avec le printemps...les chantiers vont reprendre ?

Gaffe aux UV et à la chaleur

:-( tu as intérét à le protégé d une bache tendue au dessus , dans les mois qui viennent , s il reste au sec !! :-)

L'autre coté?

Sera-t-il en vert?

ho !!!

;-)le thon rouge une étoile !! :-D

côtre de Carentec

J'ai lu dans OUEST-FRANCE, qu'il y a un amoureux
des bateaux bois à HILLION. Il retappe justement un côtre de Carentec en ce moment. Je pense que ça peut t'intéresser J.J.
Snark.

Avril !

Remise à l eau de l ile avec un échappement , anti siphon, filtre tout neuf et surdimensionné pour le waterloock !! montage des connections pour l électronique , et ensuite re-reprise des bois !! :-D

mécanique

pour l'instant, néttoyage circuit gasoil , filtre etc etc

les planchers à refaire, et surtout la pointe avant à aménager... là il y a du boulot,
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mais bon , faut bien s'occuper ;-)

et puis un grand nettoyage ...

Oui goudspide

il te faut changer le gros joint au fond à droite : on voit dessous des lambeaux, il ne doit plus être tout frais !

:mdr:

Bon, je sors...

Boulot de PRO, comme nous....(JJ)

Yannick Provost redonne vie aux voiliers

Yannick Provost restaure, dans les règles de l'art, son troisième bateau traditionnel : un cotre de Carantec construit chez Sibiril.

L'authentique est son credo. Le Brin d'Ajonc est le troisième bateau

qu'il rénove dans l'atelier contigu à sa maison d'Hillion.

« J'ai la passion des bateaux traditionnels authentiques », raconte Yannick Provost en ajustant les bordées de pont de son dernier bijou. Dans l'atelier qu'il a monté, accolé à sa maison d'Hillion, ce jeune retraité restaure avec art et amour « Le Brin d'Ajonc », un cotre de Carantec.

Cet artisan-navigateur, qui fut marin pêcheur et a côtoyé les Compagnons du devoir, aime par-dessus tout le travail bien fait. « Je m'attache à respecter les règles de la charpente de marine. Certains bateaux traditionnels sont des reconstitutions pas toujours fidèles... » Pour les trois bateaux qu'il a remis à flot, Yannick choisit par exemple des rivets de cuivre, « l'oxyde de cuivre est étanche, contrairement à l'oxyde de fer ». Cet amoureux du bois réalise toutes les bordées lui-même, ce qui demande un grand travail de traçage, « une latte de pont, ce n'est pas un simple bout de bois ! » confie l'homme patient au geste juste.

Pour cela, il a fallu que Yannick se fasse un allié : le temps. « Voilà deux ans que je travaille sur le « Brin d'Ajonc ». J'aurai pu aller plus vite, mais il n'y aurait pas eu le même résultat, ni la même satisfaction ! » Depuis qu'il a fait l'acquisition du cotre, ce passionné a entrepris sans découragement l'expertise et le démontage des parties abîmées, le changement de l'étrave, des allonges de membrures et des bordées. Sans compter la reconstruction de la charpente de pont et les 1 300 rivets de cuivre qu'il faut cacher à l'aide d'un petit morceau de tourillon en bois !

Ce travail de Romain, Yannick Provost le connaît bien. Le voileux est pris par le virus de la restauration, dès 1974. Il met alors huit ans pour redonner son honneur de sardinier à « L'Oiseau Bleu », un bateau de 10,30 m dont on aime maintenant croiser l'épave nostalgique en se promenant tout au fond de la baie.

Quand il ne s'adonne pas au traçage d'une latte ou au calfatage du pont, Yannick se ressource en mer sur son « Plan Cornu » , actuellement mouillé au Légué ; un beau voilier de régate tout en acajou qui lui doit, lui aussi, sa deuxième vie. « J'ai navigué sur beaucoup de beaux bateaux, mêmes des yachts, mais naviguer sur le bateau qu'on a restauré, ça, c'est parlant ! »

Au contraire, chantier à l'arrêt.

Pour réaliser une commande, j'ai besoin de la place pendant au moins 6 mois:scie:. Faut bien vivre !

Donc la première coque dormira dehors pendant un petit moment...