameuse commission de la VAE. Mais les fonctionnaires des AFMar bloquent tous les dossiers. Il faut des critères pour monter un dossier.

Et le premier critère est d'avoir un CDI comme marin.

Quel est le skipper pro qui jongle de contrat en contrat, et qu'il navigue 100, 200 ou 300 jours par an, qui a un CDI. Aucun.

Même un artisan ou un professionnel indépendant ne peut par nature avoir un CDI, il ne peut être salarié que de lui-même et son dossier est refusé par ce même fonctionnaire obbtus qui applique la loi.

Si tu es dans le process, il serait temps que tu atterrisses et que tu connaisses la réalité du terrain.

Quels sont les candidats que tu vois en commission, des marins en CDI laveurs de pont ou passant de temps en temps une couche de peinture. Tu ne dois pas souvent voir des skippers professionnels, ils ne peuvent se présenter.
,
Et c'est leur faire injure que de prétendre qu'ils cherchent à bon compte à récupérer des modules ou des diplômes.

Pour m'amuser, j'ai fait le parcours, mon dossier a été rejeté par un fonctionnaire des AFMar fort sûr de lui. Et, vu la loi, je ne peux lui donner tort.

Du grand n'importe quoi.

Un processus pondu par des enarques complètement inadapté au terrain.

Tout ça me fait penser au BPPV que j'ai passé il'y a plus de 20 ans devant 3 galonnés de la Marine Marchande. Je l'ai eu, mais c'était n'importe quoi, ils n'étaient de leur vie jamais monté sur un bateau à voiles, ils ne connaissaient que les cargos.

Ou au module sur la structure et la nomenclature des bateaux pour le Capitaine 200 pour décrire les termes d'architecture de la marine marchande. Aucun des mots utilisés pour décrire un navire ne correspondait au vocabulaire qu'on utilise sur nos voiliers. Une franche rigolade. On l'a appris par coeur pour se dépêcher de l'oublier.

Lâchez les gars, nos voiliers ne sont pas de la Marchande, nous ne sommes pas du même monde. Commencez par embaucher des profesionnels de la voile professionnelle ou a les faire participer à ces fameuses commissions. Je suis candidat.

Puisque tu as l'air d'avoir quelque influence, nous serions heureux que, de l'intérieur, tu puisses faire bouger les choses.

Au fond, je ne suis pas très optimiste, tant que la Marine Marchande sera responsable de nos voiliers, il y a malheureusement peu d'espoir.

CaptainRV

16 mai 201616 mai 2016

Je n'ai pas pour habitude d'affirmer sans preuves, je tiens à ta disposition le courrier que m'a envoyé un des chefs de service.

Et tu pointes ici un des problèmes que nous rencontrons tous, chaque AFMar a sa propre interprétation et il n'y a pas de système de médiation ou d'instance auprès de qui s'adresser. Quand c'est non, c'est non, circulez.
Si je comprends bien, tu travailles aux AFMar de Nantes, il semblerait que ce cas particulier ne soit pas un cas général. Ca ressemble à une loterie, en fonction des AFMar auprès de qui tu t'adresses, tu as une réponse différente.

Et je serais fort intéressé comme tous nos lecteurs, que tu interviennes à visage découvert afin que nous sachions à qui nous avons affaire.

Et si tu veux m'apporter ton aide et conseils, j'en serais fort heureux que tu le fasses en MP.

CaptainRV

16 mai 2016

En relisant tranquillement Frablo ce matin, celui-ci nous informe que les AFMar de Nantes ont donnè le diplôme professionnel de Capitaine 200 â des listes entières de candidats bénévoles.

Nantes est un pays béni des dieux sans doute, mais je ne vois pas ce que ces candidats bénèvoles et par construction amateurs vont bien pouvoir faire de ce diplôme professionnel.

Ce serait sympa de bien vouloir éclairer nos lanternes.

CaptainRV

16 mai 201616 mai 2016

Je ne te suivrai pas sur le terrain des attaques personnelles. J'en reste aux faits.

Il me semble que, sauf erreur, ce fil est centré sur le Capitaine 200 voile, pas sur l'ensemble des métiers de la MarMar. Libre à toi de dêplacer le débat, mais tu me sembles être hors sujet. Il ne s'agit pas de s'intéresser à tous les métiers de la marine marchande.

Et c'est bien là tout le problème, nous n'avons rien en commun. Ce n'est par hasard qu'il y a des ports de commerce où ne vont que tankers et porte containers et des ports de plaisance où vont les voiliers et bateaux a moteur. Deux mondes qui s'ignorent.

Sans doute un peu plus ancien que toi et depuis beaucoup plus longtemps dans ces activités, je ne peux que regretter le temps de ma tendre jeunesse où la voile dêpendait de la Jeunesse et des Sports. Depuis qu'on dêpend du ministère de la mer, je le répète, c'est du grand n'importe quoi.

Nous pratiquons une activité de tourisme, de loisirs et de sports, nous n'avons rien de commun avec la MarMar, désolé.

CaptainRV

14 mai 2016

Je vais être plus clair : le métier de marin professionnel s'effectue uniquement sur des navires inscrits au commerce. Aucun texte en vigueur n'autorise de travailler sur un navire en plaisance (hors BPJEPS en enseignement). Encore moins ne précise les conditions...

15 mai 2016

"Ca s'appelle Capitane 200 VOILE, comme tu tu le dis si bien, on n'est pas dans la marine marchande. "

Hé oui !!!! Capitaine200 voile est un diplôme de la marine marchande !!!!

15 mai 201615 mai 2016

@Paba
Voilà plusieurs fois que tu affirmes la même chose. Je n'ai pas répondu car ce n'est pas dans le sujet à mon avis.

Néanmoins, une société inscrite avec un numéro Siret quelle que soit sa forme juridique, EURL, SARL ou artisan peut s'inscrire comme armateur aux AFMar et avoir un rôle pour son bateau, que celui-ci soit en plaisance ou en commerce.

Je serais curieux que tu donnes référence aux textes sur lesquels tu sembles t'appuyer.

@Marc
Tu mets bien là le doigt sur le vrai problème, nos fonctionnaires veulent tout régenter et mettre des gens dans des cases. Comme ils ne savaient pas oû mettre les voileux, voilà-t-il pas qu'on les a mis dans la Marine marchande.

D'ailleurs, ils ont fait la même chose avec les pêcheurs, il y a un Capitaine 200 pêche.

Tout ça n'a rien à voir avec la marine marchande.

CaptainRV

15 mai 2016

oui on est d'accord !!!

15 mai 201615 mai 2016

L'argent détruit tout; La mer, la voile, la liberté, la planète, la fraternité et l'embarquement gratuit, l'échange simple de services entre individus, les gens, tout;
Vive le boycott du système

en france etre travailleur independant c est louche ! on prefere les chomeurs ;-)

16 mai 201616 mai 2016

Mon message est plutot pour soutenir le travail independant ;) (tant que les prix proposés restent raisonnables et interessants pour les deux parties !), mais les paperasses, diplomes et conditions exigés, taxes, cotisations etc, n'encouragent ni les independants, ni les clients potentiels souvent !
Il reste la "non déclaration", avec les risques que ça comporte, mais être "légal" n'est jamais gage non plus d'honnêteté et de fiabilité ( ça n'a pas toujours à voir )

16 mai 2016

je pense qu il est preferable d exploite sous pavillon etrangers
certain pays sont beaucoup plus simple et les formalitees sont beaucoup moins contraignantes !!!!

16 mai 2016

@christophek
Mais les conditions d'exploitation (d'une activité de charter) ne dépendent pas du pavillon mais des lois du pays dans lequel tu exerces ton activité...

16 mai 2016

bonjour ,
je suis l auteur de ce fil.
On me propose un travail de 5 jours comme skipper en France.
Youpi!
Mais la société de location de voiliers a contracté avec son client et a encaissé directement le montant de la location du voilier + le tarif de l' option skipper.
Législation française :
La société de location devient donc armateur et doit donc obligatoirement avoir son voilier en nuc , ce qui n' est pas le cas,il est en armement plaisance traditionnel.
Donc j' y vais ou pas , pourquoi?
Si un de mes équipiers a le malheur de prendre un coup de bôme sur la tête , je suis donc le premier responsable.
Ouf!, le bateau est assuré pour la location avec skipper.Le sfrais d hospitalisation seront donc couverts.
Ben non puisque l' assurance ne marchera pas car le voilier n est pas en nuc et l assureur se réfugiera derrière ce fait pour ne pas couvrir l accident.
Et même si j ai une responsabilité civile pro de skipper elle n interviendra pas non plus car elle ne prend en charge que si l assurance du voilier paye en premier l accident et se retourne contre le skipper ; moi et mon assurance pro responsabilité civile ,
D ailleurs il est impossible de contracter en France une rc pro skipper ,car le risque trop grand, ils sont pas fous nos assureurs.
Alors j' y vais ou pas , que feriez vous à ma place?

16 mai 2016

Bravo d'abord.

Ton analyse est excellente et montre bien sur un cas concret le sac de noeuds auquel nous avons à faire face tous les jours.

Normalement, la société de loc ne devrait louer que son bateau qui est en livret plaisance sans skipper et tu devrais avoir un contrat d'enrollement direct entre le client et toi-même.

Entre nous, ceci est un recul très important par rapport au cas où la société de loc faisait un contrat unique. En cas de pépin, le client pouvait se retourner conte la société de loc.
Si tu as un contrat d'enrollement direct, c'est le client qui prend toutes les responsabilités. Beau progrès en vérité. Sous prétexte de mieux protéger le client, on le met dans une situation où c'est lui qui prend tous les risques.

A ta place, j'essaierais de voir avec la société de loc pour qu'il y ait un contrat direct entre toi et le client. C'est d'ailleurs la position des assurances.

Il semblerait qu'un de nos membres qui est intervenu plusieurs fois plus haut, Frablo pour ne pas le citer, ait des accointances fortes avec les AFMar.

Peut-être pourra-t-il te donner un conseil plus avisé que le mien.

Bravo encore.

CaptainRV

Feu sur l'épi Dellon, à l'est de l'ancien Lazaret à Sète

Phare du monde

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Feu sur l'épi Dellon, à l'est de l'ancien Lazaret à Sète

2022