BD voilier Damien

je ne sais pas pourquoi ce poste est apparu deux fois. Sans doute à cause de la coupure internet que j'ai eu pendant quelques minutes. Ignorez ce post pour discuter sur l'autre

Les passagers du vent

Effectivement un souvenir inéffaçable, j'avais adoré et le dessin et l'histoire, Ha la fille sous la dunette, j'étais amoureux

Je ne dis pas qu'on n'a pas envie d'y revenir, au contraire...
Je dis juste que, quand on est un passionné de bateaux et de mer comme moi, on arrive toujours trop vite à la fin.
La BD sur Damien reçue Lundi, je l'ai lue dans la soirée en une seule traite et je recommence (plus lentement) depuis ce matin (le jour, les couleurs sont plus jolies qu'à la lueur d'une lampe de chevet...

merci, le graphisme a l'air sympa

Souvenir souvenir .....
Un des premiers bateau capitaine a bord tour de med 8 mois
Le Damien II de Michel Joubert
LE TIGRE MOU

le meme que celui d Antoine

Consu et realize a la suite du DAMIEN

Si la bande dessinee vous parait courte un exelent livre
A recherche est TRISMUS

captainjpp

J ai pas ecrit que j ai ete le capitaine de Michel Joubert j ai ecrit que j ai ete le capitaine du bateau de Michel Jobert LE TIGRE MOU avec le nouveau proprietaire

Je pourrais meme t ecrire pourquoi le non du bateau etait TIGRE MOU

je parlais du DAMIEN II car uk est arrivee avec l aventure du DAMIEM

Caainjpp

Merci pour votre très bon travail devoré avec plaisir et qui a rejoint ma bibliothèque à côté du guide de la manoeuvre qui est en son genre un roman graphique particulier

Merci pour l'info, j'y jetterai un oeil critique, mais je reste désappointé et étonné de voir comment la BD (on dit roman graphique pour faire sérieux - rayon FNAC plus important que celui des romans!) supplante le livre traditionnel, j'y vois une infantilisation de la société (bd, jeux video, iphone en permanence, activités débiles diverses...). Avant on arrêtait de lire des BD a 12-13 ans, c'étais mieux avant?

Bonjour, ce n'est pas parce qu'il y a des BD jeunesse que toutes les BD sont pour la jeunesse.
La BD est juste un format, je ne voit pas pourquoi il serait réservé au enfant, il peut aussi d'aborder des thématiques, sombres, complexes, bref adultes.
De même pour le jeux-video.

Une histoire contée par Gérard Janichon (Voyages sans escale, 1983)

"Aujourd’hui, peut-être parce qu’une drisse en haut du mât a cassé et
qu’il faudrait que je monte la réparer, m’est revenue celle d’un bateau qui est
resté plusieurs mois au Saco do Ceu. Ce voilier en ferro-ciment de grande taille
(quinze ou seize mètres, je crois) était mené par un couple de septuagénaires qui
en avait assuré la construction de bout en bout. Ils avaient commencé la coque
quelques années avant que l’homme ne prenne une retraite professionnelle
anticipée, et tout était effectivement prêt au jour dit. Mais la mère de l’un d’eux
étant seule et malade, ils avaient décidé de repousser le grand départ et
d’attendre la fin de la pauvre femme. A mesure que les années passaient, ils se
sentaient moins dispos et se mirent à craindre pour eux-mêmes. Lorsque enfin ils
larguèrent les amarres, ils venaient de fêter leurs soixante-dix ans ! Ils connurent
d’abord des ennuis à l’occasion de collisions spectaculaires dans quelques ports,
le temps de prendre en main leur grand voilier. C’est avec soulagement qu’ils
parvinrent à Ilha Grande avec la perspective de plusieurs mois de farniente. Mais
un problème obsédait le vieil homme, qui regardait souvent le grand mât du
bateau avec l’œil d’un chasseur lançant un défi à un fauve qu’il sait plus fort que
lui. Tous les soirs, il s’exclamait : « Ah ! Je ne suis toujours pas monté à ce mât !
Il faudrait pourtant le faire... »
Un jour, enfin, il s’y décide. Il prépare soigneusement sa trousse à outils, la
chaise de mât et appelle sa femme :
« Allez, tu vas me monter ! »
Mais son épouse, jetant un regard effaré en tête de l’espar qui ne devait pas
mesurer moins de quinze mètres, répond interloquée :
« Te monter ? Mais comment ?
— Je vais t’expliquer : je vais amarrer la chaise à la drisse de grand-voile. Tu
la passeras autour du winch, tu la tiendras très fort... Tiens, regarde, je te
montre... Tu tournes la manivelle, en assurant le taquet.
— Mais je n’aurais jamais la force ! Je ne vais jamais y arriver ! »
Et lui, rassurant :
« Mais si, mais si ! J’aiderai avec mes bras et mes jambes autour du mât, tu
verras. Il faut bien que j’aille en haut, de toute façon... »
Et l’aventure commence, tous deux suffoquant, frisant l’arrêt cardiaque à
chaque mouvement, s’encourageant mutuellement sans relâche. Enfin, après
avoir soigneusement assuré le cordage sur un taquet, la femme s’écroule sur le
pont. En haut, l’homme qui ceinture le mât à pleins membres met un long
moment à retrouver la régularité de son souffle. Par chance, la surface de la
baie, qui est normalement déjà très calme, est ce matin-là un miroir : le bateau
est parfaitement stable et, même en tête du mât, le balancement est insignifiant.
Au bout d’une dizaine de minutes, la femme a bien récupéré de ses efforts et
finit par s’inquiéter de l’immobilité totale de son mari :
« Eh ! Qu’est-ce qui ne va pas ? »
Il se passe quelques secondes avant que l’homme ne consente à répondre :
« Ecoute, je me demande si on n’est pas trop vieux pour tout ça ! »
Puis, après un nouveau silence, il ajoute :
« Redescends-moi. Je ne me rappelle plus pourquoi il fallait que je monte ! »

Notre album c'est aussi des petits morceaux qu'on avait pas forcément dans le livre original... Si après sa découverte cela donne envie de lire le livre original et bien le pari est gagné. Pour ma part je l'ai lu à 15 ans. Ils faisaient parti de mes héros de jeunesse, c'est la raison pour laquelle j'ai proposé à Gérard de faire cette aventure BD... Si j'avais été réalisateur et bien j'en aurai fait un film! ;) on fait avec ses moyens! ce qui compte ce sont les valeurs et le rêve que procure cette histoire. Après peu importe le vecteur tant qu'il ne trahit pas l'histoire. Et puis n'oublions jamais que dans la marine à voile des grandes explorations il y avait toujours des dessinateurs embarqués. Le dessin et la mer on un destin très liés...

En effet pour Gérard ça a été un challenge car c'est un format au chausse pied entre dessin et textes! et croyez-moi Gérard à ciselé ses textes pour les optimiser. Gérard est un immense écrivain, pour moi c'est un Saint Exupéry de la mer.

Tramp, excellente série, se situe après la seconde guerre mondiale et une partie durant la guerre d'Indochine.

C’est tout à fait cela

La BD, la bonne BD c’est un art distinct de la littérature.

On peut passer une vie à lire et relire Franquin comme à lire et relire Hugo … ou Hugo Pratt

Sauf que la finalité esthétique dans la BD, c'est le graphisme, pas le texte.

alors ROULETAQUILLE .....j ai pas ete capitaine du DAMIEN 2 LE TIGRE MOU
ex bateau de Michel Joubert qui d ailleur ma passe les clees et ma apprit a releleve la quille
et ma envoyer un demarreur pour le nanni 140 cv a HIRAKLION car ce moteur special demarreur special introuvable en grece a l epoque celui ci est arrive d ela rochelle

autre question ROULETABILLE puisque tu a l air , que l air pas la chanson , de tout savoir
pourquoi le TIGRE MOU ?????

captainjpp

Bonjour,
À toute fin utile pour la minute

Oui mais on peut aussi trouver ca:
maze.fr[...]rature/

D'autant que maintenant beaucoup de romans ou d'oeuvres littéraires sont édités sous format BD ..On dit même roman graphique pour faire plus sérieux et utiliser un vocabulaire PC..Donc c'est juste une controverse!