Partir d'un mouillage... en solitaire...

Bonjour,
Pas toujours évident de partir d'un mouillage encombré, en solitaire, et surtout si le vent s'invite à la manoeuvre! Bien sûr je ne m'adresse qu'a ceux qui n'ont pas les commandes du guindeau ramenés à la barre... Avez-vous des astuces qui peuvent simplifier cette manoeuvre?
A plus de vous lire,

L'équipage
13 jan. 2010
13 jan. 2010

partir ....
cas simple n°1:
pas de courant, vent dans l'axe du bateau, normal sur 1 seule ancre !
je brancher le pilote juste pour maintenir la barre dans l'axe
grand voile établie, écoute semi bordée
je remonte moteur au ralenti sur l'ancre
je monte la chaine à la main (ou au guindeau élect)
si tt va bien, ancre à la verticale, j'arrache du fond et la remonte juste pendante au davier
....

13 jan. 2010

suite ....
et là vite à la barre,je sors du mouillage avant de monter l'ancre à poste
elle reste prête à mouiller, on sait jamais ....

j

13 jan. 2010

pas facile
avant d'être équiper,j'avais(ils le sont encore)mis deux petits pontets sur les parois du cokpit,tribord-babord de part et d'autre de la barre,puis un sandow qui était relié des pontets a la barre,puis je pouvais régler ma trajectoire ,et avec un peu de moteur aller relever mon mouillage.
Avec de l'entrainement ca se fait

13 jan. 2010

Courrir...
Selon le vent et l'encombrement, je choisi voile ou moteur. Donc dans un cas, j'envois la GV ou je démarre.

Je remonte l'ancre (à la main) depuis le trampo. Cela va assez vite, je mouille rarement dans plus de 2 mètre d'eau.

Si j'ai choisi "voile", je fini de remonter le mouillage depuis une étrave, ce qui à l'avantage d'orienter le bateau sur le bord vers lequel je dois partir.

Et je cours à la barre. Généralement, Erendil a eu le temps de commencer à dériver en marche arrière. Je joue sur la barre pour être franchement sur le bon bord et je borde. Sinon, je régle ça au moteur.

Jacques

13 jan. 2010

anticipation et rapidité
sont les deux mots prioritaires pour moi:
-anticipation: c'est la préparation du bateau et du bonhomme, tout ranger, clarifier; grand voile haute plutôt sous toilée et dans l'axe pour maîtriser au mieux, moteur chaud...
avertir les bateaux proches
mettre des gants et des chaussures, boire une bonne rasade d'eau
être prêt à remouiller en urgence si nécessaire
bien observer la configuration du plan d'eau et son encombrement, le vent, le clapot...les nageurs et autres pédalos ou skieurs...
-rapidité: choisir son moment et au top exécuter rapidement sans affolement
ne pas tirer le bateau avec le guindeau mais se servir des vagues, embraquer quand le canot pique du nez et bloquer à la remontée jusqu'à être à pic
faire une pause à pic pour faire le point et observer le plan d'eau

remonter d'un seul coup, bloquer la pioche
foncer à la barre et embrayer le moulin et appuyer au vent le plus vite possible
saluer les voisins au passage, les remercier

13 jan. 2010

pour moi
si vent faible: pilote automatique à poste pour maintenir la barre droite, remontée du mouillage à l'avant et retour rapide à l'arrière une fois l'ancre à pic ou à son poste.

si vent fort et donc souvent mouillage encombré surtout en Méd: j'ai confectionné une rallonge pour ma commande de guindeau que je ramène à l'arrière, ce qui me permet de rester à la barre et au moteur lorsque l'ancre dérape.

Bernard

13 jan. 2010

sécurité !
gaffe à poetée de main,
parbats en place
et GILET AUTO capelé !

13 jan. 2010

trop hard !
Cette année je m'équipe avec radio commande - Il faut compter plus de 200 E alors qu'une telecommande de portail coute beaucoup moins cher ! mais fonctionnement différent . Il faut que le fonctionnement soit lié au temps de pression du doigt sur le bouton ! ce n'est pas le cas pour un portail !

Maurice

13 jan. 2010

la commande radio
va voir chez "conrad " ils on ça ...
quand on n'a pas de guindeau il y a une solution
c'est de venir a pic de l'ancre ,de prendre un bras de spi que l'on croche sur la chaine à ras du davier et que l'on ramene sur un winch de genoa si c'est un self tailing c'est encore plus facile :
moteur en avant lente la barre dans une main et on mouline de l'autre et on remonte une longueur de coque comme ça sans effort.
elle est pas belle la vie ?
ALAIN

13 jan. 2010

pas top pour la raguage sur le pont !
en urgence oui
:-)

13 jan. 2010

pour la radio-commande
en solitaire,je la recommande fortement,quand je me suis équiper,c'est ce que j'ai fais guindeau électrique,avec radio-commande en plus,cela change tout

13 jan. 2010

marche arrière
s'il y a assez de vent, on peut se mettre poupe au vent, en marche arrière +- lente, avec l'avant du bateau qui reste plus ou moins en proximité de l'aplomb de l'ancre, on a tout le temps de remonter sans que le bateau parte, et quand l'ancre est dégagée le bateau reste bien docile dans les environs sans s'en aller tout de suite

il faut un peu de vent quand-même pour équilibrer la poussée en arrière du moteur

:-)

13 jan. 2010

Admiratif
je suis, devant ceux qui arrivent en solitaire à remonter leur ancre d'un seul jet en mettant leur moteur en marche avant, ou beaucoup plus beau encore, en faisant la manip à la voile. Je leur tire mon chapeau, je suis incapable de le faire.
Ma baille à mouillage présente un sérieux défaut : quand j'ai remonté au guindeau electrique 10m de chaine, ça se bloque car ma baille n'est pas assez en pente et pas assez profonde. De plus quand je mets mon moteur en marche avant et que je cours à l'avant remonter le mouillage avec la commande en le guidant et l'étallant de mon mieux dans la baille à mouillage, il arrive assez vite que mon bateau passe devant ma chaine et que le frottement le long de la coque m'oblige à retourner à l'arrière pour mettre mon moteur au point mort et attendre qu'il se repositionne favorablement. Quand j'ai mis 50m à 60m de chaine, la manoeuvre est assez longue et pas très belle à voire !
Je ne vous dis pas quand le vent s'est inversé à 180° et souffle à F7 ou F8 dans le mouillage avec une pluie d'enfer (comme ça m'est arrivé en octobre à Corfou) et que je commence à déraper... Comme j'ai installé une commande fixe dans le cockpit, je mets mon moteur en marche avant, je remonte 10m de chaine, je remets le moteur au point mort, je cours à l'avant ranger mes 10 m de chaine dans la baille, et je retourne dare-dare refaire la manoeuvre dans le cockpit. Bref c'est pas du tout académique et plutôt éreintant !
Il faudra que j'étudie la manoeuvre en marche arrière décrite par Roberto. C'est peut être une solution pour moi !

13 jan. 2010

c'est pareil pour moi
Ma chaine se bloque souvent. Mais la manoeuvre d'appareillage ne commence que lorsque l'ancre est à pic du bateau. Là, il n'y a plus qu'entre 2 et 10m d'eau selon la profondeur standard des mouillages : même si ça bloque un peu, on remonte le bardas assez vite.
Comme toi, je met en marche avant pour choper un peu d'erre, point mort et je pars remonter ma chaine. Il faut souvent quelques A/R. C'est éreintant si on s'excite. Si on fait ça peinard, c'est juste un peu d'efforts en plus. Par contre, je suis d'accord, c'est pas esthétique et c'est chiant avec toute la longueur de chaine.

13 jan. 2010

le bourrage
de la chaine dans la baille sous le guindeau est classique et pour ma part je répartis la chaine dans la baille avec les pieds en étant assis au bord et avec les commandes à portée de main; le gindeau devant moi, je peux guider, décoincer, touner la pioche dans le bon sens et ne pas me casser le dos avec une position tordue....

14 jan. 2010

essayer
pour voir, essaye la marche arrière :-)

sans vent ça va, pas besoin, sans toucher au moteur on reste à l'avant, on recupère la chaîne petit à petit, on remonte un peu, la chaîne s'allonge, pius le bateau se rapproche de la verticale, on remonte encore un peu, etc, c'est juste une question de temps

avec du vent par contre la chaîne reste presque toujours tendue, d'un côté ou de l'autre, le guindeau est toujours sous effort

on peut faire des aller retour entre guindeau et moteur, un coup de moteur et hop on court à l'avant pour remonter, mais assez vite il faut rebloquer tout car le bateau part de côté...

En marche arrière lente le bateau ne bouge pas, ou très peu, en tout cas la chaîne reste assez molle pour être remontée. Il faut juste bien profiter de l'effet evolutif de l'hélice pour se mettre fesses au vent, car le bateau avec la chaîne dans l'eau n'est pas vraiment très coopératif, mais vraiment aucun souci pour faire le demi tour.

J'utilisais cette méthode avant de mettre une commande filaire du guindeau dans le cockpit, mais même maintenant comme la chaîne fait son tas dans la baille, être poupe au vent aide vraiment beaucoup; le clapot rentre un peu dans le cockpit mais vraiment comme stabilité du bateau ça aide

bref, essaye, si cela ne fonctionne pas ça va peut-être fonctionner avec un autre bateau?

:-)

14 jan. 2010

OK c'est vrai
que quand il y a peu de vent tout est facile : mon moteur reste au point mort et je remonte la chaîne tranquillement comme Tago en mettant , comme Ponton le fait, les deux pieds dans la baille de part et d'autre de la chaine et je répartis la chaîne avec mes petits petons (le seul truc dans cette position c'est qu'il faut faire attention de ne pas se faire happer les parties sensibles par le guindeau électrique !).
Mais par vent fort j'essaierai ta méthode Roberto. Elle doit marcher car le bateau en marche arrière est beaucoup moins volage qu'en marche avant. Dans ce cas s'il pleut beaucoup il ne faut pas oublier de fermer le panneau de descente sinon le carré risque d'être inondé.

13 jan. 2010

Vous quittez les mouillages par force 10
J'avoue être étonné de vos préparations. Dans le cas d'un départ à la voile et dans un mouillage encombré, c'est ok : il faut tout bien préparer, se mettre à pic, attendre d'être sur le bon bord, remonter l'ancre le plus vite possible, courir et prier pour rester sur le bon bord ... très chaud ! En cas de mouillage encombré, j'avoue d'ailleurs préférer une petite brise soutenu à la quasi-absence de vent qui risque de vous vautrer sur les autres.

Mais au moteur :tesur: A moins d'être mouillé à 1m des autres, un jour d'ouragan !!! Pour moi, la seule astuce, c'est de rester calme, méthodique et serein : y'à le temps. Tu te met bien à pic, barre droite. Là tu remontes ton mouillage, plus ou moins vite selon la profondeur, tu accroches sommairement et tu retournes sans trop te presser à la barre pour engager la marche avant et partir avec un sourire pour tes voisins. Ne surtout pas se précipiter, y'à pas le feu, t'es pas dans un avion. Même dans un mouillage encombré et par fort vent, je n'ai jamais eu la sensation de m'approcher dangereusement des autres lors de cette manoeuvre. On rippe un peu, le bateau a parfois le temps de se mettre en travers (rare), un coup de bourrin et c'est fini.

Très cordialement,
Olivier

31 mai 2013

Je pensais (mais n'ai pas encore essayé) mettre un orin assez long sur le diamant de l'ancre, passer cet orin dans une poulie sur le balcon avant et ramener cet orin sur un winch. Au moment de remonter l'ancre, je tire lentement sur la chaine de mouillage jusqu'à la limite avant de décrocher, j'attache la chaine au taquet (j'ai 15 m de chaine et 25 de cablot) puis je retourne derrière d'où je tire sur la tête de l'ancre par l'orin sur le winch pour finir de décrocher l'ancre. Ensuite je dégage du mouillage avec les mètres de chaine qui pendent encore sous le bateau mais l'ancre est pendue à la poulie du balcon. Une fois en route, je peux aller finir de ranger le bazar.
Qu'en pensez-vous ?

13 jan. 2010

ben oui....
j'évite de me précipiter, imagine une gamelle dans la foulée!!!!je bloque ma barre avec le pilote, marche avant tout doux et je remonte ma chaine a la main en la rangeant avec le pied pour éviter un bourrage dans la baille, puis retour a la barre, jamais eu de problemes même dans un mouillage bien plein, d'ailleurs une fois aprés avoir passé 3 jours au mouillage dans une parfaite tenue, la 4em nuit elle a décidée de ripper!! même manoeuvre et pas de soucis, c'est vrai il n'y avait pas bcp de vent, un peu plus de stress du a l'obscurité, d'ou l'interet de bien se mettre en tête le mouillage et sa sortie pour se représenter avant de jeter l'ancre!!

14 jan. 2010

Je me sens moins seul
Je me reconnais en Tago Mav.
J'ajouterai que pour répartir la chaine je la récupère à la main à la sortie de l'écubier en la montant en l'air et la fait retomber dans la baille en la répartissant. Pas avec les pieds, je salirai le pont après.
Pour moi, la règle d'or; ne jamais courir quitte à faire des allers retours à la commande moteur ou à finaliser la remontée complète du mouillage à l'écart des autres bateaux.
Ah oui aussi, attention les doigts !

14 jan. 2010

et pourquoi pas
mettre une commande moteur dans la baille a mouillage ?
esce plus simple que de mettre un inverseur montée descente au cokpit
avec les commandes electriques c'est pas sûr!!!
si tu ne veux pas rayer le pont tu peux toujours lever la chaine avec la drisse de spi et au moins tu auras du succés dans les mouillages .
alain ;-)

14 jan. 2010

Salade d'interprétations
Commandes déportées: Je n'en suis pas partisan pour le guindeau; pas de visuel sur le mouillage à l'eau, sur la rentrée de la chaine, la mise en place en douceur de l'ancre.
Pour le moteur encore moins;une somme de pannes potentielles pour un avantage à la marge.
Pour ce qui est de "lever la chaine", c'est heureusement le guindeau qui fait le boulot, je ne fais que la récupérer à la sortie à la main afin qu'elle ne bourre pas et de mieux la répartir.
En général, on est plus adroit avec une main qu'avec un pied et on évite d'enduire sa semelle de rouille.
Pour les rayures, s'il m'arrive de sortir le mouillage sur le pont,
j'y dispose au préalable une dalle de sol caoutchouc

14 jan. 2010

Rouille
Exact et j'ai changée la chaine cette année.

14 jan. 2010

alcyon8
"enduire sa semelle de rouille"
à mon sens la première précaution, à fortiori pour naviguer en solo, c'est d'avoir une ligne de mouillage en bon état et la rouille n'en est pas un bon témoin!

14 jan. 2010

oui l'ami mais...
quand tes deux mains tirent sur la châine...comment faire pour la troisiéme?? :-)
certes la nature ne 'a pas désavantagé, mais quand même...une 3em main...je n'ose imaginer!!:heu: :heu:

;-)
éric

14 jan. 2010

a chacun sa méthode
en ce qui me concerne,après avoir été équiper,pilote automatique,guindeau électrique et a radio-commande,qui me permet de commander mon mouillage a n'importe quel coin du bateau ,je me suis confectionner une mini gaffe,environ un mettre,elle est constituée d'un bout du haut d'une planche a voile,auquel j'ai collé l'embout d'une gaffe,cela me permet de faire glisser la chaine dans sa baille avant qu'elle ne s'entasse au même endroit et ne puisse coincer avec le guindeau .
Cette méthode ultra simple me permet de pouvoir rester vers la baille et surveiller l'ensemble de la manœuvre.

14 jan. 2010

pour la mini gaffefait la assez grande
pour pouvoir l'utiliser sans te baisser afin de pouvoir en m^me temps surveiller la manœuvre

14 jan. 2010

mini gaffe
Ça me plait bien. Je vais en confectionner une de la longueur de la baille.
Merci

31 mai 2013

j'ai appris comme cela, j'ai, du coup, un manche en inox avec une poignée qui me permet d'étaler la chaine au fur et à mesure, c'est ce que j'ai fait dernièrement sur un rafiot similaire au mien (pas encore mouillé avec mon rafiot)

14 jan. 2010

Le secret
de toutes les manoeuvres de port, de mouillage et sur corps mort, en solitaire sans pilote, c'est le cul au vent.
Sans vitesse nez au vent le bateau va forcement dans le travers.

Quand il n'y en pas bcp cela ne pose pas de problème

Quand il y en a, avant de quitter les lieux ou pour préparer son voilier il faut,

mettre au clair son bateau, chaine en vrac pares battages, amarres, voiles etc enfin tout le bordel à ranger ou à sortir, c'est marche arrière barre dans l'axe pour stabiliser le bateau cul au vent.

Vous pouvez vous mettre dans cette position quand la chaine vient juste de déraper, pas avant, pour finir de la monter. Passez le lit du vent en marche avant avec une longueur du bateau en chaine plus l'ancre dans l'eau,et passez en arrière, stabilisez.Finissez le boulot.

Pour le mouillage si c'est vraiment trop chaud mer, vent, pas de temps etc et que vous devez quitter les lieux par sécurité vite fait bien fait, laissez tout sur place accrochez un gros par battage avec le nom du bateau à la chaine, larguez tout et revenez plus tard récupérer votre mouillage.D'ou l'intérêt d'en avoir deux.

Mes deux dirhams.

14 jan. 2010

Radiocommande ou Télécommande au cockpit
Bonjour,
Aprés avoir résolu les problèmes de descente dans la baille (s'il y en a...) pour les guindeaux 12v, le plus facile et le moins cher semble être AMHA de tirer un câble de 3 fils du relais du guindeau(3x1mm2)jusqu'au cokpit et de le raccorder à une commande sur tableau (montée/off/descente). Le coût de fournitures est insignifiant par rapport à une radiocommande, mais il faut passer le câble de l'avant à l'arrière (parfoi conpliqué si contremoulage).
Attention si l'on navigue seul de connaître exactement les vitesses de montée et descente du guindeau (voir notice guindeau car vitesses trés différentes ou le faire au port) pour connaître la longueur de chaine sous l'eau.

14 jan. 2010

a mon avis
entre le choix d'une télécommande ou d'une radio commande,si on navigue en équipage,cela n'a pas d'importance.
Par contre si on navigue en solo,cela change tout,la radio-commande permet une autonomie bien plus facile

14 jan. 2010

.
salut,

astuce vu sur un bateau si on peu voir la poupé depuis le cockpit, les derniers mètres de chaine peint en rouge ou jaune.

14 jan. 2010

Marche arrière...
Je retiens "quitter le mouillage en marche arrière". C'est pourtant vrai, que les manoeuvres délicates et ventées au port sont plus précise en marche ar!!! Dès les beaux jours, au mois de mars, je vais essayer!!! Les 1er mouillages de l'année ont l'avantage d'être désert, personne pour s'foutre de ma gue...

14 jan. 2010

oui mais pour....
peu que ton pas d'hélice ne te porte pas ou il ne faut pas....je galére avec mon pas!!!!!

14 jan. 2010

sans pilote
simplement barre dans l'axe et amarrée.

15 jan. 2010

marche arrière
ok je comprends mieux. Je suis aussi adepte de la marche arrière pour les manoeuvres de port (en fonction du vent), ce qui surprend toujours les marineros qui m'attendent.

14 jan. 2010

stabilité en marche arrière ?
je pense que mon pilote ne me permettrait pas d'aller droit.

Pour ma part j'ai la commande du guindeau à l'avant (pour mieux contrôler la remontée de la chaîne et son rangement dans la baille). Par vent fort et si le mouillage est encombré je retourne à la barre dès que l'ancre a dérapé et je quitte le mouillage en marche arrière (vers le large bien sûr). Quand j'ai de la place je stoppe et je reviens à l'avant pour finir de remonter et ranger le mouillage

15 jan. 2010

juste pour stabiliser le bateau
pas pour faire de la marche arrière... dans ce cas le pas de l'hélice ne joue pas.

Nez au vent on peut manoeuvrer uniquement avec une bonne vitesse ce qui est pas le cas au port ou en quittant un mouillage ou un corps mort.

La recherche d'un équilibre entre traction de l'hélice et poussée du vent qui aussi stabilise la direction.

l'essayer c'est l'adopter. :-D Tout devient plus simple... :-)

16 jan. 2010

Finalement
une fois le bateau stabilisé, les moyens techniques, électriques ou à l'huile de coude à l'avant ou à l'arrière, deviennent secondaires, tout peut se faire plus sereinement sans précipitation, en prenant le temps nécessaire.

31 mai 201316 juin 2020

un truc pour répartir mieux dans la baille : une poulie de renvoi de la chaîne entraînée par la poupée
il ne reste plus qu'a répartir de gauche à droite

Les Eclaireurs près d'Ushuaia, Argentine.

Phare du monde

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2022