Sur les littoraux, les épaves de bateaux ... pollution ...

comme l'indique l'article, la taxe payée par les constructeurs et le processus de déconstruction "gratuit" n'existe qu'en France, et donc, l'article parle de la France.

Oui. Mon premier bateau à 20 ans. Écosse, Afrique, Antilles. C'etait un bon petit bateau formidable au portant : 12 jours pour faire Cap Vert Martinique. Impossible au près, à taper au moindre clapot. Vendu en Martinique en 85

J'avais fait parti d'un groupe d’étude avec le Mede ministere de l'ecologie et de l'energie oui oui ca a existé...Le sujet n'est pas simple et c'est parti en sucette...
Une idée alternative était de les recyclés en habitat alternatif..mais bon today vu la chasse à tous ce qui est alternatif habitat ou autres ca ne restera qu'une idée.
Dans le groupe tout le monde y était Industriel fabricant BE etc....
Le sujet reste d'actualité et pas que chez nous comme le précise ED

L'entreprise qui est ou était sur l'île de Nantes ? J'ai vu des bateaux recyclés au camping municipal de Quiberon.

La déconstruction des BPHU est effectivement gratuite en France, mais faut quand même payer le transport jusqu’au site de déconstruction. Plus l’enlèvement de l’épave, ça peut faire cher.

y compris pour les bateaux dont le propriétaire est inconnu ?

Les municipalités le font maintenant régulièrement, il y a eu de vastes campagnes pour retirer les épaves sans identification possible.
L'an passé une centaine d'épaves de toutes tailles sur l'île d'Arz. D'autres ont suivis

c'est ce qu'elles font.

recherche du propriétaire, et si introuvable, avertissement collé sur le bateau, puis enlèvement.

Chez nous dans le Morbihan les procédures ont été lancées en 2021. Pour bateau abandonné, naviguant ou pas.

Après apposition des autocollants d’avertissement, depuis plus d’un an, et l’absence d’intervention de la part des propriétaires, nous avons eu le droit à l’enlèvement, via une déchéance de propriété de la DDTM

Le plus gros truc, cela a été à l'île d'Arz en 2021 ou 117 embarcations de toutes sortes ont été collectée, et stockées sur le continent, avant d'être transportés pour la déconstruction.

117 embarcations ont été évacuées par la Compagnie TMC (Transport maritime côtier de Vannes), chargées sur le Goulphar, roulier de 36 mètres de long et 7,85 m de large, pour être redirigées vers le centre de déconstruction et de recyclage Guyot Environnement à Kervignac (Morbihan).

Sur la presqu'île de Rhuys, les 2 derniers bateaux, les 23 annexes, plates et autres petites embarcations non immatriculées en attente de réaction des propriétaires sont stockées dans la zone technique de la mairie. Destruction dans un an à Kervignac, c'"est la mairie (donc nous) qui, paie le transport par camion.

Au Crouesty on a 3 ou 4 bateaux ne naviguant pas depuis plusieurs années, très abimés, mais le propriétaire paie et refuse la mise à terre

Il ne s'agit pas d'épaves de bateaux accidentés mais de bateaux abandonnés par leur propriétaire ou leurs héritiers.

Une pollution, certes. De la négligence aussi, qu’il est facile de dénigrer. Mais une pollution à relativiser par rapport à d’autres.