voyage damienz

Merci Pierre!

Après plusieurs virées dans le Grand Sud y compris la péninsule antarctique, ils viennent de passer 2 ans à Nouméa pour refaire la caisse de bord... et agrandir la famille (d'un petit garçon).

Ils en ont profité aussi pour reaménager l'intérieur du Damien...

Et les voilà repartis pour un autre grand voyage... destination ?

libertairegv.blogspot.com[...]/search

Les photos sur FB
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Ils se remettent en route aujourd'hui des Marquises, pour une très longue traversée, direction Nord cette fois : ils visent Prince-Rupert, Canada, non stop, environ 4.400 Nm en contournant l'anticyclone.
Ils passeront l'été au frais...

Bonne route à eux !

Plus de nouvelles de 8 mois, quequ'un a des news?

Ok merci Flora, j'en étais resté au blog

15e jour de mer : ils ont dépassé la mi-parcours depuis 3 jours déjà, mais mauvaise rencontre autour de 31°N - 143°W :

"Sous le soleil, mer belle, vent SE 15 kts.
Depuis ce matin on ne peut regarder la mer 30secondes sans voir du plastique, bout de filet, caisse de pecheur, bouteille, ... Le 7eme continent?
Le plastique c'est pas fantastique."

Bien arrivés à Prince-Rupert après seulement 26 jours de mer depuis les Marquises !

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Leur journal de bord auquel il ne manque que l'arrivée... après la sieste probablement !
Les filles ont l'habitude, mais c'était une première pour le petit Ernest (2 ans) né à Nouméa.

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Ils n'ont pas voulu faire escale à Hawaï à cause des tracasseries pour obtenir les visas depuis la Polynésie, si j'ai bien compris.
Ils s'en occuperont pendant leur séjour au Canada.

En partant du Mexique, il faudra surveiller la météo tropicale : premier hurricane de la saison en ce moment Agatha qui vient de faire terre.

yaleclimateconnections.org[...]eather/

Merci, je ne connaissais pas celui-là ! je vais le garder pour mes récréations...

Çà date de plus de 20 ans, donc obsoléte...
Mon escale à Ala wai marina à été top . Face à la mer, juste à coté de la ville. Je n'étais pas fortuné à l'époque. J'étais solo arrivant de Polynesie et aussitot invité aux pot-luck hyper sympas.
Rencontré plein de navigateurs -trices . Puis ballades entre les iles jusqu'a Maui oû j'avais passé un bon moment, avant. Bref. Les choses changent 😪 ...
Il y a les marinas d'état , pas trop chères et celles privées.
Un de mes vieux rêve : mouiller à Molokini qui est un volcan demi submergé. J'y suis allé mais trop profond !!!. Ça fait rien , j'y suis allé 😇 .

La "wildlife" de la famille Libertaire :

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J'avais rencontré Libertaire et ses anciens propriétaires au Brésil. Jolie couleur bleue a l'époque.

Ça date d'avant 2011...
Ce voilier à vraiment de jolies lignes. Il y a un autre Damien a Grenada. Allongé . Il avait été sur la caillace. Vendu " pas cher"

La petite famille LIBERTAIRE dans les Aléoutiennes.
Peu de récit, mais toujours de belles photos !

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"Dutch Harbor, iles Aléoutiennes- Alaska
Libertaire avale les 580 milles entre Sitka et Kodiak en 4 jours et jette l'ancre devant le port de pêche de la ville de l'île éponyme le 1er mai. Nous y restons un peu plus d'une semaine, les conditions météo n'étant pas favorables pour poursuivre à l'ouest. Malgré un temps très majoritairement pluvieux, venté et froid pour un mois de mai, nous apprécions notre escale grâce à l'hospitalité de ses 6000 habitants et aux sympathiques rencontres que nous faisons. Mike et Alysa, biologistes marins au centre de recherche de la ville ont navigué dans les mêmes régions que nous il y a quelques années avec leurs enfants sur leur voilier Galactic, et c'est avec plaisir que nous nous remémorons certaines escales. Martine et Joël, couple français installé à Kodiak depuis 20 ans où ils tenaient une pâtisserie nous préparent de bons gâteaux ; Sylvie et Manu qui voyagent en camping car nous proposent un tour en voiture vers White Sand Beach et le fort Abercrombie... Nous retrouvons un peu de ciel bleu en mer en gagnant Eagle Harbour dans les îles Shumagin 380 milles à l'ouest puis le petit village de Sand point. Nous profitons d'une rare journée ensoleillée pour mouiller à Baranof Bay où nous visitons une ancienne conserverie de poissons et apprécions la belle balade la surplombant. Il n'y a normalement pas d'ours sur l'île mais nous repérons rapidement des empreintes suspectes... Un grizzly a en effet traversé le passage de 8km à la nage qui nous sépare de la pensinsule alaskane. Nous gardons donc notre Bear-spray à portée de main!
Ensuite, après 36 heures au portant nous gagnons les îles d'Akun et d'Akutan où le beau temps et les jours qui rallongent nous permettent de profiter pleinement de notre nouveau terrain de jeu que sont ces premières îles des Aléoutiennes.
Nous sommes depuis ce midi à Dutch Harbour, important et accueillant port de pêche où se réjoignent l'océan Pacifique et la mer de Bering. A nous les Aléoutiennes !"

Nouvelle production des Libertaire, avec de fabuleuses photos d'animaux (ours) toujours en Alaska...

Geographic Harbor, Péninsule d'Alaska
Après quelques jours à Kodiak nous retournons sur la péninsule d'Alaska en gagnant le beau mouillage de Geographic Harbor réputé pour la quantité d'ours qui y fréquentent l'embouchure des rivières à cette saison. Nous ne sommes pas déçus, les grizzlies sont partout autour de nous, les saumons aussi! Nous suivons un groupe de photographes animaliers, plus habitués à se balader au milieu des ours, ce qui rasssure l'équipage. Nous ne nous serions probablement pas faits approcher de si près par les ours tout seuls. Le calme et le silence sont de rigueur mais le spectacle en vaut la peine!
Nous profitons ensuite d'un vent portant pour une navigation de 24h vers la péninsule de Kenai et le charmant village de Seldovia.

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Libertaire et son équipage familial sont de retour en France après 8 ans (dont 2 ans de pause COVID à Nouméa), 64 311nm au loch.
On se donne 2-3 ans pour un petit chantier avant de repartir. A 50 ans révolu, notre vaillant Damien II a bien mérité un petit lifting :-)
Bonne journée à tous!

On verra dans 2 ans mais pour l'instant on a tous envie de repartir au plus vite, surtout retrouver les contrées polaires qu'on adore et qu'on n'a que survolé.
On ne tiendra pas 25 à terre c'est sûr, mais chacun ses choix!
On en reparle en temps voulu :-)

Mouais, je ne suis pas vraiment d'accord avec toi. Pas sûr que les laisser dans l'enseignement traditionnel soit leur laisser une chance.
On a rencontré un certain nombre de bateaux avec des enfants qui ont fait toute leur scolarité à bord. Pour la grande majorité ils ont fait de brillantes études. Comme ce bateau autrichien rencontré en Alaska où les 2 garçons ont été admis boursiers à l'université de Dartmouth aux USA (dans l'Ivy league).
Quand on voit comment l'éducation (et les moyens qu'on lui accorde en France) évolue, je pense que le voyage et tout ce qu'il apporte est bénéfique aux enfants et ne peut-être qu'une aide dans la vie. Par contre c'est vrai que leur faire l'école à bord est chronophage (d'autant plus qu'ils grandissent) et nécessite de la part des parents un investissement considérable, mais un excellent niveau scolaire est largement accessible.
Bref à mon avis l'éducation des enfants n'est pas un bon prétexte pour rester à terre ;-)

Tout à fait d'accord sur cette analyse...le voyage ouvre l'esprit des enfants et quand on voit la jeunesse actuellement les yeux rivés sur les téléphones...y a urgence à leur montrer autre chose que les réseaux sociaux qui les conditionnent...faut juste faire attention à leur laisser le temps de socialiser avec d'autres enfants de leur âge afin qu'ils puissent s'épanouir sans se sentir enfermés dans un monde exclusivement adultes...Bon séjour en France et bon chantier de remise en conditions de Libertaire...amicalement Pierre

C'est sûr que ton expérience est différente de la notre.
Mais parents, enfants, amis,..., on a toujours une bonne raison de ne pas (re)partir.
Néanmoins, on va tout faire en sorte pour que cela ne nous arrive pas et que tout l'équipage continue à y trouver son compte comme ça a été le cas jusqu'à présent.
Ce qui est sûr c'est que je suis admiratif devant ton choix d'être resté à terre 25 ans, je ne m'en sens pas capable aujourd'hui...