Tomber sur un navire peut faire très mal ...

Auune indication de la nature de la blessure. Certains sont plus douillets que d’autres, et peut-être mieux assurés.
Nota: on peut aussi se faire très mal en tombant du bateau au sec, sans avoir un entre filet d’un pisse-copie local en manque d’inspiration.

Retex: à bord, une main pour toi et une main pour le bateau (et s’il va mal, ajoute trois doigts).

Et moi je me suis étalé dernièrement dans mon cockpit en glissant sur le spi que je venais d'affaler, mon coccyx qui a heurté le cales pieds à mis un certain temps avant d'oublier le traumatisme...j'avais pensé avertir les médias de cette mésaventure mais j'ai finalement renoncé, j'avais pourtant eu très mal...😩

On peut même se faire mal en tombant du lit
ET ON EN PARLE PAS

Moi, c'est pour éviter un enfant que je me suis fait mal.
Je suis tombé du lit.

Puisque l'on est de toute façon dans le très modérément intéressant, quels sont les accidents qui vous arrivent le plus souvent à bord.. Pour moi, j'ouvre assez rarement le panneau de pont avant et dès que je le fait, je l'oublie et une jambe passe au travers.. Cela fait super mal (on voit vraiment des étoiles) quand cela n'arrache pas toute la peau...

Et c'est sans compter les dégâts psychologiques: En navigation, il m'est arrivé de tomber sur des déconvenues:J'en ai été très affecté sans qu'aucune cellule psychologique n'ai été mise en place...

Devineź sur quel accessoire nautique je suis tombé. On vois la forme sur la photo 1. Ce n’est pas passé aux 20 heures ni dans la presse locale.
Photo 1 , le jour de la cascade
Photo 2 , quelques jours après

Bonjour.... ce qui est utile dans le post c'est de mettre en avant les traumatismes liés aux chocs... Tant mieux que un média en parle car c'est l'occasion d'un fil très intéressant et utile pour tous...
Alors comment prévenir sur son bateau ces risques avec les pièges de son bateau ? Perso après 2 côtes cassées j'ai repensé mes déplacements dans le bateau à la gîte.... Plus entre autre port de demi gants cuir souple... Vêtements n'entravant pas les mouvements..bonnes chaussures de pont.. . Retenue de bôme.. Mains courantes en cordes.. Poignées... Pharmacie traumatique... Cuisine en fonction des conditions pour éviter brûlures...
Bref.. ceux qui ont des idées c'est le moment... Et merci le media😊
Jean

T'es pas gentil, Éric.
Je suis tombé un jour, une épaule sur la bitte : celle du bateau.
J'ai même pas eu mal... jusqu'au lendemain. Là, un peu compliqué en solitaire.
Faute de soutien médiatique et psychologique, le bobo à l'âme fut tel, que j'ai écrit un livre dans lequel cette mésaventure figure en bonne place, comme indispensable thérapie.
Tu le sais, puisque tu as le livre !

bah nous, on vit tout nu quand on est sous les tropiques. On ne met des chaussures ou des gants que quand il neige, on mange chaud à table en traversée et notre pharmacie est bien moins remplie qu'à terre. Je ne met pas de cotte de maille quand je vais couper du bois pour le poêle et je n'emmene pas de bombe anti ours. On boit l'eau de nos cuves qu'on remplit avec la pluie. Je ne porte pas de casque au vent portant et l'annee dernière, je me suis attaché une fois. Ah, l'autre jour, je me suis fait pincer par un crabe.

Bonjour.... .si des personnes ont mis en place des trucs des preventions qui évitent certains traumatismes qu'ils n'hésitent pas à les partager.... Merci Jean

Ca me rappelle ma plus belle gamelle à bord d'un bateau.
Debout à la barre, les pieds sur le banc tribord et non dans la bassine, pour améliorer la visibilité sur l'avant. Je me tiens à un des deux pataras. J'aime cette position en hauteur lors des manœuvres ou dans les chenaux caillouteux étroits.
Trop confiant, je vais vite et le bateau s'arrête net sur une tête de roche.
Le principe l'inertie faisant son office sur mon corps d'Apollon comme sur toute autre chose, je continue ma route droit vers l'avant.
Mais la main qui tenait le pataras me fait me retourner sur le dos, la tête en avant, et je tombe dans la descente sans réussir à me retenir.
La descente est assez profonde, la tête en premier, et le premier obstacle susceptible d'arrêter ma nuque est le bord arrière de la table du carré.
C'est ma femme, qui lisait assise à l'arrière du carré, qui se jette en avant et me retient par les épaules.
Merci ma chérie.

On peut rire de cette médiatisation, certes. Mais il est toujours bon de rappeler qu'on peut se faire très mal en mer et qu'on peut rester plusieurs jours sans secours.
Un simple exemple, j'ai plusieurs fois dépanné des touristes au mouillage en coton hydrophile, dakin, pensement, ibuprofène ou aspirine parce qu'ils étaient partis avec une pharmacie de bord incomplète voir sans.
Si ce genre de fil peut inciter à plus de préparation, meme pour une simple balade d'un weekend, ce sera un bon point.

Bonjour... Après l'énumération des accidents possible... Si des personnes ont mis au point des trucs.... protocoles .. Preventions.. Partageons les... Jean

Au carénage mon voisin en montant un Panneau Solaire est tombé de quatre mètres de l’échelle sur le béton. Transféré à l’hôpital à moitié dans les vapes, après examen juste une petite commotion, le PS n’a pas survécu. J’ai été confronté aussi à des chutes à la mer au port ou au mouillage. Souvent des enfants, les parents relâchant leur surveillance « on est au port au mouillage donc en sécurité «