privilégier poids de la quille ou longueur de la dérive?

Hello (et hisse et ho), :coucou:

Si j'ai bien compris ce qu'on m'a expliqué sur le fonctionnement d'un monocoque: "la force du vent sur les voiles est compensée soit par le poids de la quille (effet de contrepoids), soit par la profondeur de la dérive (effet de levier)."

Pour quelles raisons devrait-on privilégier l'une ou l'autre de ces deux options lors du choix de son bateau?

question subsidiaire : pourquoi est ce que tout les monocoques ne sont pas équipés d'une quille terminée par une boule de lest? Solution qui me semble combiner au mieux les deux options.

Merci d'avance pour vos réponses. :topla:

Je vous prie également d'accepter mes excuses pour ne pas avoir choisi, plus jeune, de suivre des études d'architecture navale... :pecheur: :scie: :alavotre: :cheri: :famille:

L'équipage
07 avr. 2018
07 avr. 2018

Bonjour Skywalk

C 'est toujours un compromis de architecte mais il te manque des paramètres comme, taille du plan anti dérive, surface mouillé du bateau, coût de fabrication, choix de la matière du lest, tirant d'eau.
L’évolution des bateaux ne sais pas faite sur un an.

Le Moko

07 avr. 2018

oui, oui, ça j'ai bien compris que c'est une histoire de compromis...mais entre les deux extrémités du spectre "tout dans le poids" ou "tout dans la longueur", qu'est ce qui motive un acheteur lambda à s'orienter plutôt dans un sens ou dans un autre?

07 avr. 2018

la confusion vient que fait que la quille remplis deux fonctions
le plan antidérive et le lest
la dérive elle ne sert que de plan antidérive
les deux approches ne sont ni comparables ni opposables

pour les quilles composées d'un voile et d'un poids en bout de voile, le cout est assez prohibitif pour un voilier de serie

07 avr. 201807 avr. 2018

Pour la force de rappel, l'idéal est effectivement un voile de dérive très fin, qui descend très profond, avec un gros poids tout rond au bout.
 
Mais cette solution est :
- la plus chère (par rapport à un monobloc en fonte)
- la plus fragile, donc re-la plus chère, pour essayer de faire plus solide
- celle qui génère le tirant d'eau le plus grand, donc le plus casse-pied (et plus exposé avec fort bras de levier, donc re-le plus fragile, donc re-le plus cher)
 
Par ailleurs, le voile de quille ne peut pas être trop grand non plus, sinon, il entraîne un excès de plan anti-derive, donc un excès de frein, de trainé, et de surface mouillée.
Du coup, il faut le faire plus petit, plus fin, donc plus fragile, donc plus cher.
 
Ca semble super marrant dit comme ca. Ca donne des quilles qui coûtent plusieurs centaines de milliers d'euro, et qui tombent toutes seules dans l'avant-port.
 
A l'opposé, il y a la solution simple et stupide : un énorme bloc de fonte qui essaie vaguement d'envoyer la masse le plus bas possible sans trop fragiliser le voile, et qui essaie d'éviter un tirant d'eau excessif.
 
Et puis, faut pas se le cacher, il y a aussi l'effet "boah, ca ira bien pour ces cons de clients, ils sont pas à un centième de noeud près, on ne peut pas faire plaisir à tout le monde, si j'en fait trop, ca va encore me tomber sur la gueule, et c'est bientôt l'heure de rentrer..." qui fait que tout n'est pas tout le temps optimisé aux petits oignons.

07 avr. 2018

ok, merci peuwi, bien compris. C'est très clair.
Vu que je compte pas gagner la prochaine transat, je vais chercher à m'approcher de la solution simple, pas chère et probablement plus fiable, qui n'est donc pas si stupide que ça...

07 avr. 201816 juin 2020

ceci dit, on voit pas mal de bateaux de série qui ont un renflement du bas de la quille
les plus vieux, à l'époque des dufour 35 ou arpège par ex
plus recemment, presque tous les bateaux annoncés avec des pte ... mais pas que

Quasiment tous les bateaux de serie modernes ont un bulbe et c'est tant mieux ! C'etait a cause de la jauge ior qui taxait la stabilité qu'on en voyait moins avant :-)

07 avr. 2018

L'affirmation citée en début est fausse dans son raccourci.
Il faut en outre distinguer le statique du dynamique.
EN STATIQUE une coque flotte par le principe d'Archimède et sa stabilité se décompose en stabilité de forme, toujours fonction du principe d'Archimède, et stabilité de lest. Un cata n'a pas de lest et peut porter beaucoup de toile. Un monocoque de course très large est resté en l'air pendant un an à tourner autour du pôle sud, quille très longue et fort lest en bout pour porter beaucoup de toile. Les voiliers couloirs conçus en stabilité de lest unique ont été des échecs.
Le plus souvent pour un monocoque on a donc un mixte adéquat de stabilité de forme ET de lest.
L'équilibre général d'un voilier sous voile au près est identique
à une balance traditionnelle. La force vélique a une composante qui l'incline de côté. Cette force doit être compensé par une force inverse, somme de celle de forme et celle de lest. La force de forme joue sur la largeur. La force de lest joue sur le moment= poids x longueur du bras de levier. A force égale on peut donc avoir quille peu profonde, gros lest ou quille profonde et petit lest.
Le lest est TRES PENALISANT puisque, toujours principe d'Archimède, on déplace beaucoup d'eau, donc on freine le bateau et on consomme de l'énergie vélique.
Par exemple pour un coque identique de 10m à la flottaison, de même enfoncement, un DI dont tout le lest est dans la coque va déplacer plus d'une tonne de lest en plus (donc 1m3 d'eau en plus) et donc une charge utile de 1T en moins par rapport au quillard avec le lest de 2T à 1,50m.

Le cata serait donc idéale s'il n'avait pas l'énorme défaut d'être aussi stable à l'envers qu'à l'endroit une fois retourné.
EN DYNAMIQUE, pour qu'un voilier avance au près il faut que les composantes véliques soient équilibrées par les forces inverses de l'ensemble coque/quille, au sens cette fois antidérive, sinon il n'y aurait pas de propulsion.
La coque isolée a déjà une fonction anti dérive mais son rendement est mauvais. Donc on cherche à l'améliorer en appliquant en hydrodynamiques les mêmes recettes qu'en aérodynamique, puisque dans les deux cas ce sont des fluides (de densité et de viscosité différentes (pour l'air on considère qu'il est incompressible aux vitesses utilisées))
Un plan porteur, voile ou (anti)dérive est d'autant plus efficace ou porte mieux que sa FINESSE est élevée, la finesse étant le rapport longueur sur largeur du plan.
Exemple: un avion commun une finesse de 10: lâché à 1km de hauteur il va plané 10km. Un planeur de finesse 50 ira lui à 50km.

Une voile a un rendement d'autant meilleur, au près, qu'elle est haute et étroite. Mais alors le centre vélique est encore plus remonté, ce qu'il faut compenser aussi.
Une (anti)dérive va donc être d'autant plus efficace qu'elle va être profonde et étroite. Cela est idéal mais pose déjà de sérieux problèmes de structure. Si on veut en plus lui faire porter un bout un lest conséquent pour porter encore plus de toile cela peut aboutir à des problèmes énormes jusqu'à la rupture ou l'impossibilité.
Naturellement le tirant d'eau résultant va interdire à ce bateau le rase cailloux.
Le cata est ici mieux encore situé car il n'a pas besoin de dérive avec lest.

En résumé:
Toutes ces considérations reposent sur des principes vraiment très simples, d'équilibre de forces.
On ne peut jamais avoir le beurre et l'argent du beurre.
Un bateau donné est fait pour un programme donné.
Il faut donc d'abord définir le programme (rase cailloux intensif ou course ou etc...) avant d'acheter un bateau.

06 août 2018

rien a rajouter :tout en navale est question de l'usage que l'on souhaite faire du bateau ...amenagement,vitesse,confort,lieu de navigation etc etc ..

et la grosse erreur que font les "novices" c'est de ne pas bien lister ce qu'ils veulent faire du bateau avant l'achat

07 avr. 2018

En effet

Je trouve que la conclusion de Outremer est bonne

D'abord savoir où on va et ensuite voir ce qu'on peut se payer pour y aller au mieux

06 août 2018

Tu as mal compris ou on t'a mal expliqué (ou les deux) mais la formulation est incorrecte et incomplète.
Ça ne sert à rien de chercher à résoudre un problème mal posé.
Si l'architecture navale t'intéresse, cherche des bouquins ou des revues sur le sujet (Gutelle, Loisirs Nautiques), lis tout ce que tu trouves sur le sujet, essaye de comprendre les raisons des évolutions des bateaux de course Open.

06 août 2018

Je ne suis pas spécialement "intéressé par l'architecture navale", mais comme l'explique "outremer", un bateau (et donc sa quille) sont dessinés pour un programme.
Il est bon de savoir quand on regarde un bateau et la forme et la taille de ses différents éléments, quelles seront les conséquences (en navigation) de tel ou tel choix technique , sans forcément être un architecte naval.
Et ainsi, plaisancier moyen, acheter un bateau en connaissance de cause, et non seulement parce qu'il est joli et pas cher (mes deux critères de choix jusqu'à présent... :mdr:)

06 août 2018

c est parce qu il connait bien la reponse
et qu il a les fils qui se touchent
que notre petit jedi innonde le forum
de ses questions à la con
qui polluent le forum

06 août 2018

À fond de cale...
Fallait pas l'inviter !!!!
M'enfin!

06 août 2018

Vous posez beaucoup de question, preuve que vous êtes curieux intellectuellement et on ne peut que vous féliciter de vouloir approfondir vos connaissances. Mais sur un forum comme celui-ci vous n’aurez que des réponses partielles. Je ne saurais trop vous inviter à lire et à relire deux ouvrages un peu anciens mais absolument remarquables
- Architecture du voilier de Pierre Gutelle (le tome 1 suffit)
- Structure et conception du voilier de Jean Pierre Aubry.
Vous trouverez l’essentiel de vos réponses dedans. On les trouves sur lbc ou amazon sans difficultés

06 août 2018

Merci Csb...Cela dit, pour filer une métaphore...il y a aussi tout plein de livres sur la mécanique, mais moi, tout ce que je veux savoir c'est la différence entre un moteur 4 temps et un moteur 2 temps... ;-)
les réponses "partielles" me suffisent.
j'ai une très bonne bibliothèque sur la voile (grâce à un héonuate) mais on ne peut pas tout lire en même temps... ;-)

06 août 201806 août 2018

skywalk on t'excuse pour le pas avoir suivi d'études en architecture navale. C'est d'ailleurs le cas de ceux qui te répondent ici, que l'on pardonne aussi.

Va donc naviguer et achète toi un bouquin sur d'architecture navale des voiliers de plaisance, ça occupera tes pérégrinations intellectuelles.

06 août 2018

bah...t'as pas lu ma réponse à csb??

06 août 2018

ton discours sur la médiocrité?

06 août 2018

si vous voulez, Votre Altesse.

06 août 2018

Si les réponses aux questions que tu poses ne t'intéressent pas spécialement, je ne vois pas l'intérêt de continuer à te répondre.

06 août 2018

je crois que tu n'as pas compris ma réponse.

06 août 2018

c'est toi qui lit ce qu'il a envie de lire dans mes questions et réponses et qui est trop feignant pour faire l'effort de comprendre le fond de mes questions et pas seulement leur forme...mais bon, t'es pas le seul...si t'as rien d'autre à faire, et que ça peut te distraire de ton ennui...pourquoi pas...
Au fait, en parlant de faire marcher sa tête , si un jour t'as quelque chose de pertinent à ajouter, n'hésite pas.

06 août 2018

ça en fait des choses.... :lavache: j'aurais jamais cru...

06 août 2018

tu veux sûrement dire qu'il a trop bien compris .... Tu t'en cognes des réponses: tu lis ce que tu as envie de lire, fait fi des réponses qui ne t'arrangent pas et ne fais aucun effort pour comprendre: tu voudrais axiomatiser l'architecture navale car tu es trop feignant pour faire marcher ta tête. Voilà tout... :-)

06 août 2018

à l'époque j'étais supporter de la juventus....

[youtube]

06 août 2018

J'ai très bien compris ta réponse. Tu ne veux pas faire d'effort pour comprendre et apprendre, juste retenir les réponses qui vont dans le sens de la compréhension erronée car très partielle que tu as des différentes problématiques que tu soulèves. C'est aussi une forme de mépris pour ceux qui prennent le temps de te répondre.

06 août 2018

Bonjour,
"privilégier poids de la quille ou longueur de la dérive? "
ça c'est comme fromage ou dessert.
Une quille et une dérive n'ont rien à voir et ne remplissent pas la même fonction.
C'est dans le B.A.-BA de la voile.
Jac

06 août 2018

ah bon ?

une quille fait aussi fonction de derive l'inverse n'est pas forcement vrai

06 août 2018

pas uniquement le voile de quille mais toute la caréne l'anti derive c'est tout ce qui est dans l'eau

06 août 2018

Oui mais ce qui fait office de plan anti dérive c'est le voile de quille.
Il est soit porteur d'un bulbe assurant la fonction de lest, soit il intègre le lest.
Jac
Jac

06 août 2018

Jac, les réponses ont été donnés en début de fil, je cite : "la confusion vient du fait que la quille remplit deux fonctions, le plan antidérive et le lest"

mais aussi: " La force de lest joue sur le moment= poids x longueur du bras de levier." ( cette observation allant dans le sens de ma question)

06 août 2018

Lorsque nous avions demandé à Joubert de nous dessiner Oaristys, nous voulions :
pas beaucoup de tirant d'eau nous avons donc choisi ce que certains appellent un dériveur intégral, mais en même temps nous avions une dérive "lourde" donc d'autres appelleraient ce choix quille relevable, mais comme une autre partie du lest était dans les fonds...je laisse chacun choisir sont appellation (cela évitera les guerres de définition),
La quille/dérive était profilée "au mieux" il parait que cela s'appelle profil "Naca".
Le bateau était assez large 5,25 m pour 17,5m au pont (pour l'époque dessiné en 1990).
Cette dérive/quille nous donnait un tirant d'eau d'environ 3,5m et son centre de gravité etait environ à 2,6 m
A l'époque nous avions opté pour une construction acier avec une construction alu nous aurions pu mettre une partie du gain en poids de la coque sous forme de lest à fond de coque et avoir une dérive plus dérive que quille afin de moins perdre en stabilité quille relevée.
mais dans l'exemple d'origine tu avait à la fois quille et dérive avec formes et profondeur du lest. En fait au lieu de t'éclairer je rajoute un "problème" :-) puisque tes deux choix n'en deviennent qu'un seul !?
Bon après tu pourra lancer un fil avec : Quelle proportion de lest doit on mettre dans la quille/dérive et dans les fonds, quels matériaux pour le lest acier,plomb, uranium, tungstène :-)

06 août 2018

En fait, on cherche à faire deux choses
contrebalancer la dérive
contrebalancer la gite

Plus on augmentera la surface et la profondeur de la dérive, plus on contrebalancera la dérive
Plus on augmentera la masse et la profondeur du lest, plus on contrebalancera la gite

donc le mieux, pour la croisière, semble être de s'orienter vers la quille la plus lourde et profonde possible, la limite étant ce que l'on souhaite comme tirant d'eau.

L'idéal serait d'avoir une quille lourde relevable, mais une quille de quelques centaines de kilos à relever....j'ose pas imaginer les contraintes derrière...un coup à perdre sa quille si les boulons sont pas assez gros...

06 août 2018

Notre dérive pesait ...3t :-)

06 août 2018

A l'extrême, je verrais plutôt les grosses, longues et lourdes quilles en résine faisant partie de la coque, avec du plomb au bout. Pas de joint ni de trous dans la coque, ne rouillent pas, très très solide, on peut même s'échouer ou racler. Raide à la toile, bonne tenue de cap dans la houle et au près. Mais mais très grosse trainée ..... pas bon pour la vitesse.

06 août 2018

C'etait exactement les bateaux à quille longue (et non profondes) des bateaux en bois et à retour de galbord d'autrefois. On en trouve encore si on veut

06 août 2018

"Si j'ai bien compris ce qu'on m'a expliqué sur le fonctionnement d'un monocoque: "la force du vent sur les voiles est compensée soit par le poids de la quille (effet de contrepoids), soit par la profondeur de la dérive (effet de levier).""

Nan. C'est faux.

Le couple de chavirage entre centre de voilure et centre de dérive est équilibré par le couple de redressement entre le centre de gravité du bateau et le centre de carène.

06 août 2018

et quelle est la manière la plus simple d'augmenter le couple de redressement entre le centre de gravité du bateau et le centre de carène?

....en descendant la masse de la quille au plus bas...(ou je me trompe?)

06 août 201806 août 2018

En élargissant le bateau, quitte à lui mettre un bouchain. Ça pose beaucoup moins de problèmes structurels que descendre le centre de gravité d'une quille.

Et en plus, on gagne en volume intérieur.

Pas du tout et au contraire. :non:

La largeur de la coque, sa forme, sont le troisième facteur de stabilité (ou d'instabilité) dont l'importance est du même ordre que la profondeur et la masse du lest.

Réduire la stabiluté à : "la force du vent sur les voiles est compensée soit par le poids de la quille (effet de contrepoids), soit par la profondeur de la dérive (effet de levier)." sans p^rendre en compte la forme de la carène (et sa largeur) c'est s'interdire de comprendre, par exemple, pourquoi un cata est stable sans lest ou pourquoi un monocoque étroit augmentera le volume d'eau à déplacer lorsqu'il gîte. :litjournal:

Bien sûr mais cette composante verticale est directement liée à l'angle de gîte et, par conséquent, à tous les facteurs (dont la forme de carène) qui influent sur la gîte.

Pour une masse de lest identique, une profondeur du centre de gravité identique, une surface de voilure identique et un vent identique, la gîte sera moindre sur un bateau large que sur un bateau étroit et, par conséquent, l'augmentation du volume d'eau à déplacer sera; elle aussi, moindre.

FrédéricL, José, mon objectif n'est pas de rentrer dans le détail : vous avez évidement raison l'un et l'autre mais de répondre au "candide" skywalk en lui indiquant que sa question est bancale.

06 août 2018

et quand l'on gagne quelque part on perd ailleurs !! c'est compliqué les bateaux :reflechi:

06 août 2018

ha ha...bien joué...mais on sort du cadre de la question, là... ;-)

06 août 2018

En mode archimédien (vs bateaux planants ou volants), l'augmentation du volume d'eau à déplacer est liée à la composante verticale de la poussée des voiles et affecte tous les bateaux, pas seulement les monocoques étroits.

06 août 2018

Pas forcément. A largeur égale ou inférieure (jusqu'à un certain point), un bateau avec des sections de coque en U avec fond plat et des bouchains vifs (genre Vaurien) sera plus stable qu'un bateau avec des sections de coque semi circulaires.
Par ailleurs, masse de lest, profondeur de CG et surface de voilure identiques ne garantissent pas une égalité des moments de gite et de redressement.

06 août 201806 août 2018

hum il ne faut confondre "bateau large " avec surface de flottaison qui elle determine l'inertie de cette surface et donc le centre metacentrique qui determine le module de stab du bateau ..

ce n'est pas seulement la largeur en tant que tel qui compte mais la grandeur de la surface de flottaison ,On peut avoir un bateau large à l'arriere et étroit devant et avoir une surface de flottaison moindre qu'un autre bateau plus pincer à l'arriere mais avec une ligne de flottaison plus remplie et il aura donc une stab plus grande

KM=I/v/ V

06 août 2018

attends...j'ai pas encore posé la question "rapport maitre beau-longueur comment choisir?"
laisse moi le temps... :litjournal:

06 août 201816 juin 2020

Skywalk,
Voila ton futur voilier et en plus si tu le passe en trimaran tu sera encore plus stable.
:mdr:
Jac

06 août 2018

tu vas rire, mais ma coque a un peu cette forme (avec des cotés très "ballonants") :-D

06 août 2018

oui, un peu seulement...:)
c'est exact c'est proche du delph 32 ou du first 30

06 août 2018

tu dis "un peu".
Je pense que nous n'avons pas les mêmes lunettes.
Ta coque n'est que frégatée comme le First 30 ou le Delph 32.
Jac

06 août 2018

Il n'a que des questions de théorie générales notre Skywalker et jamais de questions d'ordre techniques pratiques !!! Quand on a un UFO 34, tout fonctionne bien ? Tu résous tes problèmes tout seul? En électricité, mécanique, gréement, et même en navigation ? Chapeau, je suis admiratif...... Enfin j'espère que tu navigues quand même un peu et que tu ne passes pas ton temps derrière l'écran pour ne poser que des questions aussi sottes que grenues sur les problèmes de grande théorie générale concernant les bateaux, à moins que ton trip en fait soit de surfer sur les sites et forums pour te faire connaître et reconnaître en profitant de la "naïveté" et de la bonne foi d'héonautes qui n'ont que rarement vu pareil énergumène !
Autre possibilité, tu ne fais pas exprès..... Mais là j'ai un gros doute ! :heu:

06 août 201806 août 2018

alors...
électricité: j'ai posé quelques questions, mais le sujet est trop vaste, et quelques réponses étaient trop techniques pour moi...donc j'ai acheté un bouquin sur les bases et je refais tout mon circuit tout seul, oui.
mécanique, on m'a orienté sur un site qui donne un excellent checklist de (self) diagnostic dépannage moteur
changé mon presse étoupe tout seul (jamais vu un presse étoupe avant), choix du presse étoupe et de la tresse grâce aux conseils donnés ici.
gréement: on m'a fait télécharger la méthode selden, on m'a donné l'adresse d'un bon fabricant de gréement en France (auquel j'ai commandé mon gréement) et que j'installe tout seul, oui.
résine: on m'a fait télécharger un excellent guide (quoique guide controversé par certains intervenants, manifestement y a jamais rien qui échappe à la critique ici), et j'ai bouché mes trous et monté mes cloisons seul, oui
passe coques : j'ai demandé et redemandé des explications ici, et j'ai changé tout mes passe coques seul, oui (mais vraiment seul,un peu délicat pour visser le bazar)
peinture de coque : j'ai suivi la méthode , conseils et les outils donnés sur un post ici...bon,me suis planté dans le dosage, je dois recommencer...pas grave ( presque seul, me suis fait aidé par quelqu'un pour passer le rouleau, moi j'étais au pinceau).
Navigation, je régate, donc ça va, suis considéré comme un bon barreur par l'équipe. Mais j'ai eu quand même quelques conseils utiles et intéressants ici.
Donc voilà pour la pratique et ce qu'ont m'ont permis mes questions sottes sur le forum, ça te suffit?

Concernant mes questions "sottes", on m'a toujours dit que "il n'y a pas de questions sottes, mais que des sots qui se posent des questions", adage souvent vérifié ici...:)
J'ai commencé la voile habitable cet hiver...pour info...bon, toi, t'as tout pu apprendre en deux mois, moi, j'ai pas cette capacité là, surtout qu'apprendre la voile en grec et en anglais, ça aide pas forcément pour une compréhension "fine". (ouaip, j'apprends la voile à l'étranger, sinon c'est trop facile...:D)

Concernant la théorie
Quand tu regardes un bateau, y a a pas trente six trucs à savoir :
pourquoi telle forme de quille?
pourquoi telle taille de mat et de bome?
pourquoi telle forme de coque?
pourquoi un DI, un DL, un QR, un quillard, ou un cata?
pourquoi telle longueur?
quels équipements?

Voilà, plus ou moins, toutes mes questions "sottes de grande théorie générale".
ces questions, toutes "théoriques" qu'elles soient ont pour but, pratique et légitime, de m'aider sur le choix de mon prochain bateau, en toute connaissance de cause cette fois.

je pense que beaucoup ici ont oublié qu'ils ont été débutants un jour, ou alors comme tous ceux qui ont commencé la voile tout petits (ou le ski, ou le surf, ou l'alpinisme, bref tout loisir technique localisé en province) ont le syndrome du ''ah, ces parigos quels guignols"

Tu peux t'attendre à d'autres questions sottes (j'ai déjà commencé un peu avec la hauteur des vagues), j'ai pas encore fait de grandes traversées...suis désolé...c'est pourtant simple, suffit de mettre un cap sur le compas et après c'est tout droit... :mdr: mais suis trop con pour comprendre ça...

06 août 2018

je l'admets....mais comment poser une question sur l'eau si l'on ne connait que le cidre et le chouchen? (je ne vise personne)
Rien n'empêche un participant éclairé de nous informer sur l'existence d'un breuvage insipide, inodore et sans saveur (faut pas se demander pourquoi personne n'en parle) , voire de faire une digression sur la bière et les boissons énergétiques, comme troisième voie...
...franchement, Nemo, comme si on se génait, ici, pour élargir ou faire évoluer le débat (pas toujours dans la bonne direction)..

Cher candide :
Tes interrogations, certes fondées, ont en commun une formulation restrictive qui du fait même de cette restriction induisent des réponses fondées sur la critique de la question plutôt que sur ton information en réponse à ton interrogation.

Un exemple pour illustrer :
Ton questionnement : je voudrais savoir ce qui désaltère le mieux.
Ta question, pour se désaltérer on peut boire de la bière ou de la citronnade, lequel désaltère le mieux?

Comment dans ces conditions te répondre que c'est de l'eau puisque, d'emblée, tu as exclu la bonne réponse du champs des possibles?

Pour en revenir à ta question du jour, je pense que tu aurais eu des réponses de bien meilleure qualité si tu l'avis formulée de manière ouverte :

Comment obtient-on la stabilité d'un navire?
Comment se fait-il qu'il existe plusieurs solutions techniques?
Quels sont leurs avantages respectifs?

J'dis ça, j'dis rien...

Et bien si. Il y a bien quelque chose ou quelqu'un qui empêche de t'informer sur l'existence d'un breuvage alternatif.

Toi :

www.hisse-et-oh.com[...]-derive

06 août 201806 août 2018

"mettre le cap tout droit .. tout droit..." Pas en Med en tout cas. Le vent n'est jamais stable plus de 3/4 heures, Et encore, quand il y en a , et pas de trop .. ;-)

06 août 2018

Je ne m'étendrai pas, ça part dans tous les sens ! Quand même toutefois il ressort de ta prose que la finalité de toutes tes interrogations (c'est toi qui le dit), doit aider au choix de ton futur bateau, démarche légitime s'il en est ! Mais un "futur bateau", ça se choisit aussi et surtout avec la somme de tes expériences de navigateur, les tiennes ! Ici tu auras quelques éléments d'approche "théoriques" et subjectifs, car ce qui convient à l'un ou à l'autre ne te conviendra pas forcément ! Exemple un voilier sera plus raide à la toile si il a plus de lest, une quille plus profonde, une plus grande largeur induisant une plus grande stabilité initiale, etc.... Tout ça gage à priori de plus grande sécurité ! Mais ce voilier n'aura t-il pas des mouvements trop vif avec un rappel violent et inconfortable ? Toi seul pourra dire à l'usage si ça te convient, à condition de naviguer, encore et encore..... Et ce n'est qu'un exemple valable pour tous les autres. Toutes les variables sont en fait extrêmement liées et indépendantes, jouer sur un paramètre aura une influence sur le comportement global du bateau et seuls tes multiples essais et expérimentations valideront ton, tes choix, car il est peu probable que tu n'aies qu'un seul bateau dans une carrière de marin. Et ce n'est pas s'être trompé que d'avoir possédé plusieurs esquifs dans sa carrière de plaisancier, je dirais même au contraire car nos besoins, nos capacités, nos moyens, évoluent avec le temps, plus de confort, ou de vitesse ou moins cher etc.... Comme une maison ( ou une femme), on dit qu'il faut 3 maisons avant de réellement faire le tour de ses besoins réels et accéder enfin à son home véritable...(question femmes il me semble que 3 ne suffisent pas à appréhender l'ensemble des besoins ni la complexité du problème).... mais je m'éloigne....
En clair et en conclusion, oui à la théorie mais plutôt en complément et plutôt après la pratique même si la démarche va à l'encontre de ton "mode de fonctionnement" habituel! Les questions trouveront naturellement leur réponse après quelques "bonnes sorties" par des temps variés et si possible en étant bien accompagné ou guidé. S'il reste des questions au retour il sera alors toujours temps de les poser, mais.cette fois elles auront le goût d'embruns et d'au salée ! Bonnes navigations

06 août 2018

Si ce sujet venait à s'épuiser trop vite , une proposition pour la suite.
Privilegier poids de la dérive ou longueur de la quille. :scie: :mdr:

06 août 2018

Attention car ce sujet en appellerait un autre :
"Quille longue ou quille profonde : avantage et inconvénient"

06 août 2018

bonne question...pour l'instant, tout ce que j'en sais, c'est que si les possesseurs de bateaux à quille longue n'ont pas de propulseur d'étrave, c'est qu'ils pensent en installer un.

06 août 2018

Bonjour,
Le voilier de Skywalk est un UFO34
Se poser maintenant des questions sur les éléments de stabilité d'un voilier est curieux quand on a fait ce choix de voilier.
TE: 1,80, rapport de lest supérieur à 50%, coupe transversale frégaté donc augmentation de la largeur quand le voilier gîte.
www.inautia.fr[...]45.html

Mais ces mêmes questions ont sans doute déjà été posées avant l'achat du voilier.
Jac

06 août 2018

euh non...au fait, pour mémoire, la question initiale a été posée en avril, et depuis j'ai appris pas mal de trucs...je n'aurais sans doute pas posé la question de la même façon aujourd'hui...
Et j'ai acheté mon bateau en février, donc autant dire qu' à cette époque, la "coupe transversale frégaté"...comment dire... :mdr: (et même aujourd'hui...:lavache: :jelaferme:). Comme je l'ai déjà dit, je l'ai acheté parcequ'il était "joli et pas cher",
que les anglais qui passaient par là disaient de lui "that's a very good boat!!!", et que son deuxième proprio qui est le charpentier de la marina et un régateur invétéré le considère comme "the best boat he ever had".

Tout ce que je sais, c'est que ce bateau a terminé et gagné la fastnet 79 dans sa catégorie, et ici, avec son avant-dernier proprio, gagnait toutes les régates de l'île...c'est déjà pas mal, non?

Cela dit si voile 44 peut m'en dire plus sur ce type de bateau, ça m'intéresse...

06 août 2018

je ne peux rien pour toi.
La solution c'est de reprendre tout à zéro par l'école de voile et l'Optimist

:mdr:
Jac

06 août 2018

Et comme tu voulais toi-même gagner toutes les régates tu l'as acheté ?

06 août 2018

euh...pas vraiment...je voulais juste pas trop me faire avoir...mais à l'époque, comme je ne participais pas au forum, je ne savais pas que tous les bateaux étaient bien... :mdr:

06 août 2018

"question subsidiaire : pourquoi est ce que tout les monocoques ne sont pas équipés d'une quille terminée par une boule de lest? Solution qui me semble combiner au mieux les deux options."

Au moins 5 bonnes raisons de ne pas mettre de quille à bulbe :

1) ça augmente le prix de la quille. (réalisation en 2 parties ou monobloc avec problèmes de moulage refroidissement. Le bulbe et le voile refroidissent pas à la même vitesse d’où tensions internes et criques possibles.)

2) Ça augmente les efforts, donc ça augmente le prix de la structure porteuse. (varanguage)

3) Ça augmente la surface mouillée, d’où moins bonnes perfs par petit temps.

4) Moins bon rendement hydrodynamique. Ce n'est pas en rajoutant un réservoir en bout d'aile qu'on améliore son rendement.

5) Ça augmente le moment d'inertie longitudinal du bateau, d’où moins bon passage dans les vagues

Et même :
6) Facultatif : C'est pénalisé par les règles de jauge..

Sinon, il y a un demi siècle, Pen Duick III avait déjà une quille à bulbe.
Mais peut être que les points 1 et 2 étaient pas trop un problème. Et que les points 3, 4 et 5 ont été grandement atténués par les tests réalisés en bassin de carène.

06 août 2018

En résumé donc, les architectes sont des crétins. Ben non. Je conteste vos points 2, 3, 5, et probablement 4 aussi. Pas envie de développer à l’instant.

06 août 2018

Ben oui, FrançoisXX a raison.
Jac

06 août 2018

Bin oui : plus on veut un couple de redressement élevé plus ça coûte cher à tous les niveaux.

06 août 2018

Tu ne sais pas à qui tu t'adresses :heu: :mdr: :jelaferme:

06 août 2018

Moi le point 2 :mdr: :oups:

06 août 2018

Pas très honnête comme argumentation, la comparaison ne se fait jamais dans ces termes.

A tirant d'eau égal, si on garde la même masse de lest, le bateau avec un bulbe sera plus raide à la toile et plus puissant. Il serait étonnant que l'architecte n'augmente pas la surface de voilure.

Si on garde le même moment de redressement, le bateau avec un bulbe aura un lest plus léger et donc un déplacement plus léger.

Dans les deux cas, le bateau avec un bulbe a plus de potentiel de vitesse.

1) OK.
2) Vrai seulement avec un bateau avec la même masse de lest. Normal d'avoir plus d'efforts sur un bateau plus puissant.
3) Vrai seulement avec un bateau avec la même masse de lest, mais comme le bateau est aussi plus toilé, il est plus performant dans le petit temps.
4) Ça fait plaque d'extrémité et augmente l'allongement, le voile de quille est plus efficace en plan antidérive.
5) Vrai seulement avec un bateau avec la même masse de lest, mais comme le bateau est plus puissant, il passe mieux les vagues.
6) C'est un effet de bord de certaines jauges (ex IOR) qui a produit des bateaux typés. Pourquoi quasiment tous les bateaux open ou les séries monotypes ont des quilles à bulbe ?

06 août 201806 août 2018

et bien vu les 5 bonnes raisons je postule pour le deriveur ainsi on est tranquille plus de quille :pouce:

06 août 2018

Je ne comprends pas qu'ayant un bateau on pose des questions n'ayant aucun trait à son bateau. Sauf à vouloir le modifier profondément, mais là, c'est une autre histoire et je ne te sens pas taillé pour le faire. Appréciation personnelle bien sûr, vue de loin avec les jumelles à l'envers dans le brouillard de ta personnalité.
Normalement, on pose des questions concernant les soucis rencontrés sur son bateau ou en vue de l'améliorer, on l'améliore ou le modifie et on navigue.

Là, si je comprends bien, tu as un bateau (le meilleur, très typé régate), tu as pu réparer ou refaire/modifier ton bateau avec les conseils (éclairés mais trop techniques pour toi ou toujours sujets à controverse - ce que tu manies allègrement - mais n'en permet pas l'usage aux autres intervenants) du forum.
Pour les passe-coques, ce fût un moment mémorable qui sert maintenant de cas d'école de ce qu'il ne faut pas faire, à savoir percer et réfléchir après (en gros), en peinture, bon, c'est à revoir et tu "régates", normal puisque tu as un bateau qui a gagné le Fastnet en 79 et tu n'as pas le temps pour lire les bouquins proposés alors, comme le soulignait Audiard, tu utilises le temps des autres et les dénigres ou critiques en pinaillant et rebondissant à souhait sur un mot ou un terme.

Le pire, c'est que tu écris noir sur blanc "les réponses "partielles" me suffisent" pour l’aspect mécanique, car tu n'as pas encore abordé les autres aspects, somme toute négligeables comme le frégatage d'une coque.
Tes questions sont intéressantes mais ne feront rien pour mieux faire avancer ton bateau et je trouve qu'elles sont posées avec une vision très étroite des choses qui te bride l'esprit.
Approfondis ton bateau et la connaissance de celui-ci, essaies d'avoir un peu plus d'ouverture d'esprit sans contester systématiquement, ça permettra peut-être d'avancer et de ne pas avoir des fils qui tournent en rond après 10 réponses.

06 août 2018

Tu as raison.
Si j'avais un UFO 34 il est certain que je passerais plus de temps sur l'eau que devant le clavier.
Il y avait les marins d'eau douce et je crois que skywalk viens d'inventer les marins du Net.
jac

09 août 2018

bah oui, Jac, tout le monde n'a pas la science infuse.
Et tout le monde n'a pas ton "idéal" sur la meilleure façon de vivre.
Mais c'est intéressant de savoir ce que tu ferais "si"... moi, je mettrais Paris en bouteille.

06 août 2018

Moi j'hallucine completement qu'on achete un 34 pieds quand on débute et qu'on ne connait rien a la voile.... J'espere me tromper mais pour moi Skywalk est un troll...

06 août 2018

On n'apprends pas la moto sur une 1200cc, on n'apprend pas à conduire avec une bugatti veron...
Apprendre à maneuvrer dans un port avec un 34 pieds, comment dire...

On commence plutot avec un 24, 25 pieds... quand on navigue
Mais pour boire l'apero au port enfin plutot dans "la marina' il est ecident qu avec
Le plus gros bateau possible ca en jette un maximum
Bref...
Bisous

06 août 2018

Et pourquoi pas un 34 pieds ?

07 août 2018

La comparaison avec la moto et l'automobile ne me semble pas pertinente.
C'est juste ton ressenti sur un bateau et sa taille, je crois. Le premier bateau que j'ai vraiment eu à moi était justement un 34 pieds, et je n'y connaissais vraiment pas grand chose. J'ai eu la chance d'avoir des amis pour m'aider et m'apprendre au départ, mais quelle qu'eut été la taille du bateau ç'eut été pareil. C'est sûr que quand on n'a qu'internet ... J'ai mis presque trois ans à me lancer en solo, la première fois pour aller en Corse.
Enfin bref là n'est pas le sujet, mais ce n'est pas un critère pour qualifier notre ami de troll. J'espère pour lui qu'il lâchera son clavier et qu'il trouvera quelqu'un pour l'accompagner autrement qu'en virtuel.

09 août 2018

Curieux....j'ai appris à "manoeuvrer" avec l'ASA... et ils n'avaient pas de bateaux plus petit que 42 pieds... je leur ferai part de ton message.

06 août 2018

Oui, je suis d'accord. C'est une très bonne analyse. J'aurais du y penser plus tôt.

06 août 2018

Mais il me semble qu'une disposition technique n'a pas encore été abordée:
Séparation de la fonction contre gite et de la fonction anti dérive.
Pour la contre gite: une quille basculable au vent.
Pour l'anti dérive, une dérive fine et profonde.

Ah bon cela existe déjà? (sur les IMOCA, hors foils)

06 août 2018

En vertu des pouvoirs que je me suis conféré à moi-même, je déclare élu à l'unanimité le sieur Skywalk, troll de l'année avec mention!
Et pour paraphraser la réplique adressée à la Reine Victoria par le Maître de cérémonie, le 22 août 1951 lors de la victoire de la goélette America devant les voiliers Anglais à la première édition de la coupe éponyme, " Il n'y a pas de second majesté ! "

07 août 2018

1851 !

La régate était dénomée " Coupe de Cent Souverains", organisée par le Royal Yacht Squadron et ouverte au yachts étrangers à l'occasion de l'Exposition Universelle de Londres
Gagné par la goélette America, la course ne prit ce nom qu' une fois arrivée outre-Atlantique et organisée pour la première fois après la guerre de sécession (1870).

07 août 2018

Oui oups, 1851 bien sûr !

09 août 2018

Mais c'est drôle, ça...

09 août 2018

Mais la victoiré d'America est entachée d'un doute.
America n'aurait pas viré les balises à l'est de l'île.
En effet les instructions de courses n'étaient pas cl'aires:
Le tour de l'île comprend-il, ou pas, les marques de danger?
Donc, America pouvait-elle passer entre les cailloux et la côte?

09 août 2018

La question posée, cette fois, est particulièrement perverse !!

09 août 2018

Je crains que l'heure limite de réclamation soit dépassée.

Phare Saint-Louis, situé sur le musoir du môle Saint-Louis à Sète

Phare du monde

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2022