Salarier un chef de bord (encore?!)

Bonjour,

Je sais que ces questions sont redondantes sur le forum, mais je me trouve actuellement devant une impasse...
Je connais deux associations, qui ont pignon sur rue et sont largement connues des administrations maritimes locales.
Ces associations organisent des sorties en mer dans le cadre strictement privé de leurs adhérents, sur des voiliers de plaisance. Nous ne sommes donc clairement pas dans le cadre d'une activité commerciale.
Cependant, ces associations ont fait le choix de salarier leurs chefs de bord, pour des fonctions de responsabilité à bord de leurs voiliers.

Ces deux associations proposent des contrats de travail au régime général, en tant que "formateur" ou "chef de bord", mais sans exiger de diplôme particulier pour les-dits chefs de bord.
Ainsi, une personne reconnue comme compétente par les membres de l'asso, peut se retrouvée sans aucun diplôme maritime "chef de bord" salarié d'un navire de plaisance.

Toutes mes certitudes s'effondrent, car j'étais persuadé que n'importe quelle personne qui se retrouve payée pour avoir fonction de capitaine sur un navire, y compris en plaisance, y compris sans activité commerciale, devait nécessairement avoir soit un Capitaine 200 soit un BPJEPS (ou BE).

Or on me répond que je confonds "navire de plaisance" et "plaisance professionnelle".

Quelqu'un a une réponse ?

Une réponse documentée de préférence ?
Parce qu'il y a 24h, j'aurais été le premier à dire de manière péremptoire que c'est illégal, mais vu la bonne foi apparente de mes interlocuteurs, je ne suis plus sûr de rien...

L'équipage
29 mars 2022
29 mars 2022

Tu parles des Glenans par exemple ?

29 mars 2022

Non, aux Glénans les moniteurs de voile salariés sont à ma connaissance diplômés BPJEPS/BE, ou CQP.

29 mars 202229 mars 2022

Il me semble que le texte suivant pourrait répondre à la question.
C'est assez pénible à lire,et le tableau IX précise la situation pour les navires de plaisance de moins de 12 m.
www.legifrance.gouv.fr[...]780124/

Une piste de la FFV; qui elle-même émet des réserves quant à la bonne réponse à la question.
Il semble que l'activité proposée peut influer grandement sur le besoin de diplôme.

Et qui veut vraiment être chef de bord?
Second document qui ne s'intéresse pas qu'à l'aspect médical. :-(
L'aspect médical peut répondre aux interrogations exprimées par certains dans un autre fil de discussion.


Merci à Polmar pour cette synthèse intéressante.
Le BPPV n'existe plus et a été remplacé par quel diplôme, le C200 ?

29 mars 2022

Question préliminaire : l'association est elle affiliée à la FFV (ou autre Fédération sportive) ?
Si oui => cf la réglementation fédérale.

Si non => réglementation générale des activités (maritimes) sportives, associatives ou commerciales. (dans lesquelles la notion de "Chef de bord" n'existe pas...)

Autre question, primordiale : quel est le poste pour lequel il sont officiellement salariés, indiqué sur la fiche de paie ?

29 mars 2022

il y a bien 95 % des chef de bord, comme vosu ecrivez , dans la plaisance qui sont au black
je parle des francais sur le territoire francais ou etranger
et des etrangers sur le territoire francais
avec les urgences gratuite pour ce faire soigner
il y en a mème qui payer pour convoyer des bateaux ..... et ceux aujourd hui

y a t il eu un seul controle ..........soit par les affs mars
soit par la direction departementale du travail

dans la question je lis un diplome de chef de bord
chez les marins un diplome c est pour faire du temps de mer
et apres le temps de mer le marin a un brevet

je lis chef de bord ......ce n est pas une qualification dans le standard OMI

captainjpp

30 mars 2022

( je me demande parfois si le pseudo captainjpp n’est pas en fait un algorithme russe destiné a troller les forums, tant son discours est à la fois répétitif, hors sujet et dans un français plus qu’approximatif )
Bref passons.

Il apparaît effectivement clairement qu’un monitorat de voile permet légalement d’être rémunéré dans le cadre de l’enseignement de la voile.
Donc inversement il apparaît que pour être rémunéré il faut au minimum le cqp voile qui permet d’enseigner maximum 500 h par an et pendant les vacances scolaires. Après pour l’enseignement il y a le bpjps et le bee voile.
Le capitaine 200 ne permet pas d’enseigner.

30 mars 2022

Le CQP n'est qu'un assistant moniteur (c'est le titre exact), diplome valable que dans le cadre d'une asso affiliée à la FFV, et sous la responsabilité d'un directeur technique titulaire d'un diplôme d'état.
Il ne permet pas réellement de travailler ni d'être rémunéré, juste indemnisé.

C'est sûr que dans la voile, le flou règne, organisé par ces grands centres qui, sous couvert de démocratisation, ont besoin de pseudo bénévoles qu'ils exploitent pour vendre de la formation au rabais. Un jour viendra où le ménage sera effectué comme il a été fait dans d'autres activités sportives.

30 mars 202230 mars 2022

C’est curieux Marco9,
Je lis que le cqp peut être rémunéré dans le groupe 3 CCNS c’est à dire à smic + 18.25 %
ligue-voile-nouvelle-aquitaine.fr[...]-voile/

Après sur les assocs qui « profitent » des pauvres bénévoles, j’y mettrais une nuance. En général ces bénévoles valident gratuitement une formation qui leur coûterait plusieurs miliers d’euros. Si je ne m’abuse la formation cqp c’est facture 4000 euros et la formation BPjeps c’est plus de 10 000 euros.

30 mars 2022

500 heures max.

30 mars 2022

Oui totalement

30 mars 2022

Heureusement que un capitaine 200 avec bien sur quelques annees de cotisation Enim peut enseigner

Captainjpp

30 mars 2022

Du point de vue légal, c'est non. Enseigner une pratique sportive, en France, exige la possession d'un diplome.

30 mars 2022

Et effectivement, légalement le capitaine 200 ne permet pas d’enseigner.

30 mars 2022

Merci à (presque) tous pour vos contributions pertinentes.

Petites précisions en réponse à Marco9 sur le cas qui m'intéresse : On est hors FFV, et pour ce qui est de l'intitulé exact de la fiche de poste, dans un cas c'est "chef de bord", dans l'autre le ne sais pas précisément mais on m'a parlé de "formateur".

Polmar, merci pour les liens.
Le premier concernene les diplômes de marine marchande, et on peut lire :

" I. - Nul ne peut exercer à bord d'un navire battant pavillon français armé au commerce, à la plaisance, à la pêche et aux cultures marines des fonctions au niveau de direction, opérationnel ou d'appui, s'il ne possède les titres et attestations requis par le présent décret. "

Ce simple paragraphe, à mon sens, suffirait à clore le débat, mais mes interlocuteurs me disent qu'il s'agit du cas de la plaisance professionnelle, donc du transport de passagers payants sur navires NUC, et pas de simples navigation à titre privé sur voilier de plaisance.

Le pdf "activité croisière" de la FFV est un peu obsolète car il parle de l'époque de BPPV, qui a été remplacé il y a longtemps par le Capitaine 200 Voile.
Et il ne répond toujours pas à l'hypothèse d'un "chef de bord" (ou skipper, ou capitaine, c'est du pareil au même selon la jurisprudence dans le secteur de la plaisance depuis bien longtemps) qui serait payé pour une navigation privée sans passagers payants.

Le CQP-AMV (assistant moniteur de voile) à été transformé il y a environ 2 ans en CQP-IV (Initiateur Voile), avec les mêmes prérogatives mais sans la limitation concernant les publics scolaires.
Il permet bien d'être payé, mais sous la responsabilité d'un diplômé d'état (BE/BPJEPS).

Enfin, sur la question de savoir si un Capitaine 200 peut enseigner, j'ai posé la question directement aux affaires maritimes par mail, et la réponse est clairement non.
Ceci dit, là encore j'ai un exemple sous la main d'une personne qui propose des croisière ainsi que des formations navigation en tant que C200 sur un voilier NUC, et qui m'a affirmé être sûr de son bon droit. Apparemment il serait donc dans l'illégalité depuis plusieurs années, bien que connu des affmar locales. Mais c'est encore un autre sujet...

Pas facile de s'en sortir avec tous ça...

30 mars 2022

@Captainjpp, et aux autres.

Si l'OMI ne connait pas la qualification de chef de bord, la France la connait et en précise le rôle, cf. division 240-1.03 et 04; je cite:
Article 240-1.03
Exercice de la fonction de chef de bord
Le chef de bord s’assure, notamment :
– de l’adéquation de sa navigation avec les caractéristiques de son navire ;
– de la présence à bord, du bon état et de la validité de tous les équipements et matériels de sécurité embarqués ainsi que de leur adaptation aux personnes embarquées ;
– de la mise en œuvre desdits matériels lorsque les circonstances l’exigent.
Article 240-1.04
Exercice de la fonction de chef de bord pour un groupe de navires
La fonction de chef de bord peut être assumée par une seule personne pour un groupe de navires si toutes les
conditions suivantes sont satisfaites :
– L’activité a lieu dans le cadre d’activités d’enseignement organisées par un organisme d’État ou par une structure membre d’une fédération sportive agréée par le ministre chargé des sports ;
– elle concerne des voiliers ou embarcations propulsées principalement par l’énergie humaine de masse lège inférieure à 250 kg ;
– la personne exerçant la fonction de chef de bord est un encadrant qualifié au sens du code du sport. Il est embarqué sur un moyen nautique situé à proximité immédiate du groupe qu’il encadre, et peut effectuer sans délai une intervention pour mettre en sécurité les pratiquants.

Si je comprends bien, les escadre de voiliers écoles sont hors jauge puisque les voiliers ne sont pas principalement propulsés par l'énergie humaine et font plus de 250 kg.
En plus il faut une qualification certaine.

Reste à définir ce que pourrait être la qualification ad hoc!

30 mars 2022

Sur que un brevete mar mar marin
Avec bien sur un brevet valide
Pas chef de bord
Pas examen capt200
payant des charges enim peut former
En dessous de son brevret
Vous parlez de navifd nuc
Il y q aussi navire rif
Une formation voile et donc forcement navigation peut etre donnee par un capt200 sur un navire a la plaisance

Le ppv date de 1992 c etait un brevet STCW regulation STCW78

Depuis il y a eu Stcw 95 et aujourd hui nou
S en sommes a STCW10
Captainjpp

30 mars 2022

Un breveté marine marchande peut effectivement former le brevet en dessous, mais seulement à l'école et pour la formation professionnelle du brevet préparé par l'élève. Mais c'est un cas très particulier.
Les formateurs du module Voile du Capitaine 200 (Pour la pratique Voile) sont... Des BPJEPS/BE.
De plus, un diplôme de marine marchande ne suffit pas à enseigner le permis plaisance côtier pour les bateaux à moteur.

Ici, nous parlions de formation voile pour un public de plaisanciers.

@Polmar :
"Si je comprends bien, les escadre de voiliers écoles sont hors jauge puisque les voiliers ne sont pas principalement propulsés par l'énergie humaine et font plus de 250 kg."
Oui tout à fait, la notion de chef de bord unique pour une escadre de petits navires ne concerne en fait que la voile légère ou les sports de rame.
Par contre, une école de voile est libre d'évaluer les compétences de ses pratiquants et peut tout à fait nommer "chef de bord" une personne non diplômée, à partir du moment bien sûr où elle est bénévole. C'est la FFV il me semble qui impose le CQP pour l'encadrement bénévole, mais d'apres le code du sport une école non affiliée FFV peut nommer n'importe qui "moniteur de voile", sous sa responsabilité propre.

30 mars 202230 mars 2022

L'organisation du sport en France faisait partie du BEES 1, et doit certainement faire partie de l'examen actuel BPJEPS. Mes connaissances à ce sujet sont aujourd'hui dépassées, mes documents également.
C'est le privilège d'une fédération sportive que de former ses encadrants et formateurs, donc non "n'importe qui" n'est pas nommé moniteur, mais seulement celui qui correspond aux critères définis par la fédé. Elle définit également son propre cycle de formation, ses niveaux de pratique, ses règles de sécurité, etc. La FFV a son CQP, j'ignore ce qu'il en est pour les autres fédérations.
J'avais appris à l'époque qu'un diplôme fédéral ne pouvait pas donner droit à une rémunération, celle-ci étant réservée aux personnes titulaires d'un titre professionnel validé par l'état. C'est ainsi que j'ai été rémunéré par une école fédérale pour une activité d'animateur (!) tandis qu'en réalité je bossais comme moniteur.
Je suppose l'influence de la FFV très puissante pour avoir réussi à avoir décroché une exception. Je ne connais pas de cas d'autre sport bénéficiant d'un tel avantage.

"La formation aux manœuvres et formation Chef de Bord ne sont autorisées sur un navire NUC."
Je suis surpris.
D'une part parce que j'ai appris sur un bateau NUC, avec un moniteur titulaire du BPPV et du BEES, dans une école qui était certainement une référence en son temps, et j'en suis certain parfaitement dans les règles (école non associative).
D'autre part, ce qui différentie un voilier NUC de son sister-ship appartenant au quidam quelconque, consiste dans un armement et un équipement de sécurité nettement supérieur pour le NUC. Mieux équipé et skippé par un pro, je ne vois pas pourquoi brider les compétences d'un moniteur pro en lui interdisant une formation CdB (c'est quoi, une formation pour un diplome qui n'existe pas ??? ) ou manoeuvres (même question).
Quand je suis allé en stage dans une asso FFV, ça m'a fait tout drôle de constater la légèreté tant dans la compétence de l'"assitant moniteur" de 19 ans, que dans l'épaisseur du gilet et l'état du voilier.

30 mars 2022

@MArco9 :

"La formation aux manœuvres et formation Chef de Bord ne sont autorisées sur un navire NUC."

En fait, dans le contexte, je pense que la personne voulait parler d'un navire NUC dont le chef de bord est un Capitaine 200, et non un BPJEPS.
Comme tu le dis très bien, la principale différence entre le NUC et le navire de plaisance porte sur les normes de sécurité.
Mais pas seulement: aussi, quand un navire navigue sous statut "NUC", donc avec un "permis de navigation" (contrairement à un "plaisance" qui a une "carte de circulation"), ça implique de facto un équipage professionnel au sens de la marine marchande (C200 minimum).
Par contre, il est possible qu'un même navire ait à la fois un permis de navigation pour les moments où il est en utilisation commerciale, et une carte de circulation pour les moments où il est en utilisation plaisance (ou formation s'il est rattaché à une école de voile). C'est le cas d'un certain nombre de voiliers qui font une activité commerciale en été, mais dont les propriétaires veulent aussi profiter pendant leurs vacances à titre privé.

Une école de voile est un "Établissement d'Activités Physiques ou Sportive", et il suffit d'une simple déclaration pour qu'une association ou une entreprise le devienne.
L'affiliation à une fédération n'est pas obligatoire. Les Glénans sont une fédération à part entière, ainsi que d'autres grandes écoles de voile indépendantes, mais il existe aussi de petites structures affiliées ni à la FFV ni à aucune fédération.
Dans ce cas, elles définissent elles-mêmes les compétences et les prérogatives de leurs moniteurs, dans le cadre du Code du Sport évidemment.

30 mars 2022

C'est donc le skipper qui n'a pas le droit d'enseigner s'il ne possède que le BPPV ou C200. Rien de neuf. Par contre, s'il a en plus un BEES ou équivalent il peut, en plus de conduite un NUC, faire de l'enseignement. Reste que cette réponse fait référence à une formation "chef de bord", laquelle n'est pas définie ailleurs que dans les plans de formation d'une fédération (étonnant, non ? ). Nul besoin d'un titre ni d'une formation pour être "chef de bord" : suffit de voir son nom écrit dans le livre de bord! A noter cependant que j'avais appris quelque part que le tribunal pouvait reconsidérer la chose, et que la personne la plus compétente à bord pouvait se voir considérer comme le véritable capitaine du navire, en cas d'accident...

Je ne crois pas que "les Glénans" soit une fédération. Ils indiquent d'ailleurs sur leur site "Les Glénans
Association loi 1901 reconnue d’utilité publique et agréée par le Ministère de la jeunesse et des sports"
qui est manifestement affiliée à la FFV .

J'ai du mal à croire également qu'une petite structure non fédérée puisse définir les compétences de ses moniteurs : c'est réservé aux fédérations ayant reçu une "validation" (j'en ai oublié le terme exact) par l'état. En tout cas, si je sais avoir le droit d'ouvrir une école de plongée (j'ai les diplomes pour), jamais je n'ai appris que je pouvais former mes propres moniteurs ou encadrants : c'est je le répète, réservé aux fédérations ayant reçu l'agrément (terme?) de l'Etat.

30 mars 202230 mars 2022

Oui, dans le cas que je décrivais il s'agit d'une formation "chef de bord" qui n'a pas de valeur certifiante, et encore moins diplômante.

Concernant les Glénans, je confirme qu'ils se sont montés en fédération indépendante, j'y ai passé mon BPJEPS en 2021. Par contre ils ont tout un tas de partenariats avec la FFV (des genre de conventions bilatérales) qui leurs permettent notamment de valider les niveaux de voile "FFV". Mais si tu vas sur le site de la FFV www.fairedelavoile.fr[...]un-club , tu ne trouvera pas les Glénans.

Extrait du Code du Sport :
www.legifrance.gouv.fr[...]761012/

Dans chaque établissement, l'exploitant désigne une personne responsable technique qualifiée chargée d'assurer le déroulement de l'enseignement dans les conditions définies par la présente sous-section. Plusieurs responsables techniques qualifiés peuvent être nommés, chargés chacun d'assurer la responsabilité technique respective d'une partie des activités nautiques enseignées.
Pour l'enseignement en plaisance légère, l'encadrement s'effectue à partir ou à proximité d'une embarcation adaptée à l'animation pédagogique et à l'intervention immédiate, à l'exception des activités nautiques comme le funboard, qui supposent un dispositif d'intervention particulier.
Le personnel d'encadrement rémunéré des établissements est titulaire d'une qualification conforme à l'article L. 212-1.
L'encadrement pédagogique bénévole des établissements dépendant d'une fédération ou d'un organisme national agréé en application de l'article R. 131-3 est titulaire d'une qualification définie par cet organisme pour l'activité concernée.
Dans les autres établissements, l'exploitant détermine et vérifie sous sa propre responsabilité les niveaux de qualification ou de compétences requis en fonction de l'activité proposée.

31 mars 202231 mars 2022

Les Glénans ne font pas partie des 115 fédérations sportives agréées.
C'est un regroupement national comme il en existe 22 autres.
www.sports.gouv.fr[...]

Il n'a donc pas les prérogatives d'une fédération sportive agréée : pour former ses propres encadrants et quelques autres petites choses, elle doit passer par la FFV (ou un syndicat professionnel).
Qu'ils soient centre de formation et d'examen BPJEPS est une autre chose.

Ta phrase en gras signifie simplement qu'il revient à l'exploitant de la structure de savoir retrouver (déterminer) quelles sont les exigences légales d'encadrement en fonction de l'activité envisagée, et de vérifier que le personnel engagé les possède.

31 mars 2022

Merci pour la précision Marco9, il semblerait que les choses aient changées parce qu'on peut encore trouver les documents suivants sur internet (sans date) :
ile-de-france.drjscs.gouv.fr[...]s08.doc
www.ucpa.asso.fr[...]017.pdf
Les Glénans apparaissent à cette époque comme une fédération sportive affinitaire... La dernière mension que je peux trouver date de 2012.

Du coup, je n'arrive pas à trouver ce que signifie un "groupement national" et quelles sont les spécificités par rapport à une fédé à part entière ?

Enfin bref, on s'égare du sujet de base !

Je n'ai toujours pas trouvé de texte qui régis clairement l'activité professionnelle à bord d'un navire purement de plaisance, pour une navigation d'ordre privée (sans passagers payants).
J'ai posé la question aux AffMar, la réponse devrait arriver d'ici quelques jours ;)

04 avr. 2022

@SailCamille,
"Mais si tu vas sur le site de la FFV , tu ne trouvera pas les Glénans."

Bah si

04 avr. 202204 avr. 2022

Ah bah mince alors !
Je les avait pas trouvé ni à Concarneau, ni à Paimpol, ni à Arz... Je n'avais pas pensé à regarder tout bêtement sur l'archipel.
Bon, bah il faut croire que j'ai des des bêtises à propos des Glenans.
Apparemment ils sont aussi affiliés à la FFCK pour les activités kayak.

Après enquête (dans ma tête), il me semble que j'ai confondu fédération et ligue.
Les Glénans font bien partie de la FFV nationale, mais se sont co situés en Ligue à part entière, et les bases locales n'appartiennent donc pas aux ligues régionales (ligue Bretagne, etc.).
Ce qui fait notamment que pour la délivrance de les certification d'evaluateur technique, ou de formateur régional, ils font ça "de leur côté" (puisque ce sont des prérogatives de ligue).

30 mars 2022

Desole je connais pas de brevet chef de bord
Captainjpp

30 mars 2022

Pour info la réponse que m'a fait les Affaires Maritimes à la question "Est-il possible de proposer des formations voile/navigation avec un Capitaine 200 voile ?"

"
Qu'est-il possible de faire avec un CAP 200 VOILE ?

  • les prérogatives du CAP 200 Voile sont : la conduite d'un navire à voile d'une jauge brute inférieur à 200 UMS, ne transportant pas plus de 30 passagers, et navigant à moins de 200 miles des côtes pour : les pratiques correspondent à une navigation de tourisme et de loisir telles que les promenades en mer, les croisières avec skipper, les navires de pêche de loisir au gros, les yachts, sur un navire professionnel NUC disposant d'un permis d'armement commerce au sens du 3.3 de l'article 1 du décret 84-810. Toutefois, il est toléré uniquement et accessoirement sous la responsabilité du Capitaine de faire participer les passagers aux manœuvres du navire, mais celle ci ne doivent en aucun cas êtres mises en avant dans une publicité quelconque. La formation aux manœuvres et formation Chef de Bord ne sont autorisées sur un navire NUC.

La "FORMATION "ne peut se faire que sur un navire de plaisance et :

  • dans le cadre des activités d'un établissement d'activités physiques ou sportives, mention à l'article L322-2 du code du sport, qui organise à titre principal et à des fins de formation la pratique d'une activité aquatique, nautique ou subaquatique ou les établissements de formation agréé pour l'obtention de titres plaisance. Sont exclus de ce cadre le transport de passagers ou la navigation touristique sans lien direct avec la pratique pré citée . Les pratiques entrant dans ce champ sont les navires écoles de voile, les navires de club de formation à la pratique subaquatique, les bateaux écoles, les navires de formation à la pêche de loisir en mer, les navires encadrant une randonnée..........

Le titre requis pour le Capitaine est : BPJEPS (brevet professionnel jeunesse de l’éducation populaire et du sport) en rapport avec l'activité ou Brevet d’État Voile
"

31 mars 2022

De la lecture du fil de discussion, je retiens que, en cas de pépin à bord, ét même sur le ponton, il n'y aura que le juge qui dira quelle est la vérité.

Il me semble préférable d'être diplômé pour embarquer des équipiers :-(
Mais avec un risque supplémentaire d'être considéré comme "sachant", donc plus coupable :-(.

A retenir, conserver au maximum un moyen d'alerter les autorités quelque soit l'endroit.
Je suppose que le plus simple et d'alerter un CROSS de France qui relaiera l'alerte, il y a maintenant le 196 qui est un n° tél dédié à la mer. Amha quand un problème sérieux survient avec danger vital, si le CDB alerte immédiatement, ce ne peut être que "favorable" sur le déroulé des évènements.

Pour la question du statut officiel et encadré du métier de moniteur-formateur-skipper en France, il y a clairement un vide, c'est peut-être ce qui explique le foutoir constaté dans les organismes même considéré comme "référence historique".

31 mars 2022

Je ne vois pas de vide, les choses me semblent assez claires (cf la réponse faite à SailCamille plus bas). Le foutoir est organisé par quelques organismes qui cherchent à diminuer leurs frais, quitte à ne pas franchement respecter la réglementation en vigueur.

Le vide c'est qu'il n'y a pas un statut de moniteur de voile qui soit la même référence pour toutes les structures. OK pour les BE et BPJEPS, là c'est clair, mais à un niveau "inférieur" comme pour les "assistants moniteurs" , c'est un peu chacun sa sauce.
En fait ce niveau d'entrée aurait put avoir un intérêt supplémentaire, en plus de permettre d'être un CDB avec des élèves, il aurait put constituer un repère technique de premier niveau de compétence en voile pour les plaisanciers qui cherchent à se former. Or ce qui existe est fait dans le but d'avoir des CDB de rechanges et disponibles pour encadrer dans l'association qui proposent ce cursus. Du coup si l'objectif du stagiaire est plus personnel cela ne les intéresse absolument pas de "bien" le former. En tout cas c'est ce que j'ai clairement constaté.

31 mars 2022

Le nuc est un navire au commerce
Le rif aussi
Donc equipage professionnel
Ils sont tout deux exonere de tva
Ce nest pas une recuperation de tva
Aussi pour le gas oil
Gas oil bleu le meme qur les pecheurs

Je me repte peut etre mais en Stcw il y a le marin diplome qui a le droit de trouver un embarquement d eleve pour valider
Et quand sont diplome est valide il est alors brevete

Et pour valide il faut un bateau prof
Ou eventuellement un bateau plaisance avec un capitaine qui fait tourner son role donc qui paye enim.et qui embarque un eleve et lui signe les temps de nav
Captainjpp

31 mars 2022

Captainjpp, je vais recopier ce que j'ai écrit plus haut :

Un breveté marine marchande peut effectivement former le brevet en dessous, mais seulement à l'école et pour la formation professionnelle du brevet préparé par l'élève. Mais c'est un cas très particulier.
Les formateurs du module Voile du Capitaine 200 (Pour la pratique Voile) sont... Des BPJEPS/BE.
De plus, un diplôme de marine marchande ne suffit pas à enseigner le permis plaisance côtier pour les bateaux à moteur.

Tu as tout à fait raison, un marin diplômé fait des "temps d'élève" à bord d'un navire professionnel pour valider son brevet. Mais dans ce cas l'élève a déjà un diplôme, et il n'exerce pas la fonction e' responsabilité qui correspond à son futur brevet. Par exemple pour valider le C200, on doit naviguer comme matelot ou second, mais on est pas "Capitaine en formation" sur le rôle d'équipage.
Je n'ai pas été élève sur les brevets supérieurs, mais j'imagine que c'est le même système ?
Et quand bien même, tu parles du milieu très particulier de la marine marchande, alors que le sujet ici est la formation plaisance : apprendre à un plaisancier à faire de la voile, ou des manœuvres de port, sans délivrer de certificat ou de diplôme à la fin.

Pour la tva et le carburant, je ne vois pas le rapport avec la choucroute ??

31 mars 2022

Bon, après quelques péripéties, j'ai fini par avoir le fin mot de l'histoire (enfin je crois).
Suite à mes nombreuses questions par mail, j'ai eu deux personnes des affaires maritimes au téléphone (service activités maritimes et service des contrôles).
Il ressort que:
- Une association peut tout à fait naviguer entre membres bénévoles sur un voilier plaisance, le chef de bord n'ayant pas de qualifications particulières (rien de neuf de ce côté là, c'est de la navigation à titre privé).
- À partir du moment où le chef de bord est payé (même si c'est en tant que salarié de l'association pour des activités à terre) au moment où il est à bord (donc c'est sur son temps de travail, pas pendant ses congés), il devient de facto marin professionnel.
Là, selon le type de navigation (promenade ou formation), il faut soit un C200 soit un Bpjeps.
Et si c'est un C200, il doit nécessairement cotiser à l'Enim.

Ce qui ressortait aussi de cet échange, c'est que le cadre associatif est assez mal connu même pour les affaires maritimes, et difficilement contrôlable.
En gros, faites ce que vous voulez tant que tout va bien, mais attention en cas de gros pépin tout le monde (assurances, affmar, urssaf...) risque de vous tomber dessus.

Mes interlocuteurs conseillaient le statut de marin indépendant (via une société individuelle, autre que auto-entrepreneur) pour un C200 qui intervient dans ce cadre associatif/privé, car le salariat Enim est plus lourd à prendre en charge si on n'est pas une entreprise maritime.

31 mars 2022

Je ne sais pas ce qu'est un "regroupement national", mais manifestement ses prérogatives ne sont pas celles d'une fédération agréée.

Le cadre associatif est mal connu des organismes pour professionnels. Le contrôle est assez simple à opérer : les DRJSC sont là pour ça, leurs inspecteurs connaissent bien le sujet, eux. Mais on est en France : le contrôle est mal vu, tandis que parvenir à tricher est signe de bonne santé mentale; et malheur à qui dénoncerait le déloyal : il se verrait taxer de vichyste par un malcomprenant de l'Histoire.

31 mars 2022

Tes interlucuteur te font taper en touche
Il ne te souhaite pas

C est tellement facile detre independant marin brevete
Payer ces charges enim
Sur n importe quelle bateau de plaisance n importe qelle pavillon
En non propre
Sans societe
Bien sur on ne parle pas de salaire
Puisque independant
Par contre c est sur il faut payer les charges du capitaine et de l employeur

Telleement faible

Pas valable pour embarquer sur un nuc
Il faut un contrat et bulletin de salaire
Caotainjpp

31 mars 2022

SailCamille, la boucle est bouclée et tu as ta réponse.
Je comprends que ton interlocuteur "bien documenté" et "sûr de lui" du message initiant le fil de discussion est dans l'erreur; et toi tu était dans le vrai! :-)

31 mars 2022

Bouclee...quand on melange diplome et brevete
Marin sans livret maritime
Salaire pour un independant
Ect ect
Captainjpp

31 mars 2022

@captainjpp, personne ne mélange diplôme et brevet, en tout cas pas moi...
Tes interventions comme toujours sont difficiles à cerner puisque tu parles par énigmes, cependant il y a une chose sur laquelle tu pourrais m'éclairer:

"C est tellement facile detre independant marin brevete
Payer ces charges enim
Sur n importe quelle bateau de plaisance n importe qelle pavillon
En non propre
Sans societe
Bien sur on ne parle pas de salaire
Puisque independant
Par contre c est sur il faut payer les charges du capitaine et de l employeur
"

Tu peux m'expliquer comment on s'enrôle soi-même (si j'ai bien compris), sans passer par une entreprise ou société ?
En son nom propre ?

Parce que dans mes échanges avec les Affaires Maritimes, ils me parlent d'un statut de marin indépendant avec entreprise individuelle ou société.
Je cite :
"Le marin CAP 200 ou CAP 200 VOILE qui souhaite proposer ses services pour faire un convoyage ou de la location avec Skipper peut se déclarer en qualité de marin indépendant sur le site "marin urssaf" www.marins.urssaf.fr[...]il.html , après avoir créer son entreprise individuelle ou sa société (auprès de la CCI) obtenir un N° de SIRET en qualité de Skipper professionnel et devra préciser sur quel navire il effectue sa prestation."

31 mars 2022

Je viens de voir ce fil et je crois que, pour comprendre la réglementation actuelle, il est nécessaire de remonter l'historique des diplômes ou brevets qui concernent l'enseignement de la voile ou la pratique rémunérée de la fonction de skipper (ne jouons pas sur les mots svp).
Au tout départ, il n'y avait que 2 brevets permettant l'enseignement de la voile (je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître...).
1) Le CAEV (certificat aptitude à l'enseignement de la voile), qui permettait d'enseigner la voile à titre bénévole dans une structure fédérale sous la responsabilité d'un breveté d'état. Ce certificat a été remplacé par le monitorat fédéral (aujourd'hui le CQP). J'ai moi-même passé mon CAEV en 1974.
2) le monitorat national de voile qui permettait d'enseigner la voile à titre rémunéré dans une école de voile qu'elle soit fédérale ou privée (par ex. une école de croisière comme il en existe tant)
Le monitorat national permettait aussi de former des brevetés CAEV.
Les différentes évolutions du monitorat national permettait ensuite d'évoluer vers les brevets d'entraineur régional puis d'entraîneur national.
Ce monitorat national a évolué par la suite (années 80) pour devenir le BEES voile 1er degré (les 2e et 3e degrés correspondant aux différents brevets d'entraineur régional ou national). C'est devenu aujourd'hui le BPEJS avec ses différents niveaux.
Seuls ces brevets ou diplômes permettent d'enseigner la voile à titre rémunéré dans une structure d'école de voile.
Il ne faut pas confondre avec les diplômes de skipper qui n'atteste en rien d'une aptitude particulière à l'enseignement de la voile mais d'une aptitude à mener un bateau à titre rémunéré selon les critères Marine Marchande qui ne s'occupe en rien des aptitudes pédagogiques dudit skipper.
En France ce fut d'abord le BPPV qui a été mis sur pied pour pallier la carence de diplôme professionnel voile (de nombreux skippers pros des années 70 ou début des 80's se contentaient de passer le brevet de pêcheur dans les écoles de pêche). On a donné au départ ce brevet à de nombreux skippers et équipiers de bateaux de course reconnus de l'époque. (tous les équipages des premiers multis de courses ou ayant courus régulièrement les grandes classiques type RORC, FASNET, Rolex Cup ont ainsi pu obtenir les premiers brevets pro de skipper BPPV. J'en ai fait partie en 81. C'était un peu un ancêtre de la validation des acquis)
Au niveau fédéral, la seule structure autorisée à former les BPPV était alors l'Ecole Nationale de Voile à Quiberon.
Par la suite le brevet BPPV a évolué en Capitaine 200 et son niveau supérieur Capitaine 500 (et éventuellement second capitaine 3000 et capitaine 3000).
C'est le diplôme qui permet d'exercer le rôle de skipper pro à bord d'un bateau (à voiles ou à moteur) à titre rémunéré que le bateau soit NUC ou pas.
Bien évidemment, un skipper pro à la possibilité de transmettre ses connaissances aux équipiers qu'il a à son bord mais ce n'est pas officiel. En tant que skipper pro par contre, il endosse l'entière responsabilité de ses actes à bord... Il peut exercer sa profession en société individuelle ou en autoentrepreneur...
Aujourd'hui on a rajouté les brevets fédéraux d'initiateur (qui sont des CQP) qui permettent d'embarquer à titre rémunéré sur le voilier d'un particulier pour lui mettre son voilier en main par exemple.

31 mars 2022

Merci Rouletaquille pour cet historique, je ne connaissais pas le CAEV ;)

Par contre je ne te suis pas sur le dernier paragraphe :

"En tant que skipper pro par contre, il endosse l'entière responsabilité de ses actes à bord... Il peut exercer sa profession en société individuelle ou en autoentrepreneur..."

Entreprise ou société individuelle, oui, "auto-entrepreneur", non. C'est une des limitations de ce statut, qui ne peut (malheureusement ?) pas s'appliquer au C200.

Aujourd'hui on a rajouté les brevets fédéraux d'initiateur (qui sont des CQP) qui permettent d'embarquer à titre rémunéré sur le voilier d'un particulier pour lui mettre son voilier en main par exemple.

Pour faire de la prise en main sur un voilier privé, il faut à minima le BPJEPS.
En tout cas, en tant qu'indépendant. On peut peut-être envisager de le faire avec le CQP-IV (c'est la dernière version du MF, puis CQP-AMV), mais seulement sous la responsabilité d'un BPJEPS.
À moins que tu parles d'un autre CQP que je ne connais pas ?

Concernant la possibilité d'un skipper "C200" de transmettre ses connaissances aux équipiers qu'il a à son bord, c'est effectivement comme tu le dis possible à titre officieux et anecdotique, mais ça ne doit pas être mis en avant, et le skipper est entièrement responsable si le client se blesse.

31 mars 2022

Pour ce qui est des derniers CQP tu as certainement raison. Je n'ai pas tout à fait suivi les dernières évolutions car aujourd'hui je ne navigue plus qu'à titre privé et me suis quelque peu éloigné des réglementations actuelles.
Enfin, la tendance chauvine de certains fait oublier qu'il existe le très recommandable diplôme du Yachtmaster anglais délivré par l'UKSA. C'est un excellent diplôme qui est reconnu officiellement partout dans le monde et qui permet à la fois d'enseigner et de naviguer en tant que skipper pro.

01 avr. 2022

Par contre une inexactitude : les titulaires d’un CQP sont rémunérés.

31 mars 2022

Yacht master n est pas dans le stcw10
Skipper prof n est pas dans le tcw 10

Yacht master vous payez quelques chose au anglais qui ne vaut absolument rien meme pas un permis de conduire un tender avec 7 cv

Skipper prof c est bien pour travailler ou essayer de travailler au black
Que de bettise ecrite.....
Captainjpp

01 avr. 2022

Visiblement captainjpp ne connait rien au métier de skipper.
Ses interventions sont comme toujours très incompréhensibles.
Il nous gonfle avec son stcw10 qui n'est qu'une qualif introduite par les américains dont on ne sait même pas si elle s'applique dans tous les cas rencontrés...
Le Yachtmaster offshore avec sa qualif la plus haute et commerciale est d'un niveau bien plus élevé que le capitaine 200 et, oui, il faut parler anglais pour passer le yachtmaster (il est délivré par la RYA, Royal Yachting Association) mais comment faire autrement si on veut travailler à l'international?
Aujourd'hui, on peut prendre tous les skippers (ou capitaine) de yachts de la côte d'azur et on n'en trouve pas un seul qui n'ait pas le fameux yachtmaster car toutes les compagnies de charter dans le monde ont comme référence le fameux yachtmaster offshore avec le commercial endorsment...
Au niveau formation, sans oublier les formations de base en voile et nav, et particulièrement concernant la sécurité à bord, l'hygiène ainsi que le droit maritime et douanier, seul le fameux yachtmaster offshore aborde ces sujets aussi profondément alors que ça n'est abordé que très succintement dans le capitaine 200 qui ne parle pas, par exemple, des procédures de sauvetage en mer par hélico, ni de comment attaquer un feu à bord...
J'ai travaillé plus de 40 ans comme skipper pro sur différents bateaux et yachts dans le monde entier et avec mon BPPV j'avais beaucoup de mal à me faire embaucher même en France et même avec des références prestigieuses d'embarquement aux côtés de skippers amis très connus dans le monde de la voile et en ayant couru moi-même très longtemps... En revanche dès que j'ai eu mon yachtmaster offshore ce sont les compagnies de charter qui m'ont démarché et j'ai travaillé tout de suite aux Îles Vierges américaines où je suis resté pendant deux ans car l'avantage du yachtmaster, c'est que vous rentrez dans des bases de données alors qu'avec le capitaine 200, vous avez le papier en poche et puis quoi ensuite?
Donc captainjpp, avant de bassiner le monde avec vos références obscures et incompréhensibles allez d'abord vous confronter à la réalité des marchés de la plaisance pro

01 avr. 2022

Le seul pays sur notre planete qui n est pas signe l a convention omi sur 157 pays qui l on signe sont les us

Pas de chance mon ami
Captainjpp

01 avr. 2022

Quand au STCW 10 americain
Je ne peux que me pisser au froc

La plaisance prof .....aujourd hui

Navigation en croatie
Sortie un navire de l eau
Et dans quelques minutes repas poisson de med
Et ensuite sea trial viresse max 34 nd

Puis mon jet me ramene cote d azur
Captain jpp

01 avr. 2022

bref un aigri de plus...
Quant au stcw, il a bien été introduit à l'époque (en 1978) à la demande des américains suite aux trop nombreux incidents ou accidents de mer au large de leur côtes. Après ils sont sortis du circuit car ils ont leurs propres certifications Coast Guards et pratiquent un protectionnisme parfois contestable.
Mais je crois que vous prenez le problème à l'envers et méconnaissez quelque peu la réglementation, surtout en ce qui concerne la plaisance pro qui existe bien quoique vous en disiez. Quand vous louez un voilier ou une vedette vous faites appel à la plaisance pro, quand vous embarquez un personnel de bord pro vous faites appel à la plaisance pro, quand vous vous allez dans un chantier naval vous faites appel à la plaisance pro, quand vous faites du charter aux Antilles vous faites appel à la plaisance pro, etc...
En France la législation est claire. Elle est définie par le ministère de la mer: "nul ne peut exercer à titre professionnel des fonctions de bord sur un navire qu'il soit de commerce, de plaisance ou de pêche s'il n'a pas les qualifications requises..."
Le STCW ne parle que des règles de sécurité et de veille en vigueur à bord des navires à usage pro (principalement les navires type paquebots, cargos ou autres du même type) et du fait que les personnels (y compris les personnels portuaires) ont bien reçu les formations requises par l'exercice de leur métier.
Le STCW ne répertorie nullement les brevets ou diplômes divers de capitaines, skipper, commandant de bord, capitaine de port ou autres délivrés par les différents pays.
En revanche certaines des formations qui entrent dans ces diplômes ou brevets reçoivent la certification STCW ce qui garanti que les gens qui ont reçu ces formations seront compris à peu près partout dans le monde.
Comme son acronyme le dit, STCW c'est Standards for Training, Certification and Watchkeeping c'est à dire des standards que tout le monde devrait appliquer en matière de sécurité à bord. C'est tout!

01 avr. 2022

Completement faux

Captainjpp

01 avr. 2022

Quels sont vos prerogatives mon ami

Captainjpp

01 avr. 2022

Apres on palera de securite
Captainjpp

01 avr. 2022

juste participer à quelques discussions sur la plaisance avec des gens sympas qui aiment le milieu de la mer et des bateaux.
Si en plus je peux apporter quelques précisions utiles sur certains sujets, je serai ravi de le faire ayant été un professionnel de la voile et de la course au large pendant plus de 40 ans.
En général les gens de votre acabit qui ont un avis sur tout en se disant pro, je les maintiens d'emblée à bout de gaffe mais certains sont devenus aussi des amis avec qui je navigue encore régulièrement pour le plaisir...

01 avr. 2022

Maintenant il serait bon de revenir au sujet de ce fil qui était salarier un chef de bord...
Pas de publier des photos de soi sur sa grosse vedette à moteur

01 avr. 2022

Bon, j'espérais passer à côté de la controverse YachtMaster, mais nous y voilà !
C'est un sujet complexe car quand on s'adresse aux administrations françaises ils nous disent que ça n'a aucune valeur, alors que la réalité du marché du travail dit tout le contraire...

Concernant l'enseignement, les centres de formation Yacht Master en France sont considérés au même titre que des écoles de voile. Il semblerait donc qu'il soit possible d'enseigner en France sans le BPJEPS, puisque les formateurs et évaluateurs YM ont leurs propres cursus de formation, qui semble reconnu par Jeunesse et Sport.

Concernant la pratique commerciale, c'est une autre histoire.

La législation française dit qu'à partir du moment où vous êtes français résidant en France, si vous travaillez dans les eaux territoriales françaises, quel que soit le pavillon de votre navire, vous devez vous conformer à la réglementation française en matière d'armement de sécurité et de brevets.
Or, il se trouve que la France ne reconnaît pas le YM, même avec le Commercial Endorsment, car la France reconnaît uniquement les diplômes sous norme STCW.

Le STCW ne se limite pas à définir les règles de sécurité, il donne aussi la base minimum du contenu théorique et pratique des formations de marin, qui sert à chaque pays à élaborer son propre panel de diplômes et brevets.

La France reconnaît par contre (via un visa de reconnaissance des AffMar) le Master 200 GT, qui est une qualification aux normes STCW, et qui peut se passer après un simple examen oral si on a déjà le RYA Yachtmaster offshore (ou un IYT Master of Yacht) commercially endorsed.
En tout cas, c'était vrai jusqu'au Breixit...

Pour pouvoir travailler avec un brevet étranger en France, il faut donc avoir un visa de reconnaissance officiel des Affaires Maritimes.
Ce visa n'est accordé qu'aux formations STCW, et malheureusement pas à chaque fois et pas à égalité pour tous les pays, car l'administration française est reconnue comme plutôt sectaire sur ce sujet.

Après, que chaque pays à l'étranger ait choisi de reconnaître le Yacht Master (même sans certification STCW), c'est leur affaire. Et c'est effectivement une réalité dès qu'on dépasse les frontières françaises...

01 avr. 2022

"Il semblerait donc qu'il soit possible d'enseigner en France sans le BPJEPS, puisque les formateurs et évaluateurs YM ont leurs propres cursus de formation, qui semble reconnu par Jeunesse et Sport."

je n'y crois pas. Il est plus que probable que les formateurs du YM en France soient titulaires d'un brevet d'état leur permettant d'ouvrir une école en France. Il suffit de le leur demander, ou de regarder les diplômes affichés dans la salle. Et dans ce cas, ils utilisent le plan de formation qu'ils veulent, y compris en suivant une référence étrangère.
La formation n'a pas à être reconnue par la JS : elle n'est pas obligatoire.

Si si Marco, ils ont bien une formation Instructeur RYA et enseignent en France le cursus mais l'enseignement est en Anglais.
www.sailingschoolbrittany.com[...]he-team
Il n'est pas fait mention de BE voile Français, et pour avoir discuter souvent avec lui, il n'a jamais fait mention de ce point.
Les centres sont bien rattachés au Ministères de la jeunesse et des sports en France, c'est à dire que c'est considéré une activité de pratique "sportive" avec ses propres formateurs.

Une remarque concernant spécifiquement le IYT. Il est clairement fait mention que le Yacht master est "recreational" et ils demandent à chaque candidat de signer une prise de connaissance de cette limitation.
"It has come to our attention that it has not been made perfectly clear to all IYT Worldwide yachtmaster candidates that this certification is for recreational use only and may never be upgraded to a professional certificate. Therefore, we require all candidates taking a recreational IYT Worldwide Yachtmaster Coastal, Offshore or Ocean course to complete an acknowledgement prior to taking the course."
Au RYA, il n'y a pas cette distinction recreational/professional.

01 avr. 2022

"Si si Marco, ils ont bien une formation Instructeur RYA "

Qu'ils possèdent les diplômes RYA ne fait aucun doute. Mais cela n'empêche pas qu'ils aient un BE français, dont ils ne font pas mention, n'étant pas leur produit à vendre.
Le ministère JS ne reconnait certainement pas le RYA, pas plus qu'il ne reconnait le PADI en plongée (PADI pourtant indispensable là où la clientèle n'est pas française...)

01 avr. 2022

Et oui @Sailcamille et @Marco9, si on parle de skipper ou de chef de bord rémunéré, on finit à un moment ou un autre par tomber sur le problème BPJEPS vs Capitaine 200 et forcément, à moment donné, par interroger la possibilité du YM.
La polémique a d'ailleurs été créée initialement par les différents ministères français qui ont chacun revendiqué être les seuls à dispenser la meilleure formation.
La Jeunesse et les Sports disaient que la voile relevait de leurs compétences et ont proclamé haut et fort que seul le diplôme BEES 1, 2 et 3 était le plus à même de certifier un enseignant de voile sauf qu'à l'époque où ils ont dit cela il n'y avait en France aucun diplôme officiel pour être skipper de voilier de croisière (à part à l'ENV de Quiberon qui proposait une formation sérieuse de chef de bord croisière après l'obtention du BEES)
C'est dans ce trou juridique que s'est engouffré le Ministère de la mer en disant que les moniteurs/skippers de voiliers de croisière de plus de 12m relevaient du métier de marin professionnel Marine Marchande et a voulu imposer son BPPV après de très nombreuses et interminables tergiversations.
Ledit BPPV n'a jamais atteint un niveau de notoriété tel que cela puisse impressionner de futurs employeurs. Aujourd'hui le Capitaine 200 est dans le même cas et je ne parle pas du Capitaine 500...
A l'époque (je parle des années 80/90), les choses se faisaient essentiellement par le bouche à oreille et les futurs employeurs (je ne parle là que de mon expérience personnelle) étaient beaucoup plus impressionnés par les lettres de recommandations de marins connus dont je disposais et de la très longue liste de courses célèbres auxquelles j'avais participé (Whitbread, Fastnet, Figaro, Transpacifique etc...) que parce que l'école de la Marine Marchande de Ploubazlanec m'avait donné le BPPV.
Aujourd'hui avec le BPJEPS, la polémique continue d'entretenir le malentendu car il s'agit, au départ, d'un diplôme Jeunesse et Sport destiné aux étudiants STAPS qui voulaient faire une spécialisation voile. Effectivement, la valeur pédagogique du diplôme est incontestable. En revanche on peut douter de la réelle expérience maritime de celui qui va afficher un BPJEPS et c'est là que se pose le problème d'un diplôme officiel qui puisse attester de la réelle expérience maritime d'un skipper en même temps que de son bagage pédagogique pour enseigner la voile.
Là, il n'y a plus que le YM avec son niveau maximum de certifications ajoutées.
Malheureusement, là aussi certains se retranchent derrière un "flou artistique".
Les centre de formation Yachtmaster de France (comme les deux qu'il y a en Bretagne Sud du côté du Morbihan) ne sont guère plus que des écoles de croisière améliorées qui vous font passer le Yachtmaster qui atteste que vous êtes un chef de bord compétent pouvant prendre en charge un voilier. Ce brevet vous permet de faire valoir votre compétence quand vous louez un bateau en France comme à l'étranger mais pas beaucoup plus.
Pour ce qui est de la formation complète (y compris les modules STCW) du Yachtmaster (le Offshore Yachtmaster ou Ocean Yachtmaster avec le commercial endorsment pour des bateaux de plus de 200tx), il n'y a pas d'autre choix que de s'exiler en Angleterre (je suis parti pendant presque deux ans en intermittence sur l'île de Wight et à Southampton pour suivre toutes les formations de la très respectable UKSA en habitant sur mon bateau amarré au ponton de ladite école).
Et on ne finit par vous délivrer le diplôme final que quand vous avez fait une traversée transatlantique et travaillé sur leur base des Antilles comme skipper...
Au total, le cursus complet peut durer quelques années et il ne peut donc être question là que d'un choix d'orientation professionnel sur le long cours pas d'une simple question du type embarquer comme chef de bord rémunéré ou non.
Donc, je ne pense pas qu'il y ait réellement polémique sur le sujet.
Être chef de bord-moniteur sur un voilier de croisière est accessible par différente voies en France.
Après la question de la rémunération est une autre question qui dépend grandement du cadre législatif dans lequel vous évoluez (association reconnue ou société)

01 avr. 2022

Pour les sorties à proximité des côtes, il y a depuis quelques années le BACPN aussi... Vous connaissez ?
Le BACPN est utile aux capitaines ou matelots de navires à moteur de longueur inférieure à 12 mètres effectuant une navigation cumulativement à moins de 6 milles du point de départ et moins de 2 milles d’un abri, et transportant au plus 12 passagers

Puissance propulsive strictement inférieure à 160 kW
Les compétences obtenues avec le BACPN, brevet d'aptitude à la conduite de petits navires.
Décret n° 2020-1809 du 30 décembre 2020 portant modification […]
Arrêté du 28 décembre 2017 relatif à la délivrance des BRACPN, BACPN, BACPNV.
Arrêté du 28 décembre 2017 relatif à la délivrance du brevet restreint d’aptitude à la conduite de petits navires, du brevet d’aptitude à la conduite de petits navires et du brevet d’aptitude à la conduite de petits navires à voile

www.legifrance.gouv.fr[...]2841389

On a déjà évoqué ce certificat sur le forum, la grosse restriction est qu'il n'est accessible que pour les titulaires d'un BE voiles.
www.dirm.nord-atlantique-manche-ouest.developpement-durable.gouv.fr[...]27.html
Du coup cela ne concerne qu'un public très limité et d'après les retours, il y a eu très très peu de titre délivrés.
Est-ce que cela aurait pu être un peu plus ouvert? Probablement en faisant valider les compétences de plaisanciers expérimentés souhaitant se re convertir, mais visiblement cette filière a été bien mise sous contrôle...

01 avr. 2022

Je n'avais pas évoqué le BACPN(V) parce qu'il est extrêmement limité en prérogatives :
BACPN : Pas plus de 12m pour le navire à moteur, et pas plus de 6 milles du port de départ et 2 milles d'un abri (!!!)
BACPNV : Pas plus de 12m pour le voilier, et pas plus de 6 milles d'un abri.

Il est accessible à tous et une formation existe notamment au CEFCM (peut-être ailleurs).
Au jour d'aujourd'hui, l'équivalence pour les BE/BPJEPS n'existe plus...

Nan nan, en voile il n'est pas accessible à tous.

01 avr. 2022

Ah oui, j'avais mal lu ! C'est écrit en tout petit et il faut aller chercher soi-même l'arrêté du 5 juin 2013...

" Pour être admis à suivre la formation permettant d'acquérir le module mentionné à l'article 16-1°, tout candidat doit être titulaire :
1° D'un certificat d'aptitude médicale à la navigation en cours de validité conformément aux dispositions du décret n° 2015-1575 du 3 décembre 2015 susvisé ;
2° De l'un des brevets, certificats ou diplômes mentionnés à l'article 1er de l'arrêté du 5 juin 2013 susvisé. "

01 avr. 202201 avr. 2022

Du coup tu comprends le côté absurde de ce diplôme, il n'est accessible qu'à ceux qui ont déjà un diplôme de voile et l'utilité aurait été de permettre une activité voile à des plaisanciers lambda en reconversion, donc sans diplôme de voile. Bien sûr, il aurait fallu y mettre des conditions de formations et limitations bien pensées.
On dirait que certains ont voulu préserver leur petit domaine d'activité, car ce diplôme n'a été décerné que de manière confidentielle depuis sa création. (C'est les retours que j'ai reçus)

01 avr. 2022

Le ppv etait sous regulation stcw78
Capt 200 est passe sous stcw10

Que de betisse ecrite
Captainjpp

01 avr. 2022

Non, je ne connais pas ce brevet qui est apparemment très récent et essentiellement destiné à ceux qui font ce qu'on appelle du day charter.
Ça semble intéressant.

01 avr. 202201 avr. 2022
01 avr. 2022

@ marco 9
CaptainJpp est juste un polémiste aigri avec sa grosse vedette polluante qui ne veut que jeter la discorde.
Je ne pense pas qu'il soit très intéressant de converser avec lui de façon constructive.

01 avr. 2022

Oui bien sur travailler sur la grandr bleu sans brevet et livret maritime

Seule organisation de travail mondiale sauf usa

L OMI

...........
Captainjpp

01 avr. 2022

Je vais prendre des exemples

Vous avez un jardin et vous voulez demain etre agriculteur.......
Mutualite agricole

Vous voulez devenir demain medecin
Le serment d hypocrate

Sinon gueriseur

Skipper c est le guerissuer des marin 90 % au black

Vous voulez transporter des personnes payante sur de bateaux de plus de 7 m
Moins etand des engin de plage un peu plus loin que la plage
Alord c est le domaine omi et piur reglemntation des brevets c est stcw10

En parenthese un marin brevete capitaine qui transporte des personnes aussi qui navigue avec des marin meme sur un bateau de 12 m est infirmier et avec des prerogative plus
Couture
Pose de perf
Pose d appareil
Responsable de la morphine du bord

Captainjpp

02 avr. 2022

Du nouveau dans les équivalences C200/marin pro voilesetvoiliers.ouest-france.fr[...]ff31324

02 avr. 2022

Apres les histoires de brevets

La grande histoire des assurances ce jour de 2022

Avoir une assurance qui couvre un transport de passagers payants forcement sur la grande bleu.....

Polimique ou pas polimique

Captainjpp

02 avr. 2022

Captainjpp, pourrais-tu avoir l'extrême obligeance de ne pas écrire en style télégraphique, avec en plus un effort dans l'utilisation du clavier?
Tes informations, pouvant être très pertinentes, seront alors beaucoup plus compréhensibles et donc dignes d'être prises en considérations!!!

Et en bonus, les sources des affirmations seraient totalement bienvenues!

03 avr. 2022

C est vrai pas top les bateaux moteur
mais bon j aime bien etre sur la grande bleu avec tout les types de bateau

cela n est pas complique avec les brevets OMI bien sur au dernieres normes STCW 10
je vais me repetter mais je tiens a redire , surtotu pour certain
l OMI presque tout les pays de notre planete ont signe la convention , env 157 ,
sauf les USA

Donc parlons voile , en regatte a l ile de white , equipage 18 anglais
capitaine moi meme francais
le bateau de la famille royale anglaise , pavillon anglais , en regatte oui mais avec les regles de colreg , pas les regles des regattes d engin de plage ,

mon role d equipage ouvert , payant les charges a l ENIM

bien a vous

captainjpp

03 avr. 2022

un autre bateau ou je suis capitaine a bord , je n emploi toujours pas de skipper
ou mon role d equipage a tourné , ENIM paye

captainjpp

03 avr. 2022

www.forbusiness-pleasure.org[...]/

pavillon madere
mon role a ete ouvert , charges ENIM payées

avec toujours les brevets OMI ,

et des comme cela j en ai des dizaines ........
plus grand , plus petit , ...............

bien a vous
captainjpp

03 avr. 2022

Sur le troisième document présenté, signé par Sir Peter Blake, il est mentionné que Sir Peter Blake était le skipper de S/Y BloodHound.
Avoir un capitaine et un skipper en même temps sur le même bord m'interpelle!
A moins que tu sois Sir Peter Blake! Mais alors son décès le 6 décembre 2001 serait faux?

Ton message suivant semble préciser que le capitaine et le skipper peuvent cohabiter sur le même bord!
Etonnant! Qui a le dernier mot en cas de décision à prendre; et qui serait responsable en cas de problème?

03 avr. 2022

oui bien sur Sir PETER BLAKES etait skipper a l instant ou je coupais le moteur quelques minutes avant la procedure de depart des 6 regattes
j ai ete capitaine du bateau 6 annees

en regatte tout le staf regatte etait au ordres de Peter Blakes , ma position de capitaine etait tres precise , durant la regatte j etais bastaqueur , et si pour quelqueconque raison de securite
pour l equipage ou le navire je pouvais demarrer le moteur et reprendre la barre

imaginez le niveau ..........cela n est pas arrivé

et oui capitaine c est un capitaine ...........
Sir Peter BLAKES n avait aucun brevet OMI , cela ne la pas empêcher d avoir ete le plus titré
c est a peu pres ce que j essaye de vosu expliquer ..........

un marin cotise ENIM , quand le marin est francais et donc gagne des sous , un skipper gagne des sous et ne cotise pas chez les marins

cette semaine la Sir PETER BLAKES etait spossorisé par les montres omega
il etait le directeur de l expedition ANTARTICA le bateau de Jean Louis ETIENNE
bateau ou il a ete tue d ailleur

juste pour la petite histoire nous avons toujours ete le premier sur la ligne......
mais le bateau n avait pas un tres bon ratting ...mais ca c est une autre histoire , d aileur c est une grande partie de l histoire d ela voile moderne
mais la le niveau devient tres tres haut

je pourrais vous le confirmer , le seul qui cotisait ENIM pendant plusieurs annees sur ce bateau
en position de capitaine en 12 iem c etait moi

a tord ou a raison j ai toujours les livres de bord original de ce bateau
que vous ne pouvez que connaitre .........

Alors j attends

bien a vosu
captainjpp

03 avr. 2022

tu as combien de grammes deans le sang ?

06 avr. 2022

Faux pour "Peter Blake n'avait aucun diplôme OMI". Il était officiellement diplômé Officier mécanicien marine marchande (ça a été son premier métier qu'il n'a exercé que très peu de temps car il est parti à la plaisance ensuite.
Et ne vient pas me dire le contraire captainjpp. Je connaissais très bien Peter Blake. Je faisais partie de l'équipage de Steinlager 2 quand il a gagné la Whithbread en 1990 et j'ai aussi fait partie de l'équipage de Enza New Zealand en 1993 pour la 1ère tentative de record autour du monde où il était co-skipper avec Robin Knox Johnston.

06 avr. 2022

Restons de bonne foi, un diplôme d'officier mécanicien n'est pas un brevet de commandement.
Dans le contexte, Jpp expliquait simplement que Peter Blake payait un Capitaine pour prendre la responsabilité du navire en dehors des temps de course.

06 avr. 2022

Je suis d'accord avec toi @sailcamille mais officiellement un diplôme d'officier mécanicien marmar, en France, vaut un diplôme de commandant 2nde classe.
Maintenant les diplômes officiel marmar française ont tellement évolué...

03 avr. 2022

"Alors j attends"

Et du coup, tu attends quoi exactement ?
Une médaille ?

Merci d'ouvrir un fil séparé pour exposer ton CV nautique, qui n'intéresse personne ici... C'est complètement hors sujet.

03 avr. 2022

j essaye de vous demontrer que le terme skipper

n est pas un terme chez les marins OMI STCW 10

Skipper quand il est chef de bord .............il est au black

au sujet du cv c est vraiment qune toute partie de mon cv
cv d ailleur pas encore tout ecrit

captainjpp

04 avr. 2022

mon cv maritime est beaucouq plus polyvalent , avec quelques reconversion et navigation ASIE
une aux Philippines aussi cotisation ENIM
www.ocean-gecko.net[...]shu.php

je reviens au sujet
je vous expose comment extremement simplement etre declarer marin a bord d un bateau a la plaisance
donc superieur a 7 m sur la grande bleu , tout pavillon

excepte les pavillon nuc et rif ou la il faut un contrat de travail

je pense que je DONC SUR LE SUJET
surtout que dans mon cas , une simplicite extreme , une fiscalite legere legere .......
et un plan de carrierre de fou ...........
Jusquau brevet de l illimite bridge et brevet machine bien sur OMI STCW

au moin mon intervention vosu aurra recentrer sur l OMI et STCW
contrairement ce que certain ecrive STCW cest les USA

bien a vous
captainjpp

04 avr. 202204 avr. 2022

Merci de revenir (enfin) sur le sujet.
Du coup, tu peux nous expliquer comment on se déclare Enim sur un navire de plaisance ? En nom propre et pas à travers une société ?
Il y a un formulaire à remplir, il faut appeler les Affmar à chaque embarquement, comment ça se passe concrètement ?
Les cotisations s'élèvent à quel pourcentrage de la rémunération brute, environ ?
Ça, ça serait de infos pertinentes !

04 avr. 2022

C'est un sujet complexe.

Vous imaginez que dans les écuries de courses, tout le monde a un diplôme ?
Pourtant les gars sont payés pour barrer un bateau, ou pour gérer un semi rigide qui va organiser le coaching ou l'assistance.
EN quoi est ce différent de faire naviguer le bateau d'une association (hors formation - on parle juste de naviguer) ?

C'est un sujet qui est déjà sorti après la mésaventure du team Vesta. Juste après, je passais des stages au RYA et il y a eu des demandes de formation et validation de Yachtmaster pour des équipiers de courses car s'était une exigence des assurances. L'instructeur qui me suivait en avait eu en stage et confirmait que s'ils savaient bien barrer et regatter, ils était très léger sur le RIPAM et même sur les calcul de marée et courant etc...
Donc je suis complètement d'accord que ca semble paradoxal, mais il y aurait des skippers de course qui sont ne sont pas des bons skippers côtiers, et ils des grosses lacunes.
Possible que ils ont utilisé à outrance l'assistance d'équipes et de l'électronique pour rallier la zone de départ mais ca me parait vraiment gros quand même.
Tiens, JPP qui a l'expérience ++, est-ce que tu a rencontré des skippers de course au large qui étaient faiblards sur les basiques (hors réglages, manouvres et barre ) ?

04 avr. 202204 avr. 2022

L'absence de diplôme ne sous entend pas absence de compétence.
Mon propos ne porte que sur l'interprétation de la réglementation.
Si comme c'est écrit dans ce fil les salariés de l'association doivent être diplômé,
en quoi le statut d'un coureur ou préparateur qui est payé, pour mener un bateau est différent.

04 avr. 2022

Que l'absence de diplôme soit accompagnée de l'absence de compétences, c'est quand même très très généralement le cas.
Un diplôme atteste l'acquisition des compétences.

04 avr. 2022

Ne disait-on pas que Eric Tabarly était "un léger" pour courir autour de 3 bouées?

06 avr. 2022

Eric n'était pas "un léger" mais il n'aimait pas les régates entre trois bouées. Il en a gagné pourtant de très nombreuses, notamment à l'époque de Pen Duick III et aussi quand il était à l'Ecole Navale.

05 avr. 2022

excusez nous pour quelques details de mon cv mais je ne peux pas transmettre trop de document officiel ........
l opportinisme des skipper en causse , si l ecole ne les passionneme pas trop , ils maitrisent en general bien le programe photo shop

captainjpp

05 avr. 2022

L opportinisme donc de cleui que l on va nomme skipper souhaiterai que le diplome suffise pour etre capitaine
Bateau de plus de 7 m en dessous en general engin de plage
Pas sistematiqque c est vrai ...il y a de vrai bateau de moins de 7m

Surtout dans le domaime transport passager meme petit nombre c est du transport passager

Mais bon c est du reve .....
Captainjpp

05 avr. 2022

Je n ai jamais parle de competence..
Naviguer nest quand meme pas tres complique
Surtout depuis le gps
Et la fiabilite du diesel et de l alternateur...

Par contre la competence ne suffit pas pour transporter la marchandise passager
Captainjpp

06 avr. 2022

Au sujet des courses au large ou pas au large .....il n y a pas de transport passager

Reponse a quelques reponses
Comment payer sur un bateau de plaisance ,
Facile il faut un brevet de capitaine

Apres tout ce fais sur internet

C est ce quie j expliquedepuis le depart etre brevete OMI ,STCW10

pas les personnes qui ont un examen
Et pour falide ca marche pas

Le tarif simple a trouver

Taper salaire formetaire marin

Au sujet de mon aventure Peter Blakes

J ai.ete capitaine 6 ans sur le voilier le plus celebre du monde
Meme connu de tout les navigateurs et plaisanciers de france
Je naviguais donc entre uk et la med pour les regattes voiles de bateau clasique et Perter preennais la barre
Sur la ligne de depart et me redonnais la barre sur la ligne finish

Nous avions environs 17 equipiers a bord

En inter regattes je naviguais deux trois personnes

Pendant 6 annees j ai donc ete capitaine aussi en regatte j etais le capitaine
Et en plus cotisant enim

Ps j ai toujours pas eu le non du bateau

Captainjpp

06 avr. 2022

Pour répondre au P.S., internet a de la mémoire.
Pas besoin de se faire un "sang de chien", ni de lui retirer l'épine de sa patte ! ;-)

Personne ne met en cause vos histoires ni vos compétences, mais le ton employé est parfois... malcommode (?)

On oublie que ce petit miracle de technique que nous utilisons au quotidien serait bien mieux exploité s'il servait à réunir les gens plutôt qu'à servir des polémiques.

Amitiés,
J. simple plaisancier sans la moindre velléité de professionnaliser quoi que ce soit, sinon ma retraite dans 9 mois ;-)

06 avr. 2022

Non en marine marchande il y a des brevete pont
Il y a des brevete bridge

Il y a aussi des brevete bridge pont

C est mon cas

Je parle bien de brevete

Pas d examen

On devrai y arriver
Captainjpp

06 avr. 2022

Non les brevets marmar international non pas evolue

Le modules oui ont eevolues un peu plus nombreux et plus complet
Captainjpp

07 avr. 2022

Bridge et pont!!!
A part la langue, il y a une différence?
(Juste pour ma culture!)

07 avr. 2022

Bridge et pont c est la meme chose

En mar mar le france avait peut etre aujourd vui c est plus possible ou peut etre possible on puvait jouer la polyvalence ,officier et mecanique
C est un cursus de plus de 10 anees validation comprise .....

Il est sur que deja dans la plaisance les skipper quand il arrive a avoir l examen de capt 200 en 4 mois et quon leur explique quil faut valider quelques mois de plus pour le brevet.....
Il se tire vite fait pour alle vite naviguer au noir

En disant que le systeme ...il ajoute francais ......une meconessance complete.......

Captainjpp

07 avr. 2022

aucune polemique .........

le sujet est comment cotiser en transportant des passagers sur la grande bleu

pour un nouveau retraite , qui ne dis pas de quelle monde proffesionnel il vient
je ne voit pas ques ce que il peut comprendre
si ce n est quil cherche a comprendre comment promener des passagers au black sur son bateau

ce qui dans le monde de la plaissance est tres tres tres rare ..........

Captainjpp

Phare du monde

  • 4.5 (169)

2022