Tempête en med

Eté 2003 départ les Baléare IBIZA , départ de nuit force 9 établi vent ¾ arrière.
Vacance agréable pend nt 3 semaines

Départ arrive ,prévision météo AVIS DE TEMPETE EN MED, base de retourd, FORNEL MINORQUE.

1er jour pas de vent ,partons a 40 milles au large pécher le petit thon , retour à FORNEL vers 20heure .

2 eme jour idem pas de vent, soleil

3eme jour tel à l’employeur pour prévenir du retard ( grogne de celui-ci)toujours avis de tempête, repartons pécher plus loin 50 milles ,toujours pas de vent, consultation de l’équipage pour rentré, un oui un non, je tranche on rentre et rajoute font chier la météo pas fiable, donc en route.
Tranquillos 5 nœuds la vie est belle ,mer plate, pas de voile établies(pas de vent).Environ 22heures petite risée voile dehors , vive le vent, mais le vent monte ,monte ,monte j’ai compris, 15, 20, 30, 35, 40, 45, 50, 55, rafale 60 nœud sommes en tempête, mauvaise manœuvre, grande voile sur enrouleur explosé impossible de la rentré déchirée en plusieurs endroits bruit intenable. équipement complet, gilet de sauvetage, la nuit arrive des vagues monstrueuses j’ai vue par force 9 en haute mer, mais la monstrueuse, le cœur bat vite ,suis pas un pro, les vagues passent par-dessus le pont, une rivière, deuxième harnais, ces cochonnes me tire vers l’arrière pour me faire culbuter, la nuit est très noire, le bateau passe les vagues retombe dans un fraca épouvantable, la peur s’estompe,
Le loch passe de 6 nœuds à zéro mais on avance.je sollicite mon équipier pour qu’il prépare dans deux contenairs étanche ce que je lui dicte, sais jamais faut prévoir l’abandon du navire, je navigue tous droit sans chercher à venir prés des côtes d’ailleurs le cap pas d’importance à se stade , attendre le levé du jour, rester sur l’eau, je me rassure le bateau est solide, je crois savoir navigué par gros temps, alors pas de blême, mais voila après vient le doute, comme l’envie de pisser, aller comme les enfants dans le pantalon ,pas question de laisser la barre à des novices, et puis le temps passe finalement vite, le jour commence à venir, la jauge elle à descendre , vraiment basse , merde je vais pas manquer de carburant, la mer est moins creuse, plus de déferlante, un coup de pilote je regarde les équipiers dans le carré, la tête de mon cops les yeux en orbite, il me regarde ,je le rassure, je reprend le barre, sur bâbord me semble la terre, oui et je hurle, terre, terre, tous le monde sur le pont, la joie de la voir cette terre,
Encore force 6/7 le bateau passe mieux les vagues, je laisse la barre, au cops direction chiot, pas le temps, des bruits sourds, j’analyse, mon sang se glace,
Je sort plus d’ancre, je hurle des ordres moteur au ralenti je vais à l’étrave, catastrophe elle laboure l’étrave je la remonte, quel massacre, le temps diminue
Le cap en vue, soudain sa gueule ! On coule, on coule, les ordres fusent, la pompe de cale en fonctionnement, la cale se vide, mais l’eau remonte vite fait ,la pompe de cale suffit plus, bidouillage avec la pompe d’eau douce, doucement le niveau descend, un qui surveille, et nous mettons le zodiac à l’eau inspecter l’étrave, sous la ligne de flottaison une balafre de 15 cm de long et 3 cm de large, voila la voie d’eau, préparation de sacs plastiques, et rubson , dangereux de mettre les sacs avec les doigts, je vide la cartouche de rubson en deux fois dans le creux de la main, et quant la balafre sort de l’eau, je rentre le joint,
Excellent, juste un petit suintement. J’appelle la capitainerie de port Camargue pour prévoir un lift de toute urgence quand je rentre, mais voila la jauge indique 0, je sais qu’il reste normalement une dizaine de litres, l‘ai étalonné il y a bien longtemps, réduire la vitesse pour économiser, et enfin arrivé, le bateau est levé,
Que de dégâts.

Résultat une voile déchirée, un étrave percée, une fixation arrière du moteur cassé,
Mon cops lui m’a dit je ferais plus de bateau
J’ai dit à ma femme finit je traverse plus

Et bien l’année suivante tous l’équipage aux Baléares, A la passion

Euuuuuuuuuu maintenant je fait gaffe à la météo

Des fautes mais suit pas fort en français

L'équipage
28 mai 2010
28 mai 2010

à le bateau
FAST 38

MOTEUR PERKINS

28 mai 2010

Sept ans après...
Des moments qui s'impriment à jamais.

Ce qui est étonnant c'est que la petite flamme reste allumée quand même.

J'ai un très très mauvais souvenir d'un retour de Cowes sur Cherbourg en mars 2002 sur un 45'.
On a eu chaud aux fesses.

Et pourtant, en ce qui me concerne, (car je ne faisais pas l'unanimité !) arrivé au ponton, l'envie quasi immédiate de repartir.
Mais il est vrai que nous n'avions pas ce triste bilan matériel à l'arrivée.

28 mai 2010

respect
bonsoir, humilité devant les éléments qui cette fois t'ont laissé passer.

28 mai 2010

Gros temps en Méditerranée en août 1991
Un autre souvenir (tiré des aventures des Koala) de gros temps au retour des Baléares. Étape Minorque-Cadaques

Mercredi 7 août, 7 heures 30, le soleil brille et il n'y a pas de vent. Je réveille mon équipage et nous déjeunons. Puis je plie et range l'annexe dans un coffre. KOALA est paré pour le départ. La météo confirme les prévisions de la veille, à savoir vent du Sud 10/20 nœuds. Chic ! Nous allons pouvoir spier ; le sac est sorti de son coffre et amarré au pied du mât et nous appareillons, en même temps qu'un gros voilier.
Au moteur, barré par son pilote automatique, KOALA prend la direction du cap Creus. Il n'y a toujours pas un souffle, mais la mer n'est pas plate. Déjà un peu de houle du Sud nous promet le réveil prochain d'Eole. Vers 10 heures, quelques bouffées venant de l'ESE se font sentir ; il n'y a que 6/8 nœuds, mais sans plus attendre nous envoyons le spi.
La vitesse n'est pas fantastique, 4/5 nœuds, mais cela va certainement s'améliorer. Qui plus est, le voilier sorti en même temps que nous, est toujours au moteur et ne va pas beaucoup plus vite. Comme espéré, vers midi, la brise passe sur l'arrière en fraîchissant un peu. KOALA accélère et avance maintenant régulièrement à 6/7 nœuds, cap au 350°, impeccablement barré par "Georges". Ce nouvel "Autohelm 1000" est sensiblement plus performant que l'AT 50.
Cependant, notre progression se poursuit et à 16 heures, Anne peut noter avec fierté sur le livre de bord " 6 heures de spi, record battu ! ". Le record va même s'élever encore, car la brise se maintenant, KOALA poursuit sa route, tiré par ses 95 m² de nylon. Nous allons ainsi garder le spi, jusqu'à 21 heures passées. Malgré la valeur de mon équipage, je ne tiens pas à le conserver la nuit, d'autant que la mer est assez houleuse. Nous avons quand même couvert 80 milles, dont plus de 70 sous spi... nouveau record ! Nous l'affalons donc et continuons, toujours vent arrière les voiles en ciseau à 5,5 nœuds.
La VHF annonce maintenant un coup de vent du Nord-Ouest pour demain matin. Le speaker insiste sur le vent, qui atteindra la force 10 au cap Creus ; justement là où nous allons ! Malgré tout, nous avons intérêt à continuer ; il ne nous reste qu'une soixantaine de milles à faire, soit environ 10 heures de mer. Si le mauvais temps a un peu de retard, nous pouvons être à Cadaques avant. En revanche si cela devient trop dur, nous pourrons toujours abattre, pour aller nous abriter à Palamos, qui se trouvera alors sous le vent.
Après le dîner, les quarts de nuit sont établis par Anne, avec la même minutie qu'à l'aller. Je suis théoriquement hors quarts, mais je sais très bien que pour la période commençant à 2 heures du matin, les veilleurs Xavier et Benoît, seront durs à sortir de leurs plumes. Les tours d'Anne et de Dominique se succèdent sans ennuis. Puis à deux heures du matin, je prends la place des deux compères, qui dorment comme des bienheureux. La mer est alors assez agitée et le vent très variable en force et en direction.
Nous avons couvert plus de 100 milles et dans le Nord, de nombreux et lointains éclairs commencent à illuminer les nuages. Le coup de vent se rapproche ! Cependant, pour essayer de profiter des dernières attentions d'un Eole compatissant, je fais de nombreuses manœuvres de voiles ; "Allez, du courage matelot". Affaler et envoyer la grand voile, rouler et dérouler le génois, lancer et stopper le moteur, c'est fastidieux mais ça occupe !
A 3 heures, le feu du cap San Sebastian apparaît, tandis que le vent permet de nouveau de marcher à la voile. Je renvoie, une fois de plus, grand voile et génois et stoppe le moteur. Deux heures plus tard, nous sommes à hauteur d'El Estartit. Il ne reste plus que 10 milles pour Cadaqués, allons nous éviter le coup de vent ?
Mais ça tombe de nouveau, pour me laisser une fois de plus au moteur, tout affalé. Encore une demi-heure et cette fois ça y est, la Tramontane se lève, alors que nous sommes au milieu du golfe de Rosas. Je déroule un peu le foc, histoire d'améliorer la vitesse, et commence à tirer un long bord vers Rosas, avant de virer vers Cap Creus, le bord suivant devrait me mener à Cadaqués. Il ne reste plus que 5 milles à courir !
Mais c'est déjà trop tard, en quelques minutes, le vent se déchaîne, 25, 30, puis 35 nœuds, tandis que la mer se creuse en se couvrant de moutons. J'hésite à faire demi-tour, alors que nous sommes tout près du but ; finalement, je décide de continuer. Je n'ai pas envie de renvoyer la grand voile au bas ris et me contente de rouler un peu plus le foc.
Mais bientôt c'est l'enfer ou presque ; nous sommes à quelques encablures de l'avancée de Cadaqués, à moins de 2 milles du but. L'anémomètre monte à 48/50 nœuds, le vent souffle en force sous des rideaux de pluie. Les vagues sont maintenant très creuses, KOALA cogne dedans avec un grand choc. Dominique me donne régulièrement des serviettes éponge, qui servent d'étanchéité entre le col de ma veste et mon cou et qui sont vite trempées.
J'ai passé un masque de plongé, mais ne vois pas grand chose, car embruns et pluie brouillent la glace. J'y vois quand même suffisamment pour me rendre compte que le bout de foc qui nous reste se déchire le long de la bande UV. Aidé de Xavier, sorti me donner un coup de main, je me dépêche de le rouler et c'est le moteur, qui à la charge de nous pousser jusqu'à l'escale, à moins d'un mille de là.
Ce dernier mille sera très pénible, j'ai poussé le moteur à 95 % du maximum, malgré cela nous ne marchons qu'à 1 à 2 nœuds face au vent. Les lames sont très escarpées, le bateau retombe dans les creux, avec un choc très impressionnant. Si j'abats un peu, pour prendre les vagues un peu plus de biais, l'étrave est entraînée sous le vent et revient difficilement au cap. Bien sûr, ce n'est rien par rapport à ceux qui ont subit les ouragans des mers lointaines, mais c'est quand même pas mal !
A l'intérieur, on n'en mène pas large. Xavier a déjà connu le coup de vent de l'aller, mais celui-là est de la taille au-dessus, c'est d'ailleurs une tempête d'après l'échelle de Beaufort. J'aurai même une rafale à près de 60 nœuds, qui fait gîter le bateau, pourtant à sec de toile. C'est alors que Dominique passe alors la tête par le capot, pour me dire qu'elle commence à avoir peur, "Ne faudrait-il pas mettre en fuite ?". Quant à Anne, Blandine et Benoît, je ne sais pas où ils en sont et s'ils ont déjà commencé à prier !
Je peux quand même rassurer mon épouse, le bateau ne risque rien, le moteur ne peine pas et nous ne sommes plus loin du but. Nous y entrons une demi-heure plus tard, le vent ne souffle plus qu'à 40 nœuds ce qui me semble presque un doux zéphyr et il n'y a plus de vagues. Dans la baie, près du village, une quinzaine de bateaux sont mouillés ; à nous de trouver une bonne place. J'appelle mon équipage, qui enfile pulls et cirés, pour venir à la manœuvre.
Dominique prend la barre, pendant que je vais à l'avant avec Xavier, pour préparer le mouillage. Comme les fonds sont de mauvaise tenue, il s'agit de faire crocher l'ancre du premier coup, sinon nous n'allons pas nous amuser. Je décide de nous mettre dans la partie profonde, à quelques 300 mètres du village, où il y a 12 mètres de fond. La manœuvre est faite correctement, en culant au fur et à mesure de la descente de la chaîne. Je file 70 mètres et KOALA s'arrête, tandis que la ligne se tend.
Quelques vérifications d'alignements sur les alentours me confirment que nous sommes bien accrochés. L'étape est terminée, il est 11 heures 45. Ces 6 derniers milles ont été couverts en près de 6 heures. Je peux alors aller voir comment cela va à l'intérieur. C'est plutôt le chantier ! les cirés sont en vrac sur la table, les serviettes éponge, que j'avais autour du cou, pendent aux mains courantes, en s'égouttant par terre, le livre de bord et les cartes sont en piteux état. Quant à l'équipage, il reprend lentement ses esprits. Qu'est ce que cela aurait été au cap Horn ! Dehors, il n'y a pas trop de dégâts, à part le foc décousu et l'annexe rigide qui a un peu glissé de son amarrage....

En plus de 35 ans de navigations, ça a été la plus musclée. En revanche des vents de 35 nœuds sont courants et nous en avons presque chaque années.

28 mai 2010

gros temps sous Cap Creus
Pour avoir pratiqué pendant 15 années l'école de croisiére au départ de St-Cyprien et ce toute l'année je me permet d'apporter mon point de vue sur la situation que tu as vécu.
Plusieurs naufrages ont eu lieu dans ces parages (cata retourné et bien d'autres)la prudence est recommandée en cas de coup de vent fort ou de tempete.Personnellement je me serait mis à l'abri en baie de Rosas.Il suffit d'abattre et en quelques minutes tu es tranquille au mouillage.Ce qui n'est pas le cas de Cadaqués renommé pour sa mauvaise tenue.
C'est mon point de vue ,je n'aime pas dégouter mes amis ni les faire souffrir en leur imposant une navigation trop difficile.
Par compte j'ai vécu des situations fortes en émotions sur le parcours des iles Baléares aller ou retour mais cela risque d'etre long à écrire.
Bon vent à toi

28 mai 2010

Mouillages à Rosas...
... ou à Cala Montjoy, je connais depuis et ce sont des solutions que j'envisagerais aujourd'hui si le cas se représentait.

Quant au gros temps, aller ou retour des Baléares, depuis 1978 date de ma première, je pense que nous sommes nombreux à en avoir eu, sans en arriver à la fortune de mer, comme l'Outremer 45 naufragé au cap Creus, il y a quelques années.

28 mai 2010

et bien
de te lire m'a donné la chair de poule, une navigation musclé,on ne sais jamais la finalité,cela peut se joué sur rien une panne moteur,mais quand on arrive que de souvenir,en med quand même régulièrement du vent.Mais de vivre cela nous donne un peut plus de savoir faire,malgré tout, bien sur pas sans risque,amicalement André

28 mai 2010

Il faut relativiser...
Notre petite tempête au cap Creus, qui somme toutes, a été assez clémente, près de l'arrivée et sans avarie, n'est rien comparée à ce que tu as vécu toi-même.
Bravo pour tout et à te voir au mois de juillet à PC. Qu'as-tu comme canote ?

28 mai 2010

Oui tu as bien raison...
On se demande ce que nous allons faire dans ces coins !

Mais passé le cap Béar et Argelès, il y a toujours moyen de remonter vers le nord en cas de tramontane, sous conditions de bien serrer la côte.

En revanche lorsqu'on est bloqué vers Hyères par le mistral, le retour vers l'ouest est pratiquement impossible.

28 mai 2010

Je peux comprendre un manque d'envie
de faire du près contre un force 8/9 avec rafales, voir force 10 (?)

Heureusement qu'il n'y avait pas en plus une pioche à remonter :pouce:

28 mai 2010

après le Cap Creus
la zone au large de l'embouchure de l'Aude est également un endroit où on peut se faire bien secouer.
Je pense que nous sommes nombreux à y avoir essuyé des conditions musclées en partant ou en revenant des Baléares. Pour ma part j'y ai laissé un génois...

Société Nationale de Sauvetage en Mer

STATION DE GRUISSAN :

"La Méditerranée occidentale est le siège de nombreux vents locaux de caractéristiques spéciales. Gruissan est soumis au régime des vents concernant l’extrême sud du Languedoc, régime semblable à celui du Roussillon et très différent de celui de la Méditerranée orientale française, connu pour sa clémence. Ici, le passage d’une perturbation générant un fort vent d’est – sud-est est toujours suivi d’un long coup de vent de nord – nord-ouest s’établissant très rapidement et se terminant par une journée ou deux de calme. Tout navigateur venant croiser dans ces parages sait (ou devrait savoir) qu’en toutes saisons, la position de l’anticyclone des Açores et la dépression du golfe de Gènes produisent une situation isobarique dont le gradient le plus fort (pour le vent de nord-ouest) se trouve entre Gruissan et cap Béar.
Les roses des vents tirées des instructions nautiques ainsi que les données obtenues de Météo France sont sur ce point édifiantes.
Pour mémoire, cette zone météorologique (« de Cerbère à Port Camargue » sur VHF, canal 16) a fait l’objet en 2007 de 425 Bulletins Météorologiques Spéciaux (vents au delà de force 7) !"

28 mai 2010

Je ne comprends pas
Quelle a été votre motivation pour vouloir absolument faire route au moteur à 1 nd face au vent et aux vagues?

le Gib Sea 106 est un bon voilier. Sous GV seule cela aurait surement été plus confortable et aussi rapide.

28 mai 2010

Pour répondre à la remarque de viking35
... tirer des bords sous GV seule par force 9 établi eu été aussi une solution, mais dans ce cas quelle aurait-été la VMG et le temps nécessaire, alors que nous étions à environ 1 mille sur la route directe ?

De plus il eut fallut extraire un barreur de la cabine, pour me permettre de renvoyer la GV au bas-ris, il n'y avait pas beaucoup de candidats et je n’avais pas trop envie d’aller faire l’acrobate en pied de mât !

Ceci dit, ce n'est qu'une petite péripétie au cours d'une de nos croisières ou à aucun moment nous avons été en danger et en ayant au moins une solution de repli.

Je trouve que la situation dans laquelle s'est retrouvé CAPTEN était beaucoup plus délicate.

29 mai 2010

pour reprendre le sujet
mon canot
FAST 38 de FRANQUEVILLE
construction semi amateur,seul la coque brut de démoulage j'ai fait faire.admirable bateau au niveau comportement,un peut lourd par petit temps,mais ensuite très marin.Au départ bateau conçu pour faire le tour du monde.c'est un bateau rassurant dans le mauvais temps,sauf tempête bien sur,quand au BALEARE,il est vrais que il y a toujours ou à l'allée ou le retours en principe du rifle.Il semble que ce n'est rien, pas loin ,mais en direct c'est une vrais navigation surtout en tirant sur IBIZA 50 à 55 heures de navigation

29 mai 2010

Je suis curieux de savoir
ce qui s'est passé avec l'enrouleur de GV. Pourquoi a t-il coincé en ce moment ? Était-ce déjà problématique auparavant ?

Notre émerillon d'enrouleur de génois s'est déjà bloqué et je crains le même truc avec la GV. Lenrouleur est très pratique en equipage réduite mais il faut que ça marche...

Paul

29 mai 2010

enrouleur
quand la voile déjà enroulée partiellement, dans le mat,avec les vibrations du mat dans le mauvais temps la voile se relâche et bourre dans la fente de sortie,cela ai déjà arrivé plusieurs fois mais cela est dut à une voile très usagée, les claquement de la voile pendant la tempête aurait put nous faire démâter,

30 mai 2010

Intéressant
Je vais surveiller ça chez moi aussi.

Paul

30 mai 2010

tu as quel système
d'enrouleur ?

31 mai 2010

bonjour ,juste un petit mot
pour vous signaler qu'en ce moment ,dans le secteur port-Camargue sa souffle ,donc surveillez ou faites surveiller vos amarres

31 mai 2010

Ici aussi
Depuis hier soir avec Hugo plus de 45 nds au mouillage de massinagio

31 mai 2010

La, ca cartonne pour de bon
depuis 15 heures. Je parirais pour un bon 9 au large de la Ciotat. La mer est séverement blanche.

Jacques

30 mai 2010

Mât enrouleur zSpar d'origine (2001)
Je suppose que le mécanisme est Facnor comme pour le génois, mais je ne vois aucune marque dessus, ni aucun document dans les papiers du bateau.

Je n'ai jamais eu de problème avec la GV, mais l'émerillon du génois a déjà foiré une fois: impossible d'enrouler ou dérouler le génois !

Maintenant, je prendrais une GV classique. Le bateau était une excellente occasion avec place de port et la simplicité d'emploi de la GVSE séduisait sur le moment.

Paul

31 mai 2010

Ici ausi à Marseille
ça souffle!!
Pourquoi les sites passage weather et windfinder donnent 18 à25 nds de vent?

31 mai 2010

Daniel, je te plains
Sale coin - A l'abri de la mer certes, mais rabattants d'enfer à créer des arcs en ciel dans les paquets de mer soulevés par les rafales!
Perso, si pris à temps, je tire sur Est Elbe.

31 mai 2010

il y a eu 7 HA brulés juste de l'autre coté de la route
en bas de chez moi, comme d'habitude, sur un parking soit un malade soit un fumeur inconscient (je n'utilise pas l'adjectif qui conviendrait et qui me brule la langue ..)

31 mai 2010

hi hi
Macinaggio...pas de s! mais un c... Bon ceci on s'en fiche un peu. et oui ça a soufflé fort dans le Cap et à Bastia la nuit dernière!

01 juin 2010

windfinder...
parfois, je me pose vraiment la question de savoir comment un site météo, qui a de fait une sacré responsabilité morale, peut être aussi léger: windfinder donne 19 nds de vent ce matin à Fos..

01 juin 2010

Et il y a plus ?
A la Ciotat, cela doit tourner autour de 20/25 maintenant.

Jacques

01 juin 2010

a port-Camargue
le vent est tombé vers 12 heure hier

Phare du monde

  • 4.5 (12)

2022