Partir au lof que faire
Bjr à tous et merci pour vos réponses
Que faire quand on part au lof
Abattre franchement ou au contraire l'offer franchement et choquer la GV
si c'est sous spi ,ça commence par une abatée .
le seul moyen c'est de choquer l'écoute et le bras ,souvent en ouvrant on peut la stopper ,c'est pour ça que les winchs de spi ne sont pas self tailling .
alain
Un départ au lof c'est le plus souvent lié à de la surpuissance souvent bien aidé par de la vague
Le controle se fait sur la GV en lachant du halebas
Et si ça revient un peu trop souvent voir au pataras
Dis nous si tu penses à une situation particulière ?
Cdlt
JM
surtout ne pas abattre c'est la grosse erreur instinctive car avec la force centrifuge on ne fait qu'accentuer la gite ..il faut choquer...
ceux qui ont fait du deriveur leger ont experimenté
Comme mes petits camarades... ça dépend !
Il faut rien forcer en tout cas, choquer et ne pas se crisper sur la barre !
Bonjour,
choquer en grand pour redresser la situation puis analyser et corriger les réglages ou la surface...
J'ai eu un Gib Sea 26 dont la spécialité était le départ au lof sous spi. Amusant...
👍 jeec
si le bateau commence a faire des départ au lof , il fini par plus pouvoir tenir sont cap et il n'avance plus
monsieur ou madame - 1
explique moi comment tu fait route si le bateau se met sur le flanc en permanence , en réduisant la toile il sera moins ardant tiendra son cap et par la force des choses le bateau a une moyenne plus constante ... édit :encore un 1- 🤣
Un bateau parle. Il faut savoir l'écouter et lieu de le cravacher.
Certains bateaux deviennent durs, obligeant de mettre de la barre au vent en permanence. Déborder de la barre d'écoute permet une certaine amélioration.
Mais il y a le vrai départ au lof. Sur certains bateaux, il y a auloffée irrésistible, voiles faseyant dans le vent, barre en chewing-gum entre les mains. Le safran a décroché.
La même situation peut arriver sans réel décrochage, mais le résultat est le même.
Le bateau est simplement en train de dire qu'il est trop toilé et qu'il en a marre de se vautrer.
Ariser lui fera très plaisir. Et le barreur retrouvera le sourire 🙂
euh...c'est quoi l'allure de départ? c'est toilé comment? parce que sans ces infos je ne vois pas quoi répondre!
En général, un bateau part au lof parce qu'il est trop gité, et c'est avant qu'il parte au lof qu'il faut agir.
Donc réduire la puissance des voiles, choquer la GV, réduire la toile si ça se reproduit souvent.
Au près et au bon plein : lofer
Au portant : abattre
Dans tous les cas, ça ne sert à rien de forcer sur la barre si on n'accompagne pas à l'écoute.
Bonjour ,
Souvent lorsqu'on parle au lofe c'est qu'on est surtoilé .
Dans mon cas lorsque je lofe au portant , je choque la GV en abattant .
Et je me met face au vent lorsque je lofe au prés serré . C'est plus sécurisant et ça permet de réduire plus facilement .
Je ne suis pas spécialiste des réglages, je ne régate pas et comme j'aime être en mer, je ne suis pas pressé d'arriver, je cherche pas à aller le plus vite possible. Mais j'aime bien un voilier qui porte la toile du temps, car il maintient l'équipage heureux et serein..
J'ai retenu de mon apprentissage des règles simples : quand le bato part au lofe, c'est qu'il fait girouette, se met dans le vent. Il faut donc réduire la puissance de la girouette : la GV. Différents moyens pour cela, avant même de prendre un ris.
Si le voilier gite trop, c'est le génoa qui est trop puissant. Réduire sa puissance, il y a différents moyens pour cela, avant même de prendre un ris.
En première approche, ça fonctionne assez bien pour mon voilier.
Départ au lof ou gros coup de gîte ?
Pour moi le départ au lof c'est quand le bateau lofe irrésistiblement, donc par définition, trop tard pour abattre et impossible de contrôler sa trajectoire jusqu'à la fin de la pirouette. Le déséquilibre du plan de voilure l'a rendu plus ardent que ce que le safran est capable de contrer, comme l'explique Kobaia.
C'est un peu comme la chute en ski : une fois que l'équilibre est perdu, on ne peut pas arrêter la chute, on va bouffer la neige. Enfin, "tester la qualité de la neige". On peut prévenir la chute en gérant mieux son équilibre, on peut se relever après la chute, mais pendant, bof...
Au largue, abattre quand on sent qu'on est "sur le point" de partir au lof, après c'est trop tard, on peut seulement choquer et se tenir pour ne pas tomber.
Surtout au largue, visualiser les rafales avant qu'elles n'arrivent pour être prêt à abattre, car au portant une augmentation momentanée du vent réel entraîne aussi sa rotation, dans le sens qui va favoriser le départ au lof. Ou alors sous-toiler le bateau, mais alors c'est pas drôle... Enfin tout dépend de ce qu'on cherche !
Au près, lofer ou choquer. Dans ce cas le départ au lof, c'est simplement le bateau qui fait à notre place ce qu'on aurait dû faire une demi-seconde avant. Mais ce n'est pas bien grave puisque l'amplitude du lof "forcé" est faible, ça prend juste un peu plus de gîte.
Une règle pour limiter les départs au lof.
Quand on commence à se demander si il ne faudrait pas réduire, c'est qu'il faut réduire. Et réduire.
Pour avoir beaucoup navigué en First 18, bateau très ardent, on a été coutumiers de la chose, de vieilles voiles empirent la chose, la feignantise parfois en croisière, la petite taille/faible poids n'arrangeant rien, on apprend vite que border choquer comme en deriveur léger est contre productif et que prendre un ris va nous faire gagner en confort et souvent en VMG.
J'ai pas mal navigué sur des Feeling 1090. Les départs au lof étaient monnaie courante dès que nous étions trop bordés ou trop toilés dans l'espoir vain d'aller plus vite.
En lâchant la bôme et enroulant un peu de génois le cas échéant, le 1090 reprenait un meilleur équilibre, n'en perdait pas de vitesse pour autant tout en faisant une meilleure route. Trop toilé, il dérapait excessivement et le besoin de tenir la route en le forçant à la barre l'amenait à partir violemment au lof. Mettre les rails de fargue dans l'eau n'est pas synonyme de vitesse et sur-toiler ou trop border dépasse les capacités de la carène.
Tout voilier a ses limites, il faut faire avec.
Avec une barre franche, on sent bien ce moment crucial où il faut réduire, parfois, certaines barres à roue sont moins parlantes, il faut donc avoir d'autres critères comme la gite excessive qui fait lâcher le safran. Trop gité, le safran devient l'équivalent des stabilisateurs d'un canot à moteur et ne maitrise plus la direction, il fait plonger l'avant au lieu d’abattre.
La direction se gère plus aux voiles qu'à la barre.
Bonjour
Après deux jours l'auteur de la question ne semble pas décidé à préciser, répondre aux demandes des intervenants souhaitant l'aider ?
Ecoute-t-il en silence..?
Bonjour....non je lis les réponses et ensuite je fais un condensé pour répondre....