Triste fin

Photos prisent ce matin a Antibes. Triste fin, mais aussi une place de libre probablement dans un port

L'équipage
18 sept. 2013
18 sept. 2013

Il s'est passé quoi pour en arriver à ça ?

Jacques

18 sept. 2013

j'essaye d'en savoir plus. je ne sais pas si c'est un voilier qui s'est mis sur les rochers il y a quelques jours, mais celui ci me semblait avoir une coque intacte au debut de l'opération.
Je meme l'enquête.
Eric

18 sept. 2013

merdre, ça fait mal aux tripes quand même :-(

18 sept. 2013

Ah ouai, un Gin fizz, quand même... pas une barque.
Les boules.

18 sept. 2013

Des bateaux en bon etat ne se vendent pas, donc les merdes..
J'y pense aussi pour le mien.
Le moteur, le plomb et les differentes pieces detachees se vendraient plus cher que le prix que je pourrais tirer du bateau entier.
Quand les travaux sont trop importants, il faut savoir arreter les frais...

18 sept. 2013

GENN66
BON SOIR JE REPONDS UN PEU A COTE
il faut quand meme penser que un besoin de deconstruction non polluante de bateaux pourrait etre source de boulot et de pieces detachées
gennaro st cyp

Non, malheureusement.
Les fournitures présentes sur les BPHU sont généralement obsolètes et invendables.

Pour ce qui est des pièces moteur etc, le prix de leur dépose/stockage; commercialisation dépasse margement leur prix de vente.

Le prix de revient de la déconstruction non polluante d'un BPHU est de l'ordre de 2000 € pour un 25 pieds (en incluant le coût de la réutilisation du polyester, soit sous forme de remblai soit sous forme de source d'énergie calorifique).

Le besoin existe, le contexte législatif existe, mais les coûts de déconstruction étant à charge du propriétaire, la déconstruction des BPHU est un vœu pieux mais elle n'existe pas en réalité.

19 sept. 2013

C'est peut être bien pour ça qu'on commence à trouver des bateaux "à donner"... ça (le coût de déconstruction) et le coût de possession d'un bateau dont on ne se sert plus.

18 sept. 2013

On est bien peu de chose, et mon amie la rose...
+1 avec linda

19 sept. 2013

il me semble qu il etait du coté pres de l entree de la vieille ville, la ou il y a quelques pecheurs et loueurs d ebateau... je crois l avoir vu en Aout en me disant " meme plsu d emat"

je crois....

19 sept. 2013

La vie est sans doute ainsi, je suppose. On regrette toujours la mort d'un proche... mais rien ni personne n'est immortel
On peut juste espérer qu'il aura donné du bonheur à son (ses) capitaine(s) et regretter d'avoir été obligé d'en arriver là.

19 sept. 2013

Que de prose pour un 'produit'...

19 sept. 2013

Exactement. Je ne vois pas le problème, l'accumulation de vieux bateaux délaissés devient en soi une nouvelle forme de pollution.

20 sept. 2013

Un bateau à voile, un produit?
Pas seulement, il me semble..
Il y a une charge émotionnelle évidente, sinon, comment expliquer ce forum?

19 sept. 2013

C'est la seule solution pour avoir des places de port ... malheureusement.
Gilles

19 sept. 2013

C'est effectivement un voilier qui s'était échoué sur les rochers vers les Salins a Antibes. Jugé irréparable, il a été démoli.

19 sept. 2013

Sans vouloir polémiquer. Ce qaui me chagrine dans ces photos, c'est la manière... même si financièrement ce n'est pas rentable pour une entreprise, il ya pas mal de matériels et matériaux à récupérer qui feraient le bonheur de beaucoup de plaisanciers,( rien que le prix d'un bout d'inox). Ce qui pourrait faire le bonheur d'une entreprise d'insertion, ou association. L'idée est lancée.

19 sept. 2013

Quand les bateaux étaient biodégradables on pouvait les laisser pourrir dans un méandre d'estuaire et la nature se chargeait du boulot.
Il restait éventuellement dans la vase une semelle de béton ou un bloc moteur rouillé.
Maintenant, à moins de revenir à la construction traditionnele bois, il faut bien démolir et comme le dit philhenri, il serait bien de pouvoir récupérer le matériel.

DJ

19 sept. 2013

Nous vivons une époque dont se régaleraient les maîtres disparus de l'Absurde du genre Alphonse Allais et Pierre Dac. Le risible (jaune) coût de la main d'oeuvre actuel rend la déconstruction-recyclage impossible tandis qu'on ne peut autoriser la récupération-cannibalisation par des plaisanciers intéressés; pour toutes sortes de (mauvaises ?) raisons, au premier rang desquelles celle de la responsabilité civile en cas d'accidents. Résultat : on casse, on jette tout, on gaspille et on pollue... :-(

20 sept. 2013

Pour avoir discuté avec un "déconstructeur", le temps passé à démonter, nettoyer, vérifier, mettre en boite et proposer à la vente serait rédhibitoire... par rapport au neuf.
Reste la solution de démonter, nettoyer...etc... soi-même mai les déchets ultimes seront toujours un souci car peu valorisables.
On se plaint de la courte durée de vie de nos produits mais aussi du temps très long pour leur destruction.
On n'est jamais content!
:jelaferme:

Correctif :
les déchets ultimes ne sont pas "peu valorisables" mais rigoureusement non valorisables.

Le prix demandé par les consommateurs de chaleur (cimenterie etc...) pour incinérer les composites est de l'ordre de 300 à 400 €/tonne, sachant que le matériau doit être fourni calibré en morceaux de moins de 3 à 4 cm. Or, broyer du composite avec de la fibre de verre est horriblement cher et complexe : le verre use tous les outils métalliques...)

20 sept. 2013

Et des cargos de vieux voiliers polyester livrés en Inde ?

20 sept. 2013

en Inde? Pour aller polluer ailleurs que chez nous? Je doute que ce soit la bonne solution.

20 sept. 201320 sept. 2013

Peut être faudrait-il s'entendre sur les termes.
Les composites sont, par définition, inertes.
Ils ne se dégradent pas (c'est bien le souci)
Ils ne dégagent aucun composé.
En eux mêmes, ils ne sont absolument pas polluants. D'ailleurs, ils font d'excellents remblais mais leur volume est trop faible et leur qualité trop variable pour en permettre une utilisation industrielle.

Des essais ont déjà été menés de réutilisation de composites dans des remblais de route.

En conclusion, la réutilisation est tellement exotique et marginale que le simple coût de sa mise en œuvre est rédhibitoire.

Pour donner un ordre de grandeur, le besoin de destruction de BPHU est de l'ordre de 10 000 bateau par an (environ 1% des bateaux de plaisance immatriculés. ce besoin n'est aujourd'hui, satisfait qu'à hauteur de 2% du fait du prix de revient de cette déconstruction). Sur la base d'une évaluation à 0,5m3 de matériau à réutiliser par navire (environ 1t de composite à 1,9 de densité) il s'agit de 5000 m3 de remblai soit 50m de route de 10m de large sur 1m d'épais...

En revanche, ils sont encombrants et difficilement broyables. :litjournal:

Pfff : pas 50m, mais 500m.
:oups:

20 sept. 2013

gen 66
buon giorno ai marinai
dites e si on les remplissait de beton et que on les coules
pour faire un petit recif
artificiel apres avoir sorti moteur mature etc etc
puisque c est inerte le polyester tiens
ca ferait bien des petites surprises pour ceux qui chaluteraient trop pres.........de la ou il ne faudrait pas

les americains on coulé expres des navires de guerre apres
depollution et pas n importe ou en...... floride

au bout d un moment il y aura plein de jolies concrections dessus spectacle de vie soumarine garanti

ou alors tiens une autre

CIMETIERE MARIN
se faire immerger dans son propre bateau pour le repos eternel ....au frais.

ehm si ma non come i mafiosi
ciao gennaro

Oui mais...les zécolos guettent...
Je n'ai pas la référence du texte sous la main mais je crois que le législateur a sévi en interdisant à partir de janvier 2014 l'abandon des épaves de BPHU en mer.

Ce doit être les mêmes écolos qui hurlent lorsque je dois rendre à la mer les moules qu'elle a déposé sur ma coque (dites moules qui ont été dégustées par les riverains de la Vilaine lorsque je les ai enlevées...pour les remettre à l'eau). :litjournal:

"peste" tu es excessif.
Intégristes : sûrement, crédules : sans aucun doute, rêveurs : certainement, menteurs : parfois, dangereux et chers, sans aucun doute.

Pour les taxes...c'est une autre histoire. :litjournal:

20 sept. 2013

Oui nemo1 : la "peste verte", j'espère qu'ils ne vont pas obtenir une Nième taxe sur le diesel, nous aurions double peine : automobile et bateau. (C'est bizarre personne n'a envisagé de faire baisser les taxes sur l'essence jusqu'à ce que le diesel ne soit plus attractif...)

20 sept. 2013

Grâce à eux à Arcachon un carénage me coûte prêt de 500 € avant que j'achète la peinture et que je fasse moi-même le travail...je digère mal ! (Manutentions, terre-plein à 15€/jour, forfait nettoyage de l'emplacement, location de tréteaux et étais, calage...). J'ai décidé de ne caréner que tous les deux ans et acheté une combinaison de plongée pour "rendre à la mer les moules qu'elle a déposé sur ma coque". De plus quand ce sera l'année du luxueux carénage j'irai à CapBreton (54% moins cher). Trop c'est trop ! :non:

20 sept. 2013

Les composites sont partiellement recyclables. Il est possible de séparer la fibre de la matrice par différents procédés (utilisation d'eau sous très haute pression, ou encore par thermolyse de la matrice).

Après, la fibre extraite au prix d'une dépense d'énergie non négligeauble peut être réutilisée.
C'est ce qui se fait actuellement dans l'aéronautique, pour retraiter les chutes de composite fibre de carbone utilisée pour les avions de ligne de nouvelle génération.

Il faut que le lieu de traitement soit à proximité du lieu de production des déchets. En effet les composites sont peu denses par rapport à leur volume, ce qui rend le transport inefficace en terme de coût.

Le prix à la tonne de la fibre de carbone rend viable ce type de procédé.

Comme la fibre de verre ne vaut rien, son recyclage ne présente aucun intéret.

DJ

Oui z'é non pour l'utilisation d'eau sous pression.
C'est éventuellement faisable si l'épaisseur n'est pas importante ( pas dan le cas d'un bateau en composite des années 70/80 dont l'épaisseur de coqué dépasse 2cm pour un 25 pieds), mais économiquement irréalisable.

Ce type de procédé est acceptable lorsque la composition du matériau est connu et, surtout, lorsque le coût pharaonique du traitement est inclus dans le prix initial (la priorité en aéronautique n'est pas le prix mais le poids).

Re-non-z-et oui sur le plan du poids. la densité du composite est non négligeable (entre 1,7 et 2), en revanche, sur le plan du transport c'est soit un enfer car le foisonnement est considérable si le "déchet" n'est pas broyé soit un enfer pour le broyer car la fibre de verre use tout.

Enfin, je ne pense pas que le cours de la fibre de carbone dégeu en vrac permette aux quelques kilos présents dans une coque de compenser le simple coût de récupération.

21 sept. 2013

Si c'est neutre, yaka les coulés et faire des cimetières a bateau et des réserves à bestioles.

21 sept. 2013

GEN 66
BUONA SERA
merci matelot 17724 c est ce que je disais hier
maintenant une autre solution
et j arrete la
regardez sur mon ponton un voilier qui se dirie tout droit vers la foto du debut
sa valeur baissant ne couvrira pas la location de l anneau
sourtout si......taxe fonciere
alor
il y a des gens qui pourraient le recuperer a un prix modique le remettre en etat et un jour le faire renaviguer
automne 1993 un copain a moi a rachete a port vendre une epave en bois qui avait coulé dans le port
VALEOetait son nom
dans ma cave on a mis 3 ans et planche apres planche
on l a refait NEUF membrures refaites avec du chene de foudre de vin ....
enfin ce bateau navigue au portugal
ciao GERARD SI TU ME LIS
ciao a tutti gennaro

21 sept. 2013

" chene de foudre de vin " : ca doit etre sympa a travailler, comme bois !
:scie: + :alavotre:

22 sept. 2013

bon soir totor
en effet j avais demoli les foudres en chene
de 200 hectolitres et on avait recuperé
certaines douves des parois avant et arriere
je peut te dire que l on a sorti des belles pieces
mais la scie ....a eu mal au dents avec le tartre
et ca senatit bon longtemps apres dans le carré
ciao a+ gennaro
bon faut sortir on a tout dit non?

23 sept. 2013

BON ben un peu d'humour

.

24 sept. 2013

Gen66
Buongiorno marinai
Le fil etait la deconstruction
C est dommage que il ait pris cette tournure
Soyons sympa arretons le
Ne laissons pas la politique entrer ici
L an prochain ca durera 5minutes
Dans l isloloir
Ici nous avons tous la mm passion....basta cosi
La france va mal si chacun en fait un petit bout
On la remontera comme nos parents l on fait
I am 63
Allez imaginons un apero virtuel et calmons nous
Vostro Gennaro

Difficile en pratique de décanter déconstruction et politique.
Vouloir déconstruire, débarrasser ce qui est obsolète est un projet louable et dénué de polémique.

En revanche, le sujet se corse en matière de BPHU dès qu'on aborde le problème du financement de cette déconstruction.

  • Un BPHU est très durable (10 ans pour une voiture, par exemple et 30 ans voire plus pour un navire),
  • un BPHU est complexe à déconstruire (la déconstruction est prise en compte dans la conception des voitures depuis 25 ans, l'idée n'est pas encore à l'ordre du jour en matière de construction nautique de plaisance),
  • la réduction d'un BPHU en matières triées utilisable est monstrueusement complexe (le composite est très difficile à réduire en "poudre" calibrée du fait du caractère très fortement abrasif de la fibre de verre qui détruit rapidement les matériels de broyage)
  • et enfin il n'existe à ce jour aucune filière de valorisation de ces déchets finaux dont la réutilisation "non polluante" coûte cher.

Force est de constater que cette déconstruction coûte très cher.

C'est à ce stade que, immanquablement, la politique surgit.

Pour aller au bout de la démarche louable de départ, Il va falloir légiférer pour imposer que les BPHU soient détruits.

Mais aux frais de qui?
- de la communauté?....oh non! quelle horreur, c'est hors de prix et tout ça pour des nantis!
- du propriétaire?...a quel titre, c'est une violation du droit de propriété

... finalement c'est bien de la politique puisqu'il s'agit de positionner le rapport entre l'individu et à la société pour réaliser ou non le projet initial.

Comme ni les Constructeurs (et pour cause) ni les politiques, ni les différents acteurs de ce secteur, ni les usagers n'ont envie de mettre la main à la poche (pour mémoire 10.000 BPHU sont à détruire immédiatement et environ autant chaque année suivante, soit un chèque l'ordre de 20.000.000 d'€), il ne peut subsister que des débats théoriques qui, sur l'éternelle opposition entre ceux qui privilégient la société et ceux qui privilégient l'individu, disserte sur la poursuite de ce qui reste aujourd'hui une chimère ( lancée en 2009, la démarche de déconstruction des BPHU ne concerne aujourd'hui que 5% des besoins).

24 sept. 2013

Genn, bien d'accord avec toi.
Thierry ce fil était sur la destruction d'un voilier vu au chantier a Antibes. Ce voilier s'était mis sur les rochers a La Salis et il etait impossible de le remettre en état. Cet état de fait m'a amené a publié les photos et a se poser la question "quel futur pour nos vieux bateaux"
C'est parti en tourbillon, en mêlant SNSM (dont je fais partie), France, Sécurité, retraite Etc....

Je vous en prie, Apéro virtuel oui, mais pas engueulade. n'est ce pas Nemo. (remarque je n'ai rien dit quand tu as commenté la SNSM et les bénévoles.......)

Bon j'espère que l'on va revenir a une discussion plus sereine.

Vous avez partagé de bons et mauvais moments avec votre voilier, vous l'avez bichonné, passé du temps avec, raclé les fonds de tiroir, et puis la c'est la fin, ca part en mille morceaux, c'est une triste fin.
Ce n'est pas le même cas quand votre TV, chaine, assiette se casse, ou part en morceaux....

A plus et bon :alavotre: :pouce:

24 sept. 2013

Suite à ce fil, je viens de découvrir la filière qui s'organise :

www.guide-dechets.com[...]tte.pdf

Il sera toujours triste de voir un bateau disparaître de cette manière, car on efface une histoire, des croisières, des coups de torchon, des rencontres, du bonheur... ; mais quand je vois certains ports qui accumulent les épaves flottantes...

Évidemment, le donner serait un moindre mal, à condition que le donataire (celui qui reçoit) ait les moyens de le remettre à flot et de le rendre navigable.

L'intégralité des chiffres et informations que j'ai donnés plus haut émanent de cette organisation.
Le problème c'est que, si la volonté est là, il manque les sous pour...

Donner un bateau de 8m, c'est économiser les 2000€ de sa déconstruction et en offrir la dette à venir à l'"heureux "bénéficiaire du "cadeau". :litjournal:

24 sept. 2013

GEN 66
buona sera marinai
bon nos bateaux c est notre passion, il faut que on le fasse durer un max en les bichonnant tant que l on peut
tiens comme le:
GIORGIO CINI
que j ai rencotre plusieurs fois a VENISE
vous n avez pas deviné?
je suis en train de vous parler du BELEM.

ALLEZ APERITIF VIRTUEL pacificateur et
comme disait un grand homme d etat
<>
j ai oublie son nom
ciao gennaro
PS.vous ne le savez peut etre pas mais en CATALAN
un FIL c est un pastis......

24 sept. 2013

PARDON
Ce brav homme
disait quelque chose comme ca
METTONS ENSEMBLE NOS DIVERSITES etcetc

25 sept. 2013

concernant les "hors sujets" tu as raison fredau....
perso ,je ne trouve rien de pesant à échanger des points de vue fussent ils opposés et irréconciliables....du moment que nos propos restent courtois et argumentés....
déconstruire proprement nos vieux voiliers?je suis pour...il faudrait accélérer la création d'une telle filière...quant au financement?il ne serait peut etre pas idiot de faire "participer" toute l'industrie nautique..et les acheteurs/usagers...+ création d'emplois+valorisation des déchets.....sur ce sujet proprement dit...j'arrete car je ne suis pas assez informé

25 sept. 2013

Bon, l'Equipage vient de passer 1/2 heure à masquer les contributions trop éloignées du sujet et de l'univers de la mer. Pas à cause du ton de la discussion (resté assez courtois malgré tout), mais simplement parce que le sujet peut générer un débat intéressant et qui nous concerne de beaucoup plus près que le coût d'un accouchement en Chine...
Donc, revenons-en au thème initial : la déconstruction des bateaux de plaisance et - sujet corrélé - la libération de places dans les ports.

Y a déjà de quoi discuter avec animation sans aller jusqu'à la sécurité sociale américaine, non ?

NB : pour les questions concernant les fonctionnalités du forum, merci de passer par le lien "contactez-nous" ci-dessous.

25 sept. 2013

Merci à l'équipage pour le "masquage".
Pour les questions concernant les fonctionnalités, j'en suis à la cinquième demande, d'où ma demande directe ici.
Merci d'y répondre directement, je vois que la lecture est attentive et j'apprécie énormément ce genre de travail ingrat qui est de lire un fil de A à Z...
:litjournal:
Je vais donc réitérer ma demande de façon personnelle.

Cap Horn, Chili

Phare du monde

  • 4.5 (61)

Cap Horn, Chili

2022