Vendée Globe 2020 (14)

Au rythme actuel, et en raccourcissant un peu sa route (Aglala...), demain, Sodebo sera sous le peloton de tête... Impressionnant !

Thomas au lieu de nous faire voir son visage fatigué devrait nous faire voir ce de quoi il parle. On ne voit même pas la mer dans quel état elle est.

Charlie Dalin a eu du vent cette nuit, trop pour le tourmentin !
Sur la vidéo, les voiles d'avant sont roulées mais il me semble que les écoutes sont un peu trop libres, non ?

www.courseaularge.com[...]up.html

Isabelle, Alexia et Miranda ont fait 3 vidéos sympas ! forza les filles ! et Isabelle qui est 9éme ! glop ! glop !

Ca fait un bon moment qu'Isabelle est 9 ème !!!
J'aurais bien voulu qu'elle progresse plus vite
;-)

Oui Isabelle se maintient bien, comme Jean d'ailleurs.

Et pendant ce temps, à moins de 1000 milles du leader, Sodebo fonce à 30 nœuds par 50° de latitude dans la ZEA.
La dernière vidéo postée est impressionnante.

Quelqu'un sait-il pourquoi Jean a pris plus de 100 milles dans la vue hier?
A t'il eu un problème technique?

Et voila, c'est fait pour Clarisse et Romain, Coville est virtuellement en 12ème place sur le VG !

Quoi, comment ça, on ne peut pas gagner le VG en étant à plusieurs sur un Ultim ??? Ah ben mince alors...

Impressionnant de les voir si bas, mais là, ils sont plutôt "safe" car ils sont juste à côté de la zone d'exclusion.

Je trouve assez remarquable les performances d'Amel Tripon. Il semble que son bateau soit en train de faire une demonstration des qualités de son plan Manuard.

Tout va bien ce matin et on apprend qu'ils ont créé un Whats'app privé entre coureurs !

"Tous les skippers échangent également dans un groupe WhatsApp où ils sont les seuls à avoir accès. Romain en livre quelques secrets : "c’est Boris (Hermann) qui en a été à l’initiative. C’est le plus actif et on lui en veut parfois parce qu’il parle trop (rire) ! Il y a Sam (Davies) qui envoie des photos de l’avancée des travaux, chacun qui raconte un peu ses journées… Dimanche dernier, Benjamin Dutreux a commenté le match de rugby (Angleterre-France). Les Anglais étaient à fond !" Ainsi, au milieu d’un no man’s land iodé pas toujours tendre, une proximité se noue entre ces hommes et ces femmes qui vibrent, doutent, s’accrochent, pleurent, sourient, se soutiennent... "

Et une superbe photo prise par Maxime Sorel, peut-être un message.

Charlie, digne de la confiance de François Gabart...

www.vendeeglobe.org[...]-limite

oui il m'agace Charlie (humour ) il me fait penser au blond dans les sketch de Gad Elmaleh !!! (humour encore )
tous a l'air simple bon vent a lui et bravo !!!

comme sur cette video ' c'est un peu la guerre mais ca va !!! 🤣🤣🤣 moi je serai pétrifier ! 🤣

Hola
On parle on l'admire mais il ne s'agit qu'une "petite" tempête de l'été austral...qui n'a duré qu'une nuit...
Une nuit d'enfer j'imagine...
Je serai curieux de voir un imoca à sec de toile dans du très gros mauvais temps,pas 50/60 noeuds et 5 mètres de vagues, comme je disais dans un autre post...je pense que ça partirait à la casse...
Trainards de Jordan comme au Vendée ?
Comme je suis bien au chaud derrière mon clavier !
J'ai cherché hier sans succès des images météo du grand Sud en hiver,ça peut monter à combien ?

il va finir sur le podium a cette allure ...

A bord de l'Occitane en Provence, Armel Tripon avance à vive allure dans l'océan Indien. Il revient sur son état d'esprit après un mois de course.

Je dois être le seul dans l’océan Indien avec une mer plate, ou presque. J’ai l’impression d’être dans la Manche. C’est hallucinant, c’est rêvé.

Je suis en avant d’un front encore, je vois presque du ciel bleu, le soleil n’est pas loin, la mer est plate, j’ai des conditions qui vont, à priori, me propulser une partie de l’Indien.

C’est positif car il y a un bon enchaînement des choses donc j’en profite. Je vais voir jusqu’ou je peux pousser le bateau, il y a les bonnes conditions pour, il n’y a pas de mer donc il ne travaille pas donc c’est le moment d’attaquer. Quand les conditions sont plus dures il vaut mieux lever le pieds et gérer la longueur, là c’est assez efficace. Le bateau est complètement dingue, je suis plus à chercher les freins que l’accélérateur.

Idéalement je vais essayer de rester en avant de la dépression. Ça impose d’être rapide et de garder le rythme tout le temps. C’est une navigation sympa mais engagée. Ça va durer 4- 5 jours environ.

Physiquement , je me sens super bien. Je manoeuvre de plus en plus rapidement, je suis de plus en plus à l’aise sur le bateau. Après je sens qu’il y a de la fatigue donc il faut que je sois vigilant avec ça. Chaque manoeuvre compte et consomme de l’énergie, le bateau demande de l’attention et naviguer à haute vitesse demande aussi de l’attention et de la concentration donc il fait récupérer des que possible. Cette nuit j’ai essayé de récupérer et cette nuit je vais faire du portant donc ça va être plus propice au repos. Je fais aussi attention à l’alimentation et à l’hydratation pour rester à 100%.

2 mois et demi - 3 mois de course c’était déjà une inconnue pour moi. C’est tout sauf un dîner de gala donc il faut se préparer autant qu’on prépare le bateau car on tire beaucoup sur les organismes. Il y a un gros travail qui a été fait la dessus. Aujourd’hui je vois bien que je réponds, physiquement je me sens de plus en plus en forme et mentalement je suis présent, j’ai peu de coups de moi, je reste stable. Donc c’est une bonne surprise en ce début de course, je m’endurcis !

Au dernier classement, on dirait que les héros sont fatigués... Charlie à 7nds et Thomas à 10 !

Page pas disponible ?
Il a raison quelque part...
Mais Alex a cassé donc il a eu tort...
Ce sont des bateaux de mauvais temps mais pas si adaptés ces imoca...
Le leader était bien marqué après cette nuit où ca devenait presque impossible de gérer La vitesse pour freiner.
Je sais pas s'ils peuvent affaler facilement la gv quand ça passe le cran de 50 nœuds ?
Ni si ils peuvent tout faire de l'intérieur ?

Combien de concurrents ont cassé structurellement que par la mer?
- Hugo Boss, mais réparé. L'avarie du safran ne permettra pas de savoir si la réparation était correcte.
- PRB, mais le voilier était ancien et modifié. Les mauvaises langues liront "bricolé".
- Corum a démâté; mais c'est plutôt un incident.

Les autres ont cassés sur chocs. ce qui ne peut remettre en cause le travail des architectes.
(Une voiture fonctionne très bien, jusqu'à ce qu'elle tape un mur.)

Faut-il remettre en cause le travail des architectes.
Je trouve que les nouveaux IMOCA résistent plutôt bien, hors (in)fortune de mer.

Concrètement devant ça temporise? il semblerait que oui. Peur de la casse selon l'article, en tous cas Occitanie en Provence reprend encore sur la tète de course.
C'est encore trop tôt vu l'avance des premiers, mais pour l’intérêt du VG ce serait bien qu'il se rapproche pour voir la réaction de la tète de course.

Tu as raison Viking35, ce n'est pas 40 nœuds apparents, mais 60 nœuds apparents.
L'épopée est aux pages 188 et 189 du livre, que je mets en photos jointes.

Tu as de la chance d'avoir skippé Pen Duick III

je suis déçu des vidéos qui paraissent sur le site officiel du VG.
ils imposent aux concurrents il me semble 3 vidéos de 2 minutes par semaine,
je n'ai pas l'impression que toutes ces vidéos soient diffusées.
j'ai aussi l'impression que celles qui sont diffusées sont montées, coupées, sélectionnées de la même façon que le font les producteurs de Télé réalité, même si je veux bien admettre que certaines vidéos d'image prises par les caméras fixés sur le mat ou ailleurs, ne soient pas des plus intéressantes.
Egalement déçu par les vidéos de certains concurrents, qui m'avaient séduits lors du VG 2016, je veux parler de Sebastien Destremeau qui joue je ne sais quel personnage de tragédie, au lieu de nous faire un genre de Michel Chevallet comme lors du VG 2016
Fabrice Amadéo qui récite et a l'air triste.
et Jeremy Beyou : lui non plus n'est pas des plus joyeux même si je veux bien admettre que partir 9 jours après n'est pas ce qu'il y a de plus motivant...
déçu des concurrents dont certains francophone (Boris Herman, Didac Costa et peut être d'autres) nous envoi quasiment pas de vidéo en Français

Par contre j'apprécie toujours autant Romain Atanasio, Alan Roura, qui nous parle sincèrement on les considèrerais pour des potes.
et notre chérie à tous , Samantha qui hélas n'est pas en course (est ce que le site du VG va continuer à nous donner des nouvelles et diffuser ses vidéos ?
sans oublier Jean la cam.

Puis découverte de Clarisse Cremer, qui pourtant m'a fait craindre le pire lors de sa première vidéo.
Giancarlo Pedotte, Miranda Merron, Clement Giraud avec sa bonne Humeur qui fait mouche, Damien Seguin, Armel Tripon, Yannick Bestaven, Maxime Sorel, et kevin escoffier que j'avais déja trouvé bien sympa même avant son naufrage...

Sans compter que Jean va bénéficier de plusieurs heures de bonus après avoir sauvé KE

Il y a un skipper dont personne ne parle jamais, c'est Destremeau.
Il a de bonnes chances de finir dernier, comme en 2017, mais il est là, il avance :-)

Et il slame !
www.lequipe.fr[...]1204002

Et Charal a comblé les quelques 1300 milles qui le séparaient du groupe de queue. La course va devenir plus intéressante pour lui, dans un système météo identique.

Nouvelle version des portes de la zone d'exclusion arctique. Ça redescend sous l'Australie et la NZ (la nouvelle version en noir...)

J le Cam va finir premier avec ou sans compensation de temps perdu , ç'est un bon il ne lache rien et ne fait aucune erreur il est toujours là ou il faut

Avec les foils ce sont des trimarans!

Sur le site du Vendée Globe, Fabrice Amedeo dont les deux PC sont hors service:

"Tout le reste de l’électronique fonctionne : j’ai un pilote automatique et un bateau en état de marche, mais naviguer à l’aveuglette, ce n’est pas très « safe » ! Nous n’avons pas des bateaux faits pour ça : pour se positionner par rapport à un système météo, ne serait-ce que pour savoir combien de vent sont annoncés et où je dois aller pour ne pas avoir trop de brise ou de mer, ça devient très compliqué. Donc, je réfléchis… »

Intéressant de voir qu'il se pose la question d'abandonner alors que tout fonctionne à bord...
Là où il y a quelques années ce type de question ne se posait évidemment pas.

@LPDJOUR (réponse ici car envoi d'une photo...)

qu'est ce qui dépasse plus d'après toi, la quille pivotante ou le foil ?

Si tu considères (partons de ce point de vue) qu'avoir un foil équivaut à une coque, pourquoi alors ne pas prendre en compte le bulbe (il a plus l'air d'une coque d'ailleurs qu'un foil...) ?

Le Cam aurait donc lui un catamaran, et Dalin un trimaran.

Question subsidiaire 1 : Ruyant a un bout de foil, ça compte comment ? (et que d'un côté. Alors ?) 🧐
Question subsidiaire 2 : quel statut ont aussi les dérives gauche et droite des bateaux "classiques" ? Ce ne sont par pour le coup des dérives habituelles comme certains voiliers ont (unique et dans le plan médian de la coque).

Amicalement, bien sûr.

illustration avec la photo de Maitre Coq mais TOUS les bateaux sont équipés de la même quille...

@ Scotland
Tout d'abord, comme je l'ai déjà dit, c'est une question d'opinion et de terminologie. J'aime discuter de ces questions avec des gens aussi passionnés que moi et bien plus reconnus. Je peux me tromper, je me suis souvent trompé avant :-)

qu'est ce qui dépasse plus d'après toi, la quille pivotante ou le foil ?

Pour moi ce n'est pas une question de depassemnet, c'est une question de forme, une forme qui à une certaine vitesse fournit une portance contraire à la force de gravité provoquant un effet similaire à celui de la portance fournie par le déplacement du volume de fluide sur lequel le bateau est immergé, ce qui fait augmenter la vitesse de l'engin en «survolant» la mer.

Si tu considères (partons de ce point de vue) qu'avoir un foil équivaut à une coque, pourquoi alors ne pas prendre en compte le bulbe (il a plus l'air d'une coque d'ailleurs qu'un foil...) ?

Un foil n'est que partiellement équivalent à une coque lorsque le navire atteint une certaine vitesse et seulement dans certaines conditions, l'effet de l'bulb est toujours de forcer la coque vers le bas et de la maintenir en équilibre, le but des foils est de séparer le bateau de l'eau en générant un soulèvement.

Question subsidiaire 1 : Ruyant a un bout de foil, ça compte comment ? (et que d'un côté. Alors ?)

Je ne connais pas l'indice actuel de soulèvement fourni par ce qui reste de son foil, cela dépendra de la forme restante, je ne peux pas répondre à la question car je ne sais pas si à ce stade est efficace du tout, et si c'est le cas, à quelle vitesse théorique générera un soulèvement ou la mesure de ce soulèvement hypothétique.

Question subsidiaire 2 : quel statut ont aussi les dérives gauche et droite des bateaux "classiques" ? Ce ne sont par pour le coup des dérives habituelles comme certains voiliers ont (unique et dans le plan médian de la coque)

Les dérives sont conçues pour assurer la stabilité de la coque, non pour fournir un soulèvement une fois que le bateau atteint une certaine vitesse, «vole» au-dessus de l'eau, puis augmente la vitesse en raison du manque de friction.

Merci d'avoir pris le temps d'en discuter avec moi. Comme je l'ai déjà dit, il existe différents points de vue (hydrostatique vs hydrodinamique) et aussi différentes pusposes: direction, stabilité, soulèvement ... L'important est que les règles soient communes à tous et appliquées équitablement.

Il est le 1er à rentrer dans la molle, les suivants vont y avoir droit à leur tour dans quelques heures (d'après windy).

23 noeuds dans 12 de vent ??? Il décolle

Jérémie CHARAL n'est plus lanterne rouge.

Personne n'a remarqué que Thomas est à moins de 100 NM de Charlie ?
Et pourtant, il navigue sur son mauvais bord (foil amputé) et en plus :

"J’ai eu deux lattes de grand-voile à changer hier : j’étais sans GV pendant 2-3 heures,"

Fabrice Amedeo abandonne...

jean va gagner sans compensation!!!

Je trouve que c'est la panne la plus frustrante qui puisse leur arriver. J'ai le bateau, les voiles, la forme mais plus d'électronique. Revers de médaille du progrès. Je suis triste pour lui.

Yannick Bestaven revient fort aussi sur la 3ème marche, et derrière ça se bouscule du 4ème (à 222 nm du 1er) au 8ème (à 248.8 nm) ça fait 5 concurrents dans juste 27 nm d'écart...

G.Verdier , architecte de Apivia et Linked Out:

" On ne peut pas dire que les foils ne servent à rien : les nouveaux bateaux sont quand même souvent devant, ils ont un bouton d’accélération qui leur permet d’avoir un gain de vitesse énorme pour le près et le vent de travers.

Et cela va encore beaucoup progresser, nous vivons un tournant architectural qui va durer peut-être une dizaine d’années. "

Pour l'instant, la stratégie est bien comme prévue. Dans les 10 premiers qui sont dans la même journée, le même système météo, on a 7 foilers et 3 dériveurs.
Les foilers ne sont pas "surs" de leurs foils et ne poussent pas à fond.
Du coup, les 3 "vieux" dériveurs font mieux que se maintenir et sont les plus rapides dès qu'il fait mauvais.
Par contre, dès que ça descends en dessous de 20kn, les foilers allongent.
On va donc avoir ce jeu de contrôle jusqu'au Horn. Le jeu des dériveurs sera de pousser un max pour "casser du foiler". Les foilers, ne pas casser et arriver entiers, groupés et pas trop loin au Horn.
Ensuite, on va avoir des journées à + de 500'/j, et là, ce sera régate.

Déjà que les safrans petent vu les contraintes apportées par les foils ça va pas être triste

Un très bel dans Libération ce soir ! Sympa de voir un journal papier d'actualités généralistes faire ce genre d'articles ! 👍

Charlie Dalin (Apivia), qui ouvre la route, devrait doubler à la fin du week-end le cap Leeuwin, à la pointe sud-ouest de l’Australie. Il a vécu un «dépucelage» en règle dans les mers australes. Le brillant bizuth s’est pris une énorme «cartouche» (tempête dans le jargon) et reconnaît s’être fait peur, ayant du mal à ralentir son bateau. Il a même coupé l’écran «vent» de son ordinateur en voyant sa route apparaître au milieu d’un rouge écarlate

Dans le groupe de tête certains marchent au 98° et d'autres au 75°, stratégie différentes????

Dalin encore au ralenti au classement de 9H... Moins de 10 noeuds alors que derrière ça déboule à plus de 18 noeuds...

Il dément ou simplement tout problème technique :

À ceux qui imaginaient un problème sur le bateau en voyant Apivia ralentir, Charlie Dalin a tenu à rassurer. « Apivia est en pleine forme. J’ai vu que ça supputait… C’est juste eu des problèmes techniques de « pas de vent ». C’est sûr qu’hier, quand je voyais les autres qui allaient à 19 nœuds et moi à 3 nœuds… Ça veut dire que tu perds 16 milles par heures… Et ça, c’est dur. Vu comment on se bat pour le moindre mille. C’est un peu dur à avaler. Mais la route est longue, la roue finira par tourner.

Bizarre, cette histoire... Quand c'est flou, ah ah !!!

Sébastien Simon envoie un message sur Fb :

🛫 Fin de séjour à Cape Town pour Sébastien 🇿🇦 Le superbe accueil sur place donne envie d’y retourner dans d’autres circonstances!
ARKEA PAPREC attend sagement son cargo pour rentrer en Europe dans une 10aine de jours ⛴.
Une expérience fabuleuse cette première tentative de Vendée Globe. Merci à tous pour le soutien indéfectible et tous vos encouragements 🙏🏻!
👊🏼 Cap sur la saison 2021 et la Transat Jacques Vabre!

Éric Tabarly doit bien se marrer comparé à sa transat 1976....
Les bateaux ont évolués mais le niveau de certains skippers laisse dubitatif comme le pense Desjoyaux et Jean Le Cam.

Au classement de 9 heures, ce sont justement Jean Le Cam et Damien Seguin, sur des bateaux d'ancienne génération, qui sont les plus rapide

Si on regarde Windy avec le plugin Regadata, il va y avoir un regroupement des concurrents du 4e au 10e mardi matin, alors que les 3 premiers seront passés.

Désormais, Charlie envoie son Apivia à près de 21 noeuds par un vent SW de 14 noeuds selon la cartographie.

Nous n'en sommes pas encore à la moitié de la course.

Je ne crois pas avoir vu cette vidéo de Clarisse et son chauffage...

www.courseaularge.com[...]ud.html

Fabrice Amedeo bien arrivé à Cape Town.

En tout cas, c'est bien d'avoir les moyennes à 4 et 24 heures ! La vitesse instantanée, ça veut pas dire grand chose...

Petite parenthèse, en dézoomant on voit que Tokio-San Francisco, ou Quebec-Saint Malo, ça serait chaud, à cette période...

Voici un type de polaires pour IMOCA.
C'est un ensemble de courbes pour une vitesse de 15 noeuds de vent réel, les courbes de couleurs sont les vitesses mesurées du bateau en fonction des voiles utilisées, ensuite la forme des courbes dépend de l'angle entre le bateau et le vent. On voit bien au vent arrière que le bateau ne peut pas dépasser les 15 noeuds par contre au largue il peut atteindre 23nds .

Pour obtenir ces courbes, le bateau navigue à l'entrainement en changeant de cap par exemple toutes les 1/2h. Le bus NMEA qui a toutes les mesures est connecté à un ordinateur qui entasse le tout pour produire les courbes ensuite.

Un très bon logiciel de calcul de routage est capable de faire cela.

Si on a pas fait les mesures, le barreur utilise les polaires théoriques produites par l'architecte.

question :a quel moment le jury fera connaitre les temps de compensation aux sauveteurs de Kevin ? en course ou apres l'arrivée

Romain a le même enthousiasme communicatif que Sam, la même joie de vivre ! sympas tous les 2 ! qui se ressemble, s'assemble !

Pour ceux qui ne connaissent pas l'individu, Laura est extrêmement second degré, 3ème, 27ème, etc... et elle ne se prend pas du tout au sérieux !!!

Voila, vous êtes prévenus !

C'est du 38 ?