Panne de moteur sur une très jeune licorne : Urgence ou Détresse ?

Belle manœuvre !
Quant aux parents...on va dire qu'ils se sont bien rattrapés^^!

Elle semble ne pas s'en faire, mais les parents devaient être fous de crainte pour leur fille.

Pour aller dans le sens d'une réponse, ce WE, le CROSS Corsen a émis un mayday pour une suspicion d'annexe dérivant au Nord de Bréhat.

A part ça je trouve très bien la démarche de l'équipage du bateau...

Mais je trouve que les moyens employés (2 bouées et des bouts de ficelles) sont très, très "amateurs" et peu professionnels !
Il n'y a pas de canot de sauvetage, de zodiacs, d'amarres dans ce ferry ???

Même pas besoin de courant, il suffit d'un peu de vent, vu le marnage de la "chose" !

Et partir à la nage pour poursuivre une embarcation qui part avec le vent est le meilleur moyen de "fabriquer" un noyé !!!
A NE JAMAIS FAIRE !!!
Il faut alerter les secours et trouver un bateau/zodiac/autre pour aller à sa recherche !

Je trouve aussi.

Il y a bien longtemps, lors du « boom » de la planche à voile, ma future femme alors SNSM m’a embarqué sur le zod pour ramener à la côte un jeune windsurfer en détresse. J étais chargé de ramener la planche à terre tandis que ma femme ramenait le naufragé au post de secours.
Qd la mère de l'infortuné a vu la planche de son fils atteindre la plage entre les mains d un inconnu, elle a piqué une crise sans que je n arrive ni à la calmer ni à lui expliquer la manoeuvre. Le père est alors arrivé en courant, près à en venir aux mains. Sale embrouille 😳

J'ai récupéré (avec le bateau de sécu à moteur) il y a quelques années (sur lac) un jeune gars costaud qui avait voulu rattrapper son voilier parti tout seul (posé sur la plage toutes voiles dehors) je peux vous dire qu'il était épuisé et que j'étais le bienvenu lorsque je suis arrivé à son niveau !

Une fois son souffle retrouvé nous sommes ensuite allés tranquillement chercher son voilier sur la berge opposée...
Sans danger, enfin !

Puisqu'on en est aux petites histoires...
Il y a bien longtemps, je bossais comme moniteur dans le club de plongée de Ten Bel (Ténérife; Canaries). Au large, un tombant qui descend à -35 mètres, fréquenté par un sacré courant.
On avait l'habitude d'aller y chercher des véliplanchistes : courant + vent de terre, et ils partaient pour l'Amérique. En général, ça se terminait au bar.
Une semaine, je suis allé chercher 2 fois le même Allemand. Pas de merci, pas de cerverza! La deuxième fois, il m'a même reproché d'avoir mis du temps à réagir son appel. Le lendemain, re belotte! cette fois, j'y suis allé avec Jean, le proprio du club. Son idée était de lui faire payer le retour de la planche. Mais le gars a refusé tout net. Alors Jean a pris la commande du zodiac et accéléré, laissant la planche sur place. Vu la carrure de l'ancien légionnaire qu'il était, l'autre n'a pas moufté.
On n'a pas eu de cerveza, mais curieusement, l'Allemand n'a plus eu de problème.