Montée des mers - Savoir raison garder - De l'importance du doute

Jetons un regard sur la problématique à affronter.
peut-être un peu ardu :-(

Bonne lecture!

Trouvé ici:
www.academiedemarine.com[...]e_1.pdf

L'équipage

24 déc. 2020
24 déc. 2020

Lien non fonctionnel

24 déc. 2020

Etonnant, chez moi ils fonctionnent tous les deux; avec Firefox, Edge ou Chrome.
Ce sont des *.pdf. As-tu une application d'ouverture/lecture installée?

24 déc. 2020

Sous IOS. :(

25 déc. 2020

Sous IOS aussi, le lien fonctionne parfaitement

24 déc. 2020

Stratégie française : comment desserrer l’étreinte de la centralisation.
Le cas de la France s’inscrit dans une continuité liée aux situations exceptionnelles. Il
faut des catastrophes pour que l’on se décide à bouger. Les choses avancent… lentement, même
si les alertes sont anciennes et parfois très anciennes. Sans doute y-a-t-il souvent confusion entre
l’érosion côtière qui est un fait classique et le risque de submersion qui est moins fréquent mais
qui s’inscrit forcément dans les perspectives de gestion de la montée du niveau des océans. Le
drame de La Faute-sur-mer a donné le signal d’une inquiétude renforcée : après les
commissions d’enquête, les rapports plus ou moins rapidement suivis d’effet. Disons que les
choses semblent désormais en marche ; même sur le terrain où c’est généralement plus délicat
que sur le papier.

Conclusion
Le niveau des océans s’élève, alors faut-il s’en inquiéter ? A cette manière provocante
d’introduire le sujet, réponses doivent être apportées. Certes, il y a une accélération toute
relative depuis quelques années : elle ne donne crédit à aucun alarmisme ; il y a eu bien pire
dans le passé. Il faut rester attentif cependant aux modalités régionales du déglacement du
Groenland et d’une petite partie de l’inlandsis antarctique. Risque-t-on une puissante débâcle
qui pourrait affecter fortement la courbe de remontée des océans. De la même manière, il faut
rester attentif et donc « surveiller » en affinant les méthodes scientifiques qui garantissent que
la main n’est pas abandonnée aux alarmistes qui voient le désastre chaque jour à leur porte. En
fait, la géographie commande les lieux de l’action ; c’était vrai dans le passé, même récent, et
cela se vérifiera dans le futur. Mais c’est à la fois affaire de maîtrise de l’érosion des côtes et
des formes que prendra la « submersion », plus redoutable par ses effets là où elle s’effectue
sans à-coups (lente submersion des marais, salinisation des sols…) mais ces faits sont connus.
Quant aux tempêtes, « plus fréquentes et plus puissantes » si l’on en croit les devins, elles
s’inscrivent dans la lente histoire des littoraux contemporains et ce n’est une découverte que
pour de « jeunes » chercheurs qui pensent que leurs ainés n’ont jamais fréquenté ni les archives
ni le terrain. Rien n’est bien neuf sinon la meilleure prise en compte des phénomènes par les
responsables à tous niveaux. Il reste à définir les conditions locales de l’adaptation à la montée
des eaux. Ce sera coûteux et dérangeant : reculer face à la mer risque de secouer bien des
collectivités sur les littoraux.

28 déc. 2020

Le drame de La Faute sur Mer démontre entre autres la capacité d'oubli de phénomènes ponctuels (je passe volontairement sur les autres aspects de ce drame). Ces phénomènes ne doivent pas être assimilés à une élévation du niveau des océans. On a assisté là à un fort coefficient de marée associé à une faible pression barométrique et un flux violent de sud ouest, le tout entraînant une surcote. Ce phénomène dénommé "vimer" en Charente Maritime est établi historiquement, le précédent remontant à 1941, donc pas si ancien, avec une partie de l'île de Ré couverte d'eau, notamment le village des Portes. En 1987, je crois, une partie de la côte vendéenne fut envahie au niveau de Noirmoutier, assez loin dans les terres. En des temps lointains, la mémoire des anciens se transmettait de génération en génération et on en tenait compte pour construire. Aujourd'hui, on a tendance à oublier et un phénomène météo exceptionnel entraîne des conséquences humaines dramatiques par négligence ou par la recherche d'un profit. Mais également, une demande des acheteurs pour avoir les pieds près de l'eau, la construction de maisons ne tenant pas compte du risque, non protégées par une vague élévation de terrain qui ne constituait en aucun cas une digue etc...

25 déc. 2020

Il y a de très bonnes interventions de Jean Marc Jancovici à voir sur YouTube.
Je viens de regarder plusieurs heures de ses études et suis obligé de constater que j'avais la même impressions sur beaucoup de ses réflexions.
Toutefois d'autres façons de voir les choses ont bien entendu le droit de citer et seront certainement intéressantes.
Ce qui est sûr c'est qu'il va falloir agir pour ne pas subir et vite....

25 déc. 2020

Le lien “lire la suite” dans le PDF est mal configuré et contient un espace excédentaire à la fin. Après l’erreur 404, on pet accéder au document en supprimant cet espace “%20”.

Le bon lien devient alors:

25 déc. 2020

Il peut etre intéressant de se renseigner sur l'auteur, Alain Miossec...

25 déc. 2020

Encore un sceptique qui, vu son age ne verra effectivement pas la montée des eaux.
oublier les médicanes qui n’existaient pas il y a quelques décennies est un peu fort.
Bref un copain de Claude Allègre....

25 déc. 2020

Au début des années 1990, les prophètes du GIEC ont extrapolé à partir d'une montée du niveau du Pacifique et de l'Indien de l'ordre de 2 à 3 mm par an pour prédire un déluge imminent.
Or si l'on compare les cartes de l'Amirauté Britannique d'il y a 100 ans avec les photos satellite, le delta du Gange au Bangla Desh a gagné environ 12% en surface et 3% en hauteur, grâce aux alluvions du fleuve et aux sédiments déposés par les courants marins, fixés par les Mangroves.

Pour la Polynésie, Virginie Duvat, universitaire Rochelaise et chercheuse de terrain jette un pavé dans le lagon de la pensée unique en publiant une étude sur quatre atolls des Tuamotu: Rangiroa, le plus peuplé et urbanisé, Tikehau, Mataiva et Takaroa, plus ruraux. En tout 106 motus de tailles diverses. Elle constate que depuis le début des années 1960, 28 ont perdu un peu de surface, 39 se sont agrandis et 35 sont restés stables. Un seul motu a disparu, car il a servi de carrière pour agrandir un autre îlot. Et trois nouveaux motus se sont formés !

Elle récidive quelques années plus tard en publiant une étude élargie portant sur une centaine d'îles du Pacifique soit 400 motus : Archipel Marshall, Kiribati, Tuvalu, États fédérés de Micronésie, Tuamotu sont au programme.
La statistique confirme et renforce les premières observations : 77 % sont stables, 15 % sont en expansion et 8 % en légère régression. En d'autres termes, si le niveau de la mer monte un peu, les îles montent encore plus vite.
Par ailleurs, des sismographes ont enregistré un peu partout des signaux liés aux mouvements tectoniques provoquant une dilatation du magma qui pousse la lithosphère vers le haut. Outre quelques volcans actifs, on trouve en Océanie des dizaines de volcans en sommeil mais pas éteints.

Aux Kiribati qui devaient être englouties au plus tard en 2020, des études récentes ont montré que l’affaissement spectaculaire de certains rivages était lié à l’exploitation excessive des « lentilles » ces poches d’eau de pluie retenues dans le sous-sol corallien.
Pour préserver cette ressource, sans nuire au développement touristique, on a multiplié les petites unités de dessalement de l’eau de mer. Depuis, le rivage s’est stabilisé. Il ne reste plus qu'à attendre que les dépôts de sédiments naturels le renforcent.
Des Paumotus leur ont suggéré de planter des miki miki (pemphis acidula) arbustes de bois très dur, hauts de 3 à 5 mètres, qui apprécient les sols calcaires salés, peuvent se passer d'eau douce et ont des racines assez fortes pour solidifier leur emprise.

Aux Tuvalu qui devraient déjà jouer à Waterworld, des chercheurs de l'université d'Auckland (NZ) ont publié une étude dans la revue « Nature Communications » pour expliquer pourquoi la réalité n'était pas conforme aux prévisions. Ces scientifiques ont analysé une multitude de photos aériennes et satellites prises entre 1971 et 2015. Les clichés répertorient les 9 atolls principaux ainsi que 101 petits motus coralliens.
Cette observation sur plus de 40 ans montre que la taille de 8 atolls sur 9 ainsi que celle des 3/4 des îlots coralliens ont augmenté en surface de l'ordre de 3%. Les autres étant sans altération notable.

« Nous avions tendance à considérer les atolls du Pacifique comme des formations géologiques statiques, qui vont simplement être inondées au fur et à mesure de l’augmentation du niveau des océans, mais il existe de multiples preuves que ces îles sont géologiquement dynamiques et en constant changement », indique le co-auteur de l’étude Paul Kench.
Le mouvement des vagues déplace les sédiments, le sable et les coquilles qui s’accumulent, s'agrègent et se stratifient sur le pourtour des îles, complétés par les matériaux apportés par les tempêtes qui compensent le phénomène d’érosion côtière. Sans oublier la pousse du corail assez rapide pour rendre obsolètes en quelques décennies les cartes marines.

A cela s'ajoute un volcanisme pas tout à fait éteint, et une lente remontée de la lithosphère qu'on constate sans s'accorder sur les causes, probablement multiples.
Si le sujet vous intéresse et si des liens vers des travaux d'universitaires démissionnaires du GIEC vous intéressent :
climatorealist.blogspot.com[...]%20GIEC

25 déc. 2020

Bonjour
Quel viennent faire ces hurlements ici ?

25 déc. 2020

Quel,rapport avec le geographe ?

25 déc. 2020

Pourquoi quand je lis le post de Mojitoo me vient-il une envie irrépressible de tirer la chasse?

25 déc. 2020

Parlant de l'auteur, A Miossec, je trouve qu'il est intéressant de se renseigner sur ce scientifique, climatosceptique plus ou moins assumé pour se faire une opinion. Il a au moins le mérite d'un bagage scientifique reconnu.

Pour les propos de VIKTOR BIS, je vous laisse juge de ses lectures...

25 déc. 2020

Et a propos de mocitoo que sait on?

25 déc. 2020

C'est surtout que constater des effets locaux liés à des montées du plancher n'invalide en rien une remontée globale.
Cette technique visant à décrédibiliser une règle par ses exceptions est un sophisme qui porte un nom anglais : le cherry-picking ou "ceuillette des cerises".

Nous avons là quelques cueilleurs professionnels en mode "rassuristes". On a vu ce que nous devons aux "rassuristes" dans d'autres domaines.

25 déc. 2020

entièrement d'accord avec toi

25 déc. 2020

Remarque très juste, mais à l'inverse les croyances ou intimes convictions n'ont généralement besoin d'aucune preuve pour s'affirmer. Or en science on doute des axiomes quand l'expérience vient les infirmer. même partiellement.

25 déc. 2020

The problem with the world is that the intelligent people are full of doubts, while the stupid ones are full of confidence.
Charles Bukowski

27 déc. 2020

C'est aussi une citation plus ancienne de Bertrand Russel :
www.azquotes.com[...]Russell

Mais elle va très bien à Charles Bukowski qui fut un des grands écrivains US.

26 déc. 2020

"Or en science on doute des axiomes quand l'expérience vient les infirmer. même partiellement. "
Sauf que dans l'histoire du RC, c'est tout le contraire : on a commencé par une hypothèse, donc des doute sur la poursuite du cycle naturel, puis des calculs de forceage radiatif, puis des mesures du réchauffement océanique, puis des programmes satellitaires et ainsi de suite.

Au bout de 30 ans d'un des plus gros programme scientifique de l'histoire, du plus gros apport de datas de toute l'histoire de la science, on est plus sur une constatation que le réchauffement océanique est supérieur aux prévisions initiale qu'inférieur - ou pire "faux".
Et les lois de la physiques concernant la dilatation de l'eau qu'on réchauffe, additionné aux diminutions de glaciers et d'islandis, ça laisse aussi une place au doute que si ce doute repose au départ sur une base simplement logique, même pas "scientifique"

27 déc. 2020

à l'inverse les croyances ou intimes convictions n'ont généralement besoin d'aucune preuve pour s'affirmer. Or en science on doute des axiomes quand l'expérience vient les infirmer. même partiellement.

Pour ma part, je me situe dans l'optique de la démarche scientifique basique : Observer des phénomènes quantifiables (et ne pas extrapoler à partir d'épiphénomènes ponctuels) les comparer et les corréler en vue d'établir des liens de causalité ou de convergence entre les observations pour en tirer des lois sinon des tendances, et en vérifier les conclusions lors d'expérimentations reproductibles, en exposant sa méthodologie et en la soumettant à la critique de ses pairs.
Une épistémologie applicable à tous les domaines des sciences exactes, hors la physique quantique.

Cette démarche est doublée par des approches universitaires de terrain, publiées dans des revues à comités, et les graphes figurant dans le site honni par certains ici, ont été produits et/ou approuvés par des membres de l'Académie des Sciences US et des chercheurs-profs à Stanford ou au MIT.
Sans oublier les 31.000 chercheurs et universitaires (dont une vingtaine de Nobel) signataires de l'Oregon Petition qui reprochent au GIEC de poser des axiomes, et ensuite de chercher tous les arguments abondant dans son sens, en écartant tous les autres. Et surtout de refuser de débattre avec des gens possédant un bagage scientifique de haut niveau, susceptibles de leur apporter la contradiction.

25 déc. 2020

Pour développer le cherry picking un grand classique des raisonnements de comptoir :
Source Wiki
En rhétorique ou dans toute forme d'argumentation, le cherry picking (litt. « cueillette de cerises »), ou picorage dans le contexte financier, est la mise en avant des faits ou données qui donnent du crédit à son opinion en passant sous silence tous les cas qui la contredisent. Ce procédé trompeur, pas nécessairement intentionnel, est un exemple typique de biais de confirmation.

L'expression est basée sur une analogie avec la cueillette de fruits, comme les cerises : le cueilleur sélectionne les fruits les plus mûrs et les plus sains, si bien qu'un observateur qui ne voit que les fruits sélectionnés peut à tort conclure que la plupart, voire la totalité, des fruits sont mûrs et sains

25 déc. 202025 déc. 2020

Ben suffit d'observer... cela fait au moins trois ans que je n'ai plus vu le niveau d'eau à Port Camargue baisser en dessous de la dalle des pontons, alors qu'au début, c'était monnaie courante. En revanche, le fouling sur les Ducs d'Albe remonte de 10cms par an.
Mon bateau est amarré nez au quai, et j'ai de plus en plus de mal à monter dessus année après année sans passerelle, alors qu'il y a seulement cinq ans, en été, le pont était au niveau du quai.
Là, le port est en train de refaire le ponton, dont les aciers d'armature rouillés ont fait éclater le béton, mais à mon avis, c'est de l'argent mal dépensé, il aurait été plus intelligent de tout virer et faire un ponton flottant à la place de l'actuel.
Mais bon, c'est eux qui voient.
J'habite un peu plus haut, 55m NGF, mais je pense que je vais profiter de ce que je n'ai pas grand-chose à faire pour construire une estacade devant mon portail, on ne sait jamais. A l'époque, St Louis était bien parti d'Aigues Mortes, non?

27 déc. 2020

Je t'invite à consulter le marémêtre de Marseille qui est en service depuis 150 ans...Tu réviseras surement tes constatations empiriques.

27 déc. 2020

Le;maregraphe dit comme,tangalo :

Les observations continues effectuées à Marseille depuis 1885 ont montré que l’écart entre le niveau moyen de la mer et le repère fondamental du réseau de nivellementlien interne français allait en diminuant. Ceci pouvait être interprété de plusieurs façons : soit cette diminution mettait en évidence un exhaussement du niveau de la mer, soit elle montrait un tassement du Marégraphelien interne de Marseille ou de son substrat, soit encore elle était due à une combinaison des deux phénomènes.

Les bâtiments du Marégraphelien interne étant établis sur des rochers offrant a priori de bonnes garanties de stabilité, et les différents nivellements exécutés au cours des ans n’ayant montré aucun mouvement local, de nombreux auteurs avaient déjà conclu à un exhaussement du niveau de la mer.

Les moyens modernes d’observation confirment cette hypothèse. Les dix années d’observation GPS permanentes permettent d’abord d’écarter l’hypothèse d’un tassement du Marégraphelien interne de Marseille ou du socle sur lequel il est construit entre 1998 et aujourd’hui. Des nivellements d’ampleur régionale (plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de kilomètres) apportent aussi de nouveaux éléments de réflexion.

Les résultats les plus récents permettent d’estimer à 16 cm la hausse du niveau moyen de la mer à Marseille depuis la fin du dix-neuvième siècle.

27 déc. 202027 déc. 2020

16 cm de hausse du niveau moyen de la mer à Marseille depuis 120 ans . Cela ne remonte pas de 10cms par an.

27 déc. 202027 déc. 2020

Oups pas vu les 10 cm par an .....

28 déc. 2020

Là, c'est depuis trois ans que le phénomène ( à Port Camargue ) est bien visible. En même temps, on a jamais eu autant de régime d'Est, ce qui peut aussi influer sur le niveau.
Mais de toutes façons, ça monte...

28 déc. 2020

Je me contente d'observer, et le fouling, c'est un bon indicateur. Alors c'est peut-être pas vraiment 10, mais 7 ou 8, j'aurais un peu de mal à mesurer précisément... Mais ça monte.

25 déc. 2020

Entendu aujourd'hui : news-24.fr[...]-etude/ .

Ce phénomène est localisé et "Des récifs coralliens sains sont essentiels pour que ce processus se poursuive dans le futur.»"

J'ai donc vérifié l'altitude de ma résidence au bord de la côte atlantique avant de m'y installer car je ne doute pas du risque de remontée globale.

26 déc. 2020

Rien que le titre et j’ai l’impression d’entendre ma grand mère... 👵

27 déc. 2020

Et effectivement la situation est en fait plus grave que celle imaginée aux débuts des recherches, c'est donc toujours piquant de trouver des "chercheurs" isolés qui pensent avoir inventé l'eau tiède quand en fait ils étudient des exceptions au phénomène.

C'est un peu comme si un infectiologue marseillais déclarait "fin de partie" après avoir constaté seulement 6 patients aller mieux spontanément, sur une maladie qui par défaut ne tue "que" 5 patients sur mille, ça semblerait un peu court à toute le monde pour imagine que ces 6 là n'obéissent pas tout connement à la règle que respectent 995 patients sur mille.

Et bien là c'est un peu la même histoire, et quand des gens sérieux étudient le phénomène de la montée des eaux avec des méthodes et des données sérieuses, ben ça donne de suite quelque chose de moins cool :
www.futura-sciences.com[...]-82779/

28 déc. 2020

Je ne suis ni pessimiste , ni optimiste mais on voit quand même des tendances sur 60 ans:
Les blockhaus immergés sur nos cotes vont ils ressortir?

Phare du monde

  • 4.5 (139)

2022